Le grand conflit qu’on appreste à Nancy… (15)
Centurie X.
VII.
Le grand conflit qu’on appreste à Nancy, (1)
L’Aemathien dira tout ie soubmets, (2)
L’Isle Britanne par vin sel en solcy: (3)
Hem, mi. deux Phi. long temps ne tiêdra Mets. (4)
Le mot Nancy se trouve situé dans le quatrain juste au-dessus du mot « soubmets »,
Qui est, lui, au dessus de « solcy »
Et « solcy » lui, est au dessus de « Mets ».
Nulle part, Yvo ne parle clairement de la VILLE de METZ…
Sauf qu’il met une majuscule à Mets.
Or, il dit :
« ie soubmets, »
c’est-à-dire qu’il « met sous »…
Il met quoi sous quoi ???
Il met METZ soubs NANCY ;
Or,
Dans la réalité, géographiquement, c’est NANCY, qui est sous METZ !!!
METZ est au dessus, à 48 km au nord de NANCY,
Donc,
Dans son quatrain il fait comme s’il inversait le Nord et le Sud…
Il fait comprendre d’une autre manière qu’il inverse le sens :
Avec ceci :
« Hem, mi. deux Phi. long temps ne tiêdra Mets. »
car,
HEM, inversé, c’est meh , soit mets, soit METS, donc METZ
Et de plus,
Hem, mi. C’est J’ai (he m), J’ai mis (, mi)…
J’ai mis quoi , J’ai mis MEH, J’ai mis mets, Metz…
Et j’ai mis deux hémi, c’est-à-dire deux demi ; soit une image et son image spéculaire, ce qui donne le Tout…
C’est donc un petit « miroir ( / ) » en début de vers :
Hem mi meH = Hem/meH
Et un grand miroir avec le début et la fin du même vers :
Hem, soit ZTEM, en début et Metz à la fin :
ZTEM / METZ
Et un miroir vertical : nan CY, soub METS, sol CY, METS
CY, METS, CY, METS, …
Ce que font d’ailleurs toutes les rimes, …
Il faut toujours tenir à l’esprit que ce « Miroir » est d’ordre mystique pour l’Abbé Yvo de Lessinis…
« Mirouër des âmes simples et anéanties en Dieu » de Marguerite Porète…dite « des prés »…
Cela fait un tout…
Mets, Mais, qu’en est-il de SOLCY , coïncé entre les deux « mets » ?
METZ possède trois îles :
petit Saulcy, Grand saulcy et Chambière
Nous rencontrons donc deux « Saulcy », deux îles, que nous amène
le vers :
« L’Isle Britanne par vin sel en solcy: » (3)
Donc, l’Isle Britanne montre qu’il s’agit bien d’ îles qui ne sont pas forcément Britanniques, mais peut-être aussi les îles de Saulcy (en Metz)…
Le blason de Saulcy-sur-Meurthe, lui, nous montre son rapport avec le Saule, l’arbre des Templiers :
« Un templier sait évidemment que son Ordre se nomme, entre autres, LIX (Legio Iesu Xristi) et quand il voit SALIX, l’arbre templier –on le lui a dit et répété -, il pense très naturellement Signum Agri Legionis Iesu Xristi… »
(Rudy Cambier)
D’azur, au saule arraché d’argent accompagné en pointe d’une chaîne de cinq maillons du même posée en fasce et brisée au milieu, à dextre d’un écusson d’or, à la bande de gueules chargée de trois alérions d’argent et à sénestre d’une écusson d’argent, à trois écussons de gueules.
