Et le Scyphe sans SI, alors ? (11)
Si nous avons :
Le sophe sans phil, pourquoi pas :
Sisyphe sans SI ?
Sophe et Philon, nos deux quatrains reliés précédemment en (10),
nous cachent encore d’autres surprises ;
surtout si le fil long de philon nous conduit
de la quatrième Centurie à la Troisième Centurie au quatrain 65…
IV. 31.
La Lune au plain de nuict sur le haut mont,
Le nouueau sophe d’vn seul cerueau la veu:
Par ses disciples estre immortel semond,
Yeux au mydi, en seins mains corps au feu.
IV.32
Es lieux & temps chair ou poisson donra lieu,
La loy commune sera faicte au contraire:
Vieux tiendra fort puis osté du milieu,
Le Panta chiona philon mis fort arriere.
Voyons maintenant :
Centuries III
LXV.
Quand le sepulchre du grand Romain trouué (1)
Le iour apres sera esleu Pontife: (2)
Du Senat gueres il ne sera prouué (3)
Empoisonne, son sang au sacré scyphe. (4)
Bien sûr, scyphe veut dire :
« Du grec ancien σκύφος, skýphos (« coupe »).
scyphus / masculin
Jubet me scyphos sigillatos ad praîtorem statini afferre. (Seconde action contre Verrès– Cicéron)
Il m’enjoint d’apporter sur-le-champ au préteur mes coupes ornées de reliefs. » (Source Wikipédia)
Mais si, si le Sophe est sans fil, pourquoi ne manquerait-il pas un petit quelque chose à ce scyphe final ?
Cet fil « d’Ariane », d’ailleurs, n’est-t-il pas comme un Pont ? Un Pontifex, un Pontife … (2)
Et un PONT en IFE…
« De toute évidence [1] composé de pons (« chemin, pont ») et -fex de facio (« faire ») mais « le sens original est obscur [1]. » Le sens évident est : « celui qui fait le pont [entre les dieux et les hommes] », étant donné le sens étymologique de pons (« chemin »), le sens de « guide », tout simplement, n’est pas à écarter.» (wiktionary)
Si, je dis bien si, … nous changeons de langue et passons à l’anglais …
SI devient IF
Nous avons dans SISYPHE trois Ifs…
SI, SY, et YPHE, soit IF, IF, IF…
Soit trois « IF » dans Six IF !!!
Renforcé par le pont Ife …
Et Si-scyphe prend un autre sens :
Celui de la coupe sacrée contenant le sang…
« Empoisonne, son sang au sacré scyphe. (4) »
Il prend un sens mythologique cette fois…
Sisyphe
“Dans la mythologie grecque, Sisyphe (en grec ancien Σίσυφος / Sísyphos), fils d’Éole (le fils d’Hellen) et d’Énarété, est le fondateur mythique de Corinthe.
Il est l’époux de la Pléiade Mérope, fille d’Atlas et de Pléioné, de qui il a trois enfants : Ornytion, Sinon et Glaucos (le père de Bellérophon). Pausanias en cite toutefois deux autres : Almos et Thersandre.
Mythe
Fondateur mythique de Corinthe, fils d’Éole ; son ascendance et sa descendance sont citées dans l’Iliade. De son vivant, on dit que Sisyphe aurait fondé les Jeux isthmiques en l’honneur de Mélicerte dont il avait trouvé le corps gisant sur l’isthme de Corinthe. Depuis l’époque des poèmes d’Homère, Sisyphe conserve la réputation d’être le plus astucieux des hommes : il avait développé la navigation et le commerce, mais se montrait avare et trompeur et tuait les voyageurs.
Il passe parfois pour le vrai père d’Ulysse. Une légende raconte en effet que Sisyphe possédait un beau troupeau dans l’isthme de Corinthe. » (Source Wikipédia)
Mais retenons ces noms mis en gras
« Non loin de lui vivait Autolycos fils de Chioné dont le frère jumeau Philammon était né des œuvres d’Apollon alors qu’Autolycos se disait fils d’Hermès . Autolycos était passé maître dans l’art de voler, Hermès lui avait donné le pouvoir de métamorphoser toutes les bêtes qu’il volait. Ainsi et bien que Sisyphe eût remarqué que ses propres troupeaux diminuaient tous les jours, alors que ceux d’Autolycos augmentaient, il fut tout d’abord dans l’incapacité de l’accuser de vol; un jour donc il grava, sous le sabot de ses animaux son monogramme. La nuit venue, Autolycos se servit, comme à l’ordinaire, et, à l’aube, les empreintes de sabots sur la route fournirent à Sisyphe des preuves suffisamment concluantes pour convoquer les voisins et les prendre à témoin du vol. Il inspecta l’étable d’Autolycos, reconnut les animaux qui lui avaient été volés à leurs sabots gravés, et laissant aux témoins le soin de punir le voleur il fit le tour de la maison, y pénétra et devint l’amant de la fille d’Autolycos, Anticlée. Elle donna la vie à Ulysse qui, avec un grand-père et un père si rusés et si habiles sut de qui tenir en toutes circonstances.