Commentaires : Le blason a été officialisé en 1954. Le saule arraché évoque le nom de la localité et la chaîne brisée symbolise la résistance dont a fait preuve la commune lors des deux guerres mondiales. L’écu de Lorraine et celui des Ribeaupierre, d’argent à trois écussons de gueules, sont les emblèmes des anciens seigneurs du lieu.” (source wikipédia)
« SOLCY » fait donc référence au Saule, et aux Templiers, …
reprenons le quatrain…
« Le grand conflit qu’on appreste à Nancy,
L’Aemathien dira tout ie soubmets,
L’Isle Britanne par vin sel en solcy:
Hem, mi. deux Phi. long temps ne tiêdra Mets. »
Il y a donc inversion NORD-SUD et effet de miroir, gauche –droite, …
« Par vin sel » ? parvint sel, Celles, parvint à Celles ?
En PICARDIE, …
Latitude : 50.7167 N
Longitude : 3.45
Celles (en picard Chièl, Chèl) est une commune francophone de Belgique située en Région wallonne dans la province de Hainaut, ainsi qu’une localité où siège son administration.
« en solcy: » veut dire alors En ce sol-ci, c-à-d en Belgique
à CELLES
sur ce sol-ci, un saule aussi, SALIX QUOQUE, …
C’est un SOL TEMPLIER…
remarquez les haches d’armes ou DOLOIRES (concernant un autre quatrain, voir plus loin…), …
Mais CELLES, près Vaulx ???
(comme l’abbaye cistercienne de Vaucelles en France… ???
“50° 04′ 36″ Nord
3° 13′ 23″ Est
LATITUDE 50°. 095
Les Rues-des-Vignes est un petit village situé au nord de la France. Le village est situé dans le département du Nord de la région Nord-Pas-de-Calais. Le village de Les Rues-des-Vignes appartient à l’arrondissement de Cambrai et au canton de Marcoing.
L’altitude de Les Rues-des-Vignes est de 80 mètres environ. Sa superficie est de 17.85 km ². Sa latitude est de 50.095 degrés Nord et sa longitude de 3.236 degrés Est. Les villes et villages proches de Les Rues-des-Vignes sont : Crèvecœur-sur-l’Escaut (59258) à 1.69 km, Lesdain (59258) à 2.12 km, Masnières (59241) à 3.02 km, Rumilly-en-Cambrésis (59281) à 3.65 km, Bantouzelle (59266) à 4.37 km. ” (wikipédia)
« L’Isle Britanne par vin sel en solcy: »
Mais VIN SEL, c’est aussi :
NIV (en miroir) VIN/NIV
Et SEL serait LES SEL/LES et ELS…
Donc NIV ELS
Comme déjà vu dans un autre quatrain, c’est NIVELLES.
Le chemin est donc : NANCY, METZ, NIVELLES, CELLES (Chèl),
Et entre NIVELLES et CELLES, : Soignies, Cambron-Casteau, Wodecq, Leuze, et au dessous : (Frî nne), Frasnes
Et Metz est dominée par le mont Saint-Quentin
Patron de notre église de Wodecq.
Le grand conflit qu’on appreste à Nancy, (1)
L’Aemathien dira tout ie soubmets, (2)
L’Isle Britanne par vin sel en solcy: (3)
Hem, mi. deux Phi. long temps ne tiêdra Mets. (4)
Comparons les latitudes longitudes de :
Ellezelles Wodecq
La latitude de la ville est 50° 43′ 60” N et
la longitude de la ville est 3° 40′ 0” E
Latitude: 50.7167 N Longitude: 3.75. Est.
Vaucelles (France)
abbaye cistercienne
La latitude de la ville est 50.04’ 36’’ N et
la longitude de la ville est 3°.13’ 23’’ E
Cambron-Casteau
Abbaye cistercienne
La latitude de la ville est 50° 35′ 05″ N et
la longitude de la ville est 3° 53′ 14″ E
50.5833 et la longitude de 3.88333.
Villers-la-Ville
Abbaye cistercienne
Latitude : 50° 38′ 28 ” Nord, Longitude : 04° 40’05” Est.
Rochefort
Abbaye cistercienne
Latitude: 50° 9′ 0” Nord, Longitude: 5° 13′ 0” Est.
Austère Austriche en Centurie I, 82. (14)
CENTURIE I
LXXXII.
Quand les colonnes de bois grande tremblee, (1)
D’Auster conduite, couuerte de rubriche: (2)
Tant vuidera dehors grande assemblee, (3)
Trembler Vienne & le pays d’Austriche. (4)
Voici un nouvel emploi du R de l’ « alphabet caché »…
Nous avons d’AUSTER conduite en (2) ;
Avec un A majuscule pour indiquer une anomalie.
En fait c’est pour indiquer le pays d’AUSTRICHE en (4)…
Le vers nous le dit :
D’Auster conduite, couuerte de rubriche: (2)
d’oster d’Auster …
ôter quoi d’Auster?
Retirons notre « R », comme nous le rajoutons dans l’autre quatrain (I.1) pour Qui est vain devient QuiévRain, …
A qui il manquait un R ain ; Rhin, rein, …
(Comme à certains manque un oeil… Nous verrons plus tard)
donc
d’oster d’Auster … ôter quoi ?
Auster moins R = Auste, oste, ost, …
Et nous obtenons en (4) :
Trembler Vienne & le pays d’Austriche. (4)
Auster et Austriche sonnent et résonnent…
rimes riches…
AUSTRICHE, Moins riche de son R, donne :
« Le pays d’AUSTICHE… »
ou
Le pays d’Ostiches…
C’est-à-dire le petit village du
« Pays des collines »
Qui se situe entre Ath et Wodecq…
« Quand les colonnes de bois grande tremblee, (1)
D’Auster conduite, couuerte de rubriche: (2)
Tant vuidera dehors grande assemblee, (3)
Trembler Vienne & le pays d’Austriche. » (4)
Notons qu’il y a : grande tremblée, (1)
Et en dessous :
Grande (assemblée) Trembler… (3) et (4)…
Ici l’assemblée semble diviser
plutôt que d’assembler « grande » et « Trembler»…
Mais aussi au contraire, il faut assembler grande et Trembler,
pour revenir au premier vers du quatrain…
Et ce procédé littéraire se retrouve assez souvent dans « les centuries »…
« Grande » (3) est l’anagramme de DANGER…
Ce qui convient tout-à-fait au mot Trembler…
Les colonnes de bois grande tremblée ;
Tremblez ! Grand Danger dans les bois des colonnes, des cohortes, … ;
Ce qui rappellerait alors
« grande assemblée »
Danger : assemblée,
Assemblée de colonnes, cohortes dans les bois ???
Trembler fait peut-être aussi référence au Tremble, l’arbre, …
Mais surtout il faut regarder les positions respectives de :
Quand les colonnes de bois grande tremblee, (1)
D’Auster conduite, couuerte de rubriche: (2)
Tant vuidera dehors grande assemblee, (3)
Trembler Vienne & le pays d’Austriche. (4)
En (1) Coin supérieur droit et en coin gauche inférieur (4)…
Nous verrons plus loin, pourquoi cette remarque concernant les coins…
Et puis aussi :
Couverte de rubriche… (2)
Si Austriche devient Ostiches
Alors rubriche devient
Rubiche
Sans l’R…
Les bois sous les couverts desquels courent les rousses (rhu) biches ???
Cette tremblée couverte de rousses biches …
Cou verte de rouge biche
c-à-d
riche de biches
comme cette rime … Riche…
Ruber, rubra, rubrum, …
(adj. rouge en latin)
“De l’indo-européen commun *h₁rudʰrós (« rouge ») dont sont issus le grec ancien ἐρυθρός erythros, le sanscrit रुधिर, rudhirá(« rouge ») ou l’anglais red.