Sisyphe est surtout connu pour s’être montré assez malin pour déjouer Thanatos lui-même. Quand son heure fut venue et que ce dernier vint pour le chercher, il l’enchaîna de sorte qu’il ne pût l’emporter aux Enfers. S’apercevant que plus personne ne mourait, Zeusenvoya Hadès délivrer Thanatos. Mais Sisyphe avait préalablement convaincu sa femme de ne pas lui faire de funérailles adéquates. Il put ainsi convaincre Hadès de le laisser repartir chez les vivants pour régler ce problème. Une fois revenu à Corinthe, il refusa de retourner parmi les morts. Thanatos (ou même Hermès, selon certaines traditions) dut alors venir le chercher de force. Certains disent qu’il avait dénoncé Zeus dans une de ses aventures. Un jour, il vit un aigle immense enlevant une jeune fille et reconnut Zeus en l’oiseau. Quand Asopos rechercha sa fille, Égine, il dénonça Zeus.
Pour avoir osé défier les dieux, Sisyphe fut condamné à faire rouler éternellement, dans le Tartare, un rocher jusqu’en haut d’une colline dont il redescendait chaque fois avant de parvenir à son sommet, tel que raconté dans l’Odyssée. Toutefois, Homère ne faisait pas mention de la raison de ce châtiment. Certaines traditions le justifient par la réputation de brigand et de malfaiteur que Sisyphe avait acquise de son vivant.
D’après la théorie solaire, Sisyphe représente le soleil qui s’élève chaque jour pour replonger le soir sous l’horizon. D’autres y voient la personnification des marées ou des vagues qui montent pour soudain redescendre. Il peut s’agir aussi d’une métaphore de la vie elle-même où cette punition signifiait qu’il n’y avait de châtiment plus terrible que le travail inutile et vain, qu’un homme aussi astucieux soit condamné à s’abrutir à rouler un rocher éternellement. On perçoit l’absurdité du personnage tant dans le désespoir de tenter d’échapper à une mort inévitable, que dans la tentative d’achever un travail interminable.
Dans son deuxième essai philosophique, le Mythe de Sisyphe, Camus qualifie Sisyphe d’ultime héros absurde. Il y établit pourquoi la vie, malgré l’absurdité du destin, vaut la peine d’être vécue : “il faut imaginer Sisyphe heureux”.
Ce mythe n’est pas exclusif aux traditions gréco-romaines. Il existe d’autres exemples de personnages qui parviennent à capturer la Mort en l’attachant dans un sac ou encore, en la cachant dans une bouteille de sorte que personne ne mourait des années durant. » (Source Wikipédia)
D’abord CHIONE, CHIONA que nous avons découvert en (10) IV.34(4)
Le Panta chiona philon mis fort arriere. (4)
Mère de AUTOLYCOS
Sisyphe possédait un beau troupeau dans l’isthme de Corinthe. Non loin de lui vivait Autolycos, fils de Chioné, dont le frère jumeau Philammon était né des œuvres d’Apollon, alors qu’Autolycos se disait fils d’Hermès.
Chioné
La mère du voisin à Sisyphe
Voisin qui a un frère jumeau qui s’appelle PHILammon
des enfants BESSONS (jumeaux)…
Autolycos et Philammon,
Fils de deux pères, mais d’une même mère…
Et, tiens, quel fil que ce PHIL ???
En aval ou en amont… amon, amon-Râ…
(nous verrons plus tard …)
Certains me diront :
Il pourrait manquer aussi Phillis à Scyphe…
Comme il manque Phil au « Pays des « Collins » »…
Oui, mais soit…
Surveillons tous ces personnages !
D’abord et surtout AUTOLYCOS
Autolycos était passé maître dans l’art de voler, Hermès lui avait donné le pouvoir de métamorphoser toutes les bêtes qu’il volait.
Autolycos , sacré gaillard,
Serait-y-pas en train de piquer les syllabes des Centuries ???
Ou de les métamorphoser comme des bêtes volées ???
Impunément, le bougre !!!
Et si Sisyphe, qui marque de son monogramme le dessous des pattes des animaux de son troupeau qui disparaît, volé, était l’inventeur de la signature ?
Et si Sisyphe, Ulysse, et tout ce qui les entoure, avaient donné des idées à Yvo de Lessinis…
Mutations, métamorphoses, (vol = élidation de mots) comme dans ses vers… Voilà le troupeau de mots métamorphosés par AUTOLYCOS alias YVO de Lessinis Ier..
Et les vers signés d’ Yvo, des prés, des prays, proche et loin, …
Seraient-ils signés par Sisyphe alias Yvo de Lessinis II. ???
Deux troupeaux de mots qui passent de l’un à l’autre ; métamorphosés et signés pour s’y retrouver…
Comme les « deux cités » imbriquées l’une dans l’autre dans « La cité de Dieu » de Saint Augustin (IV ème siècle ) ???
Cela mériterait une recherche…
Autolycos
« Dans la mythologie grecque, Autolycos (en grec ancien Αὐτόλυκος / Autólukos), aïeul maternel d’Ulysse, était le fils de Chioné etHermès. Son nom signifie « Vrai loup ». » (Wikipedia)
(voir plus loing…)
A surveiller….
PHILAMMON :
Le fil de l’eau qui vient d’amont ?
Yvo aime suivre le fil de l’eau…
Nous le « vairon » encore …
ANTICLEE :
Une anti Clé…
Anti Clément V ?
« Le Pontife, le grand Romain, … »
Oui, d’ailleurs,
Clé ment, Clément ment, plutôt cinq fois (V) qu’une …
« Quand le sepulchre du grand Romain trouué (1)
Le iour apres sera esleu Pontife: (2) »
Et Philippe ?
LXV.
Quand le sepulchre du grand Romain trouué (1)
Le iour apres sera esleu Pontife: (2)
Du Senat gueres il ne sera prouué (3)
Empoisonne, son sang au sacré scyphe. (4)
Nous avons dans SISYPHE trois Ifs…
SI, SY, et YPHE, soit IF, IF, IF…
Soit trois IF dans Six IF !!!
Renforcé par le pont Ife …
Oui, MAIS !!!
Philippe, c’est Phile d’ Hippos
Comme Théophile, c’est le Phile de « Theos » !!!
C’est l’AMI des CHEVAUX
Voilà l’écheveau échevelé de ces fils longs qui se nouent et se lient et se serrent (voir plus loin…)
Comme un nœud « Gordien »…
« L’expression « nœud gordien » désigne, par métaphore, un problème inextricable, finalement résolu par une action brutale : trancher le nœud gordien. L’expression trouve son origine dans une légende associée àAlexandre le Grand. » (Wikipédia)
ou comme une « tatouille, une touillette… »
A la pêche au gardon …
Au fil de l’eau…
Mais Philippe alors ?
Ennemi juré des Templiers,
Maudit même, …
Il y en aurait bien quelques-uns pour le trucider,
mais comment ?
Comme un de ses amis :
comme un cheval…
A l’IF…
Poison violent pour le cheval et même pour l’homme…
( scyphe sans si, = si scyphe : Sisyphe = si = IF = TAXUS IVO)
sacré sc’ iphe… sans if.
L’IF, (taxus ivo, taxus viridis) mortel poison pour les chevaux…
(il y a de quoi le cacher… ce texte, non ?)
vengeance et dérision ???
d’ailleurs le quatrain le dit :
« Quand le sepulchre du grand Romain trouué (1)
Le iour apres sera esleu Pontife: (2)
Du Senat gueres il ne sera prouué (3)
Empoisonne, son sang au sacré scyphe. (4) »
Empoisonné son sang au sacré (s) YPHE…
Et pas au cif ammoniaqué…
De plus…
Il faut savoir que s’il a été mis au sepulchre avec cet IF…
« Quand le sepulchre du grand Romain trouué (1) »
il faut savoir que sépulchre …
Sepulchre , c’est PULCHRE
c’est sépulchre et PULCHRE,
et Pulchre, c’est PULCHER
Et PULCHER (en latin),
c’est LE BEAU,
c’est, LE BEL
Beau, joli, gracieux. glorieux, noble. = pulcher !!!!
Non ?
ET si je vous parlais de :
« L’ami des chevaux sepulcher … »
Vous penseriez d’emblée à
« Philippe le Bel » ???
Bon, alors !!!
SéPULCHRé, le bel , il a bien bel et bien été sépulchré, …
le pulchre, le pulcher, …
Roi maudit, va !
Pulcher mais maudit…
pulcher
pulcher /ˈpul.kʰeɾ/
- virgo pulchra! — (Térence, Le Phormion, acte I, scène 2)
quelle belle fille !
Variantes
La scyphe, sans SI, et sans C, …
SISIF ou IF,IF,IF, …
Philippe le BEL l’ami du CHEVAL
Empoisonné, son sang, au sacré scyphe.
Soit son cheval, soit lui-même, …
Mais il semblerait que ce soit lui qui ait eu le problème et non son cheval… à la chasse…
On a soupçonné un empoisonnement à l’époque, mais… à voir …
Et avant cela :
Pontife:
C’t’un pont d’IFE
Clément V mort précédemment, …
Cependant, un pont est aussi “ce qui relie”, ce qui amène au terme “religio”
A l’if aussi , allez hop !!!
On a soupçonné un empoisonnement à l’époque, mais…
« Du Senat gueres il ne sera prouué »
Hé non ! Pas de preuve !