Au sujet de l’équivalence entre ruber et rufus → voir f.” (source wikipédia)
N’est-ce pas « *h₁rudʰrós (« rouge ») » RHUD, Rudy, RHUD WOLF, le « loup roux CAMBIER»…
Les colonnes de bois deviennent donc des CERFS aux colonnes de bois…
Avec leurs biches dans les colonnes de bois…
Dont les muscles frémissent…
Belle image poétique…
Belles biches frémissantes aux aguets, …
« Quand les colonnes de bois grande tremblee, (1)
D’Auster conduite, couuerte de rubriche: (2)
Tant vuidera dehors grande assemblee, (3)
Trembler Vienne & le pays d’Austriche. » (4)
trembler
v i trembler [tʀɑ̃ble]
1 être agité de petits mouvements des muscles
avoir la main qui tremble
trembler de froid
2 être agité de petits mouvements
La terre a tremblé.
3 avoir peur
trembler devant qqn
et qui tremblent de peur…
Vuidera = vider
Ce quatrain n’est pas encore “vuidé”, il n’a pas donné tout son jus…
Chercher encore…
(à suivre)
Texte latin : “Legis cantio contra ineptos criticos (13)
Bien,
puisque nous évoquions le texte latin des Centuries, rappelons-nous que Rudy Cambier l’associe au vers (3) de la sixième centurie, quatrain 4, que voici :
Centurie VI.
IV.
La Celtiq fleuue changera de riuage, (1)
Plus ne tiendra la cité d’Agripine: (2)
Tout transmué hormis le vieil langage, (3)
Saturne, Leo, Mars, Cancer en rapine. (4)
puis viens le texte latin :
Centurie VI.
(100)
LEGIS CANTIO CONTRA INEPTOS CRITICOS
QUOS LEGENT HOSCE VERSUS MATURè CENSUNTO,
PROFANUM VULGUS ET INSCIUM NE ATTRECTATO :
OMNESQ ; ASTROLOGI , BLENNIS , BARBARI PROCUL SUNTO.
QUI ALITER FACIT , IS RITE SACER ESTO.
D’emblée un petit aparté intéressant :
Si l’on regarde sa place dans les dix centuries, le texte latin est situé à la centième place de la sixième centurie ;
C-à-d :
A la place de la césure de la versification en 6/4 des décasyllabes…
6 centuries / texte latin / 4 centuries, …
soit
600/400
de 1000
…
???
C’est une simple constatation…
Revenons au quatrain C. VI, 4 :
Centurie VI.
IV.
La Celtiq fleuue changera de riuage, (1)
Plus ne tiendra la cité d’Agripine: (2)
Tout transmué hormis le vieil langage, (3)
Saturne, Leo, Mars, Cancer en rapine. (4)
Tout transmué hormis le vieil langage, (3)
Ce vieil langage serait donc ce texte latin pris tel quel, sans une quelconque transmutation…
De plus, les voyelles nombreuses servent à décoder les deux mystérieuses tables jumelles de Moustier-les-deux-églises près de Frasnes-lez-Anvaing, dont les textes ne contiennent quasiment que des consonnes… ou des signes spéciaux…
“Moustier (en wallon Moutiè) est une section de la commune belge de Frasnes-lez-Anvaing située en Région wallonne dans la province de Hainaut.
Le village est situé au point d’intersection de deux antiques voies romaines.”
(Source Wikipédia)
En corollaire, on peut alors penser que le « Tout transmué hormis … » concerne la totalité du texte des centuries non écrit en latin. Ce texte « Tout transmué » aurait donc été « transmuté » volontairement et dans ce cas, ce vers (3) ne mentirait pas …
Sans doute, sans doute, j’y crois, puisqu’on y voit des fils longs (philon), (des sophes sans phil) des fils d’Ariane, s’entremêler, se serrer, se resserrer, faire des lacets, des nœuds, etc ???…
Ce texte latin est précédé de :
XCIX.