(Notez que “Arnauld de Villeneuve” était le médecin de Clément V… )(rectifié)
Quand le sepulchre du grand Romain trouué
Le iour apres sera esleu Pontife:
Du Senat gueres il ne sera prouué
Empoisonne, son sang au sacré scyphe
Autolycos, oui, encore, …
Dans la mythologie grecque, Autolycos (en grec ancien Αὐτόλυκος / Autólukos), aïeul maternel d’Ulysse, était le fils de Chioné etHermès. Son nom signifie « Vrai loup ».
Voilà pourquoi Rudy Cambier aime les loups !!!
Voleur, Autolycos a reçu de son père le don de voler sans jamais se faire prendre.
La mythologie lui donne deux épouses différentes : elle s’appelle Amphithée chez Homère 1, et Mestra chez Ovide2. Sa fille Anticlée eut, disait-on, commerce avec Sisyphe, avant d’épouser Laërte, qui la rendit mère d’Ulysse : Autolycos vola une partie du troupeau de Sysiphe ; celui-ci, qui avait pris la précaution de faire marquer ses bêtes, s’aperçut aisément du larcin. Sysiphe, dans sa colère, séduisit Anticlée, fiancée à Laërte, et qu’il fut ainsi le père d’Ulysse 3. Il enseigna à Héraclès l’art de se servir de ses poings pour abattre ses adversaires et participa à l’expédition des Argonautes, mais il reste surtout connu dans la légende comme un voleur ; il possédait le pouvoir de transformer l’apparence des bêtes dont il s’emparait : c’est ainsi qu’il déroba les bœufs d’Eurytos, roi d’Œchalie. On raconte également qu’il vola un casque dont il fit présent à Ulysse et qui permit au héros de se glisser dans Troie sans être vu.
Autolycos vola une partie du troupeau de Sisyphe
Aurait-y-pas piqué des syllabes au quatrain à Sisyphe ???
Et cette anticlée ???
Une ANTI CLE ?
Une Clé antique, une contre-clé ?
Anticlée
Anticlée
Anti Clément V, oui !!
Dans la mythologie grecque, Anticlée (en grec ancien Ἀντίκλεια / Antíkleia) est la mère d’Ulysse. Fille d’Autolycos et d’Amphithée1(ou Mnestra[réf. nécessaire]), elle devient reine d’Ithaque par son mariage avec Laërte, roi d’Ithaque et a de lui une fille, Ctimène.
Mythe
À la suite d’une querelle avec Autolycos à propos d’un vol de bétail, Sisyphe, roi de Corinthe, viole sa fille Anticlée déjà promise à Laërte. De cette union forcée nait un enfant, Ulysse2, qui doit plus tard accomplir la célèbre Odyssée. La thèse qui fait d’Ulysse le fils de Sisyphe est confortée par le vers 190 de l’Ajax de Sophocle. Le commentateur de l’édition Budé considère cette thèse comme douteuse et répandue par les ennemis d’Ulysse.
Lors de l’Odyssée, Anticlée alors âgée ne peut plus supporter l’absence de son fils qu’elle croit mort et refuse de devoir pleurer son enfant sur sa tombe. Elle se suicide en se noyant dans la mer.
La « moeder » d’Ulysse…
Violée par Sisyphe (Il n’a rien pour lui non plus celui-là…)
Sauf, qu’il est le père d’Ulysse…
La thèse qui fait d’Ulysse le fils de Sisyphe est confortée par le vers 190 de l’Ajax de Sophocle.
C’est Sophocle qui le dit, alors !!!
Qué famille !!!
LXV.
Quand le sepulchre du grand Romain trouué
Le iour apres sera esleu Pontife:
Du Senat gueres il ne sera prouué
Empoisonne, son sang au sacré scyphe.
Poisson sonne… son sang…
Comme Carcas. Sans sonne, sonne sa carcasse… (petit rappel)…
Empoissonné…par du poisson, empoissé, …
Empoisonné par du poison….
Ces poissons et ces fils de l’eau, ces fils de pêches…
A noter que l’IF est l’arbre des cimetières, du lieu des SEPULCHRES…
Pour phil hippos
Or/ ou
If/si
Le syphe
Sans si/if
(quatrain Sancy ?)
III. 65 LXV.
Quand le sepulchre du grand Romain trouué
Le iour apres sera esleu Pontife:
Du Senat gueres (guerres) il ne sera prouué
Empoisonne, son sang au sacré scyphe.
Et en centurie III
II
Le diuin Verbe donra à la substance, (1)
Côpris ciel, terre, or occult au laict mystique: (2)
Corps, ame esprit ayant toute puissance, (3)
Tant soubs ses pieds comme au siege Celique. (4)
Le diuin Verbe donra à la substance, (1)
Côpris ciel, terre, or occult au laict mystique: (2)
Le divin vers ; (1)
Du laid lai mystique (2)
Donra (1)
Or occult (2)
Le diuin Verbe donra à la substance,
Côpris ciel, terre,
OR
occult
IF
au laict mystique:
Corps, ame esprit ayant toute puissance,
Tant soubs ses pieds comme au siege Celique.
Ô, Le diuin Vers d’Yvain
Qui dit comment assassiner
Philippe
Avec une drogue
De
« CHEVAL »,
Le diuin Verbe donra à la substance, (1)
Verbe donra
Vert BE DONra
VERT
BEDON
DONNERA
RAS
Vert bedon donnera
Panta long bas
Pantalone, ra
Philong
be don ra-OR à la substance,
Cômpris ciel, terre, or occult au laict mystique:
Lait de la Vierge
Le diuin Ver be don ra à la substance,
Côpris ciel, terre, or occult au laict mystique:
Corps, ame esprit ayant toute puissance,
Tant soubs ses pieds comme au siege Celique.
Siège celique = la selle de cheval = le siège et la cel
« Et soubs ses pieds » (4)
les étriers : belle image !!! d’un cavalier sur une selle que ce vers :
Tant soubs ses pieds comme au siege Celique.(4)
Centuries VI
LXXXII.
Par les deserts de lieu libre & farouche, (1)
Viendra errer nepueu du grand Pontife: (2)
Assommé à sept auecques lourde souche, (3)
Par ceux qu’apres occuperont le Cyphe. (4)
Comme en centurie III, 65 du début de notre texte;
Pontife est en fin du vers (2)
Cyphe en fin du vers (4)
Même place tip-top, sauf que Scyphe est devenu Cyphe…
Le chiffre 7 vient errer dans nepveu ???
Normal ce 7 , puisque l’on cherche le six de Cyphe…
Le Sicyphe
Par ceux qu’apres occuperont le Cyphe.
Lire :
Par ceux qu’après s’occuperont du CYPHE
c-à-d de l’IF dans la coupe (cyphos)…
qui enpoisonnera LE BEL,
SEPULCHRE trop PULCHER ;
et
autre quatrain :
LXXXIII.
Celuy qu’aura tant d’honneur & caresse.
A son entree de la Gaule Belgique.
Vn temps apres sera tant de rudesses,
Et sera contre à la fleur tant bellique.
Encore Philippe le « SI PULCHER »
Le BEL
La fleur tant BELLE du BEL
La fleur tant PULCHRA du PULCHER… BELLIQUEUX
Les deux « BEL » sont en fin de vers (à la queue, queux)…
Le Lys BELiqueux pour la BELLEgique…
Le LYS de la “Lys”…
Celuy qu’aura tant d’honneur & caresse.
Luy esse, liesse, LYS
A son entrée liesse… (feinte)
La fleur de lys (ou fleur de lis) (⚜) est un meuble héraldique, c’est l’une des quatre figures les plus populaires avec les multiples croix, l’aigle et le lion. Elle est habituellement classée parmi les figures naturelles.…
De miel face oingt, & de laict substanté,
Très belle description poétique du Lys
« Blanche comme lait, intérieur de miel, »
La fleur de lys est l’un des plus anciens emblèmes au monde1.
Celuy qu’aura tant d’honneur & caresse.
A son entree de la Gaule Belgique.
Vn temps apres sera tant de rudesses,
Et sera contre à la fleur tant bellique.
(aussi luy lu Uly-sse)
Un autre quatrain avec c’t’ YPHE
Cet , (sept) yphe sans six…
Centurie VI. 89
Entre deux cymbes pieds & mains attachez,
De miel face oingt, & de laict substanté,
Guespes & mouchez, fitine amour fachez
Poccilateur faucer, Cyphe tenté.
Entre deux cy, deux ifs ??? deux cy…près
Deux cyprès de deux ifs…
ou deux cy-loing…
Deux cymbres, deux sicambres
Ambrés comme le miel,
Entre deux cymbes pieds & mains attachez, (1)
De miel face oingt, & de laict substanté, (2)
Guespes & mouchez, fitine amour fachez (3)
Poccilateur faucer, Cyphe tenté. (4)
Place de Cyphe ici aussi (quasi) en fin de (4).
Cyphe sans si
Sisyphe
Justement près de CHIONA, il manque
Sophe à Philon,
Il manque long à Panta, …
Et en IV.31, il manque phil à sophe…
En LXV.
IV. 31.
La Lune au plain de nuict sur le haut mont,
Le nouueau sophe d’vn seul cerueau la veu:
Par ses disciples estre immortel semond,
Yeux au mydi, en seins mains corps au feu.
IV.32
Es lieux & temps chair ou poisson donra lieu,
La loy commune sera faicte au contraire:
Vieux tiendra fort puis osté du milieu,
Le Panta chiona philon mis fort arriere.
Ce poison est-ce un poisson ou un poison ???
La coupe , la « scyphos » de Socrate, autre philosophe ???
Empoissonné,
Empoisonne, son sang au sacré scyphe.
Pour le moins, ça l’a rendu « lassif » …
Lascif.
(A suivre)
Alphabet caché ? Le “O” de Phil”O” ! (10)
CENTURIE IV
XXXI.