L’ennemy docte se trouuera confus. (1)
Grand camp malade, & defaict par embusches, (2)
Môts Pyrenees & Poenus luy serôt faicts refus, (3)
Proche du fleuue descouurant antiques roches. (4)
L’ennemy docte se trouuera confus. (1)
Ce qui dit bien que celui qui est docte est un ennemy ;
Et que cet ennemy se trouvera confus ;
Forcément par les transmutations du texte altéré volontairement ;
Mais peut-être aussi par les mensonges de ce texte mensongé…
Et par le texte latin, qui le dit en … latin…
L’ennemy docte, le N (haine) mis deux fois dans l’ennemi, nous donne souvenons nous le Minne ; l’Amour, la tendresse, …
La haine mis (e) au cœur des ennemis détruit les ennemis eux-mêmes !!!
Reste donc : l’Amour et les amis…
Inversons le sens de la phrase :
L’ennemy docte se trouuera confus. (1)
cela donne :
L’amy non-docte se perdra éclairé ?
Serait-ce comme une docte ignorance ?
La doctrine ne trouvant que la confusion ?
La docte ignorance parlerait-elle de l’ « abondance du cœur » ?
Quelque chose en moi résonne…
Comme les murs de Carcassonne…
Carcas. Sans sonne. (voir le quatrain…)
Pourquoi maintenant ?
Parce que cela me fait penser :
« Au TOC de la Campana », (voir autre quatrain…) qui sonne…
de la « Campane » des Templiers,
T.O.C.
T.empliers, O.rdre, C.hrist.
sons de la cloche,
qui sonne et résonne de quatrains en quatrains,
comme un rappel à se souvenir…
Se souvenir de la « drachme perdue »…
De la « brebis perdue »,
Du « trésor » enfoui et oublié dans un champ…
L’oubli du « Royaume perdu » …
(voir Henri Corbin : « l’Islam iranien » ;son livre dans lequel on trouve : … l’origine perse de Parzifal, l’angélologie d’Avicenne, la transmigration des âmes et l’oubli de leur origine, etc…)
Mais encore, pourquoi Carcas. Sans sonne ?
Comme une « Campana sans bourdon » ?
Comme un texte sans voix…
Un texte sans voyelle…
Et même deux textes bessons… (jumeaux)
sur des tables jumelles…
dans un village où se rejoignent deux voies romaines !!!
deux “fons bessons”…
Sous les cloches d’un clocher
et même deux
Qui « bien sonnent »,
Qui « bê sonnent »…
Un T.O.C.
Qui ne sonne plus…
Un TOC sans SIN
Qui ne sonne plus …
Un O. rdre T. emplier C.hrétien
Abattu …
Sous la « Campane »
Les tables bessonnes de Moustier,
dorment
Un texte sans voix, sans voyelles,
Qui ne sonnent plus sans leurs consonnes…
Et ce texte latin
Plein de voyelles…
LEGIS CANTIO CONTRA INEPTOS CRITICOS (1)
QUOS LEGENT HOSCE VERSUS MATURè CENSUNTO, (2)
PROFANUM VULGUS ET INSCIUM NE ATTRECTATO : (3)
OMNESQ ; ASTROLOGI , BLENNIS , BARBARI PROCUL SUNTO. (4)
QUI ALITER FACIT , IS RITE SACER ESTO. (5)
EIAOOAIEOIIO (1)
OEEOEEUAUèEUO (2)
OAUUUEIIUEAEAO (3)
OEAOOIEIAAIOUUO (4)
UIAIEAIIIEAEEO (5)
Et les consonnes :
LGSCNTCNTRNPTSCRTCS (1)
QUSLGNTHSCVRSSMTRCNSNT, (2)
PRFNMVLGSTNSCMNTTRCTT : (3)
MNSQSTRLGBLNNSBRBRPRCLSNT. (4)
QLTRFCTSRTSCRST. (5)
d’un
Un Quintain cette fois…
Pour la quintine, la quinte, …
un texte prêt…
Pour les tables de Moustier…
Muettes…
Elles…
Rudy Cambier a trouvé…
comment les faire parler !
Mais ce texte latin est quand même bizarre…
D’abord, si on veut le traduire, il est très compliqué…
En tout cas pour moi… qui