La Lune au plain de nuict sur le haut mont,
Le nouueau sophe d’vn seul cerueau la veu:
Par ses disciples estre immortel semond,
Yeux au mydi, en seins mains corps au feu.
Notre alphabet caché avec la lettre « O »…
Nous conduit à :
Le nouueau sophe d’vn seul cerueau la veu:
Sans l’ « O » du nouveau sophe,
Nous ne comprenons rien du tout…
Avec cet « O », nous avons un Fil conducteur pour « Sophe »…
Nouv eau sophe = nouv O sophe
Le sophe sans Philo
Sans phil de l’O
Sans fil de l’eau
(le fil de l’eau sera important ultérieurement…)
Reste fil de terre, fil d’air, fil de feu…
Fil de fer (cotte de maille)
Fil d’Ariane ;
fil du Phil (sans ippe) : Philippe…
Mais :
« La Lune au plain de nuict sur le haut mont,
Le nouueau sophe d’vn seul cerueau la veu:
Par ses disciples estre immortel semond,
Yeux au mydi, en seins mains corps au feu. »
De nuict à la pleine Lune,
Estre immortel ce mont (de Vénus)
Yeux au midi, seins en mains, corps au feu…
Extase charnelle ?
Mais ne nous laissons pas dérouter…
Car en quatrain IV, 32, nous allons trouver ce fil de phil…
Voici…
XXXII.
Es lieux & temps chair ou poisson donra lieu,
La loy commune sera faicte au contraire:
Vieux tiendra fort puis osté du milieu,
Le Panta chiona philon mis fort arriere.
Voici le premier filon : « Philon » fil long de l’O, le long du fil de l’eau…
Le Phil O Sophe
Le « nouveau sophe »
Philon le juif
Ou
Philon d’alexandrie,…
Fil long, le juif
« Par ses disciples estre immortel semond, »
Tant que nous sommes avec les philosophes,
nous voyons aussi que :
Les disciples sans Pline sont sans discipline…
Et Pline l’ancien est un autre philosophe…
« Vieux tiendra fort puis osté du milieu, »
Vieux, donc l’Ancien…
Qui nous rappelle que dans l’autre quatrain, nous avons :
Le « nouveau sophe »
Vieux et nouveau dialoguent d’un quatrain à l’autre, …
« Es lieux & temps chair ou poisson donra lieu,
La loy commune sera faicte au contraire:
Vieux tiendra fort puis osté du milieu,
Le Panta chiona philon mis fort arriere. »
Et si nous acceptons une contrepèterie, cela donne :
Pline l’Ancien, Vieux tiendra fort puis Osté du milieu
Le Panta lon du sophe Philon
Puis mis fort arrière…
Le Panta long mis fort arrière, chion (a), phil…
à phil (sans) ippe…
à Philippe,
à Philippe le Bel…
Of course…
(nous le retrouverons plus tard dans un autre quatrain…)
Cherchons :
Le Panta chiona :
Fils d’EOS, (l’AURORE), BOREE , le vent du NORD, a une fille :
CHIONé : la neige.
(Voir plus tard quatrain : les SCALDES HYPERBOREENS)
et PANTA :
« TA PANTA REI »
« TOUT COULE, TOUT PASSE… »
d’Héraclite d’Ephèse
synthétise le mouvement perpétuel, (voir tourbillon)…
Nous sommes toujours en Philosophie…
« TA PANTA REI »
« tout coule, tout passe d’Ephèse… »
Pantalon mis fort arrière, tout coule, tout passe, Héraclite, des fesses…
« La Lune au plain de nuict sur le haut mont, »
L’extase, puis,
la « turista, quoi ! »
On peut aimer la philo et les blagues d’étudiant, non ?
Pas vrai, Yvo ?
sérieusement…
Mais ce mouvement Héraclitéen s’oppose classiquement
au PARADIGME de PARMENIDE d’ELEE,
Mouvement contre Immobilité…
PARMENIDE d’ELEE,
l’ailé…
CHIONé…
Chioné est la fille de Borée : Le vent du nord, l’ailé, soit, …
“Dans la mythologie grecque, Chioné est la fille de Dédalion et par conséquent, la petite fille d’Éosphoros.” (Wikipédia)
A noter que Dédalion est l’un des trois fils de Lucifer ;
qui envoie dans le Dédale du monde, mouvement inverse de la contemplation…
“Chioné met au monde deux jumeaux : l’un, Philammon, est le fils d’Apollon tandis que l’autre, Autolycos, est celui d’Hermès. Fière d’avoir été l’amante de deux dieux, Chioné ose comparer sa beauté à celle d’Artémis qui, révoltée par tant d’audace perce l’insolente de ses flêches.”(wikipédia)
Voici PHIL en AMMON … Philammon , fils d’Apollon…
Autre source :
“Dans la mythologie grecque, Chioné est la fille de Borée et d’Orithye.
Elle est la déesse de la neige.
Un jour, Chioné s’unit à Poséidon et donne le jour à Eumolpos. Mais elle jette son fils à la mer pour éviter la colère de son père. Le dieu des mers recueille son fils et le confie à Benthésicymé, une des filles d’Amphitrite. ” (Source : Wikipédia)
Voici d’autres phil long :
- “Philon de Mégare, philosophe, logicien (seconde moitié du IVe siècle av. J.-C.).
- Philon d’Athènes, ingénieur militaire grec (IVe/IIIe siècle av. J.-C.).
- Philon de Byzance, écrivain technique grec (fin du IIIe siècle av. J.-C.).
- Philon de Larissa, philosophe de la Nouvelle Académie (v. 159–83 av. J.-C.).
- Philon d’Alexandrie, philosophe juif hellénisé (v. 12 av. J.-C.–54 ap. J.-C.).
- Pseudo-Philon, philosophe juif, auteur du Liber Antiquitatum Biblicarum (Ier siècle).
- Philon de Byblos, Herennius, historien grec, 64–141.
- Philon de Gadare, Gaditanus, géomètre grec, contemporain d’Apollonius de Perga.
Diogène Laërce mentionne un Philon, disciple présumé de Pyrrhon (Diogène Laërce, IX. 67, 69).”
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Voyons :
Philon d’Alexandrie
“Philosophe occidental
Antiquité
Données clés |
|
École/tradition |
Platonisme, philosophie judéo-alexandrine |
Principaux intérêts |
Métaphysique, théologie, épistémologie, cosmologie, éthique |
Idées remarquables |
doctrine du Logos, allégorisme |
Œuvres principales |
Commentaire allégorique de la Bible |
Influencé par |
Platon, Médio-platonisme, Néopythagorisme, Stoïcisme |
A influencé |
Christianisme ancien, Pères de l’Église, Néoplatonisme |
Philon d’Alexandrie (vers 12 a.C. – vers 54 d.C.) est un philosophe juif hellénisé né à Alexandrie. Les rares détails biographiques le concernant se trouvent dans ses propres œuvres, en particulier Legatio ad Caium ou Légation à Caius (Ambassade chez Caligula) et chez Flavius Josèphe (Antiquités xviii. 8, § 1 ; xix. 5, § 1 ; xx. 5, § 2). Le seul événement dont la date est sûre est d’ailleurs cette participation à l’ambassade que les Juifs d’Alexandrie envoyèrent à l’Empereur Caligula en l’an 40 pour demander sa protection à la suite des émeutes antijuives, dont ils avaient été victimes de la part des Grecs. Son âge à cette époque, de 50 à 70 ans, est incertain. Eusèbe de Césarée le cite abondamment dans son Histoire ecclésiastique sections XVIII et XIX dans laquelle il décrit la vie des thérapeutes d’Alexandrie.
Présentation
Il symbolise le judaïsme d’Alexandrie, étape vers le christianisme, dans la mesure où celui-ci est à la fois issu du judaïsme et de l’hellénisme. Pour les chrétiens, Philon est juif et rabbin. Mais pour les juifs orthodoxes qui représentent une minorité, lui et sa communauté d’Alexandrie sont les prototypes des « juifs assimilés ». Comme pour d’autres transfuges ultérieurs, Flavius Josèphe, Spinoza ou Freud, sa culture biblique, son attachement au peuple juif alimentent sa pensée universaliste. Il est convaincu que le monothéisme de Moïse est universel et veut en convaincre ses lecteurs grecs. Confronter Philon et Aristote n’est pas un exercice aisé et peut conduire à commettre anachronismes ou erreurs d’interprétation. Les traités de Philon écrits il y a plus de deux mille ans, s’inscrivent dans la filiation de la morale platonicienne, il puise également ses sources dans l’approche éthique d’Aristote, exposée notamment dans l’Éthique à Nicomaque, et surtout celle des stoïciens.
CENTURIE III
LXVII.
Vne nouuelle secte de Philosophes,
Mesprisant mort, or, honneurs & richesses :
Des monts Germanins ne seront limitrophes,
A les ensuyure auront appuy & presses.
Vne nouuelle secte de Philosophes,
Mesprisant mort, or, honneurs & richesses:
les Stoïciens ???
ou les Templiers…
“Philon apporte un enseignement moral qui trouve son inspiration dans la méthode allégorique, en expliquant la Torah comme les Grecs, et notamment les stoïciens, expliquaient les récits homériques. Philon a été inspiré par certains principes aristotéliciens, la tradition des stoïciens et une tradition gréco-égyptienne propre à Alexandrie. Ici s’arrête la proximité des approches de Philon et d’Aristote. Aristote ne conçoit le courage que militaire, alors que Philon défend le courage politique vis-à-vis du peuple. Le contexte politique du temps de Philon, un État client sous la domination d’un gouverneur romain, y est très différent du temps de la grandeur de la monarchie macédonienne et de l’éclipse de la démocratie athénienne qu’a connue Aristote. Pour autant, la réflexion sur la vertu politique revêt quelques similitudes. Connaissant parfaitement les systèmes philosophiques grecs, Philon est à ce point influencé par Platon qu’il en épouse même le style, avec toutefois les hellénismes des Juifs d’Alexandrie. On cite souvent ce jeu de mots d’un contemporain : « Philon platonise, Platon philonise ». Ses textes sont intéressants pour l’étude de la philosophie néo-platonicienne, mais surtout pour sa lecture de la Bible, qu’il lisait dans la traduction des Septante. Il fait notamment des personnages bibliques des allégories. Il est bien possible qu’il ignorât l’hébreu, mais la question est controversée.
Système philosophique et religieux
Son système philosophique se résume en trois thèses bibliques :
- La transcendance de Dieu, et l’inconnaissabilité de Dieu. L’homme ne peut saisir l’essence de Dieu ni par le sens ni par l’intelligence. Philon pose ici une limite nette au pouvoir de la philosophie et de la théologie. Philon a créé la théologie négative : dans le De somniis I.67, il décrit Dieu comme indicible (arrêtos) et comme incompréhensible (akatalêptos). On retrouvera cette thèse de l’inconnaissabilité de Dieu chez les Cappadociens (Basile de Césarée, Jean Chrysostome).” (Wikipédia)
(Souvenons-nous : Marguerite Porète et le RESTE de l’ESTRE DIVIN … l’inconnaissabilité de Dieu…)
- “La vacuité de l’homme. La terre n’appartient pas à l’homme. Le dialogue entre Dieu et l’homme que présuppose la Loi révélée est opaque et sourd, comme celui du maître et de l’esclave. De plus, renversant la célèbre maxime de Socrate, Philon affirme que l’homme ne se connaît même pas lui-même.
- La médiation prophétique entre Dieu et l’homme.
Le Cosmos et l’homme ont capté quelque chose de divin, qui permet à ce dernier de s’y refléter.” (wikipédia)
(Souvenons-nous : Marguerite Porète qui a écrit « le Mirouër des âmes simples et anéanties … »)
“C’est pourquoi ils sont tous deux des images de Dieu.
Dieu se porte vers ce qui n’est pas lui par le principe d’Amour, c’est un don. Le mécanisme de cette transmission repose sur la théorie confuse (et relativement accessoire dans la pensée de Philon, mais qui aura un grand succès) des Puissances, des Anges, et surtout du logos.
4 Les Puissances divines
Les Puissances divines sont les attributs de Dieu, le Logos est sa Sagesse même, son pouvoir créateur. Les Anges sont des émanations de Dieu, des hypostases dénommées « Fils de Dieu », « Ancien des Anges », etc. Il y a ensuite des archétypes de la Création, sortes de Verbes-idées, lieux et images de tout ordre créé. Enfin, l’esprit humain, l’âme et l’intelligence, sont eux-mêmes logos et susceptibles de s’ouvrir aux autres puissances dont l’enchevêtrement, la hiérarchie, l’harmonie forment la structure du monde.
Cette théorie est une sorte de synthèse autour des termes employés par la Bible grecque pour parler de Dieu, de la création et de la prophétie. Alliant la terminologie de la Bible à la mystique de Platon et au mystérisme de l’Orient, elle inspira (étant bien déformée au passage) la gnose, la philosophie de Plotin…
5 Disciples et successeurs
Selon Claude Tresmontant, Philon d’Alexandrie aurait influencé les premières communautés chrétiennes.
Selon Ceslas Spicq, OP, l’auteur de l’épître aux Hébreux, selon lui Apollos originaire d’Alexandrie, serait un disciple de Philon converti au christianisme[1].
D’après la théologienne anglaise Foster, Philon aurait décrit les rois mages comme étant des scientifiques ou astrologues perses dont une des fonctions était de prédire la mort et la naissance de rois. (Source Wikipédia)
Nous reviendrons à Philon…
Ensuite, nous avons le quatrain qui vient conforter ce Philon :
CENTURIE X
VII.
Le grand conflit qu’on appreste à Nancy,
L’Aemathien dira tout ie soubmets,
L’Isle Britanne par vin sel en solcy:
Hem, mi. deux Phi. long temps ne tiêdra Mets.
Voici un deuxième fil long divisé en deux par un point :
Phi. long
dans une autre centurie, la dixième, cette fois:
Hem, mi. deux Phi. long temps ne tiêdra Mets.
Autrement dit, Yvo de Lessinis nous signale que :
J’ ai mis deux Philons, temps ne tiêdra Mets.
J’ai mis, renforcé par METS en fin de vers : je Mets, …
Phi sans losophe cette fois…
Deux fils longs…
Y aurait-il des fils longs qui relient les quatrains entre eux ???
Je le crois.
De plus, nous verrons ce dernier quatrain plus tard, pour autre chose …
(à suivre…)
Saint Maximilien Kolbe
Le Père “Saint Maximilien Kolbe” a donné sa vie dans un camp de concentration en lieu et place d’un père de famille …
30 x 36 cm
Détail
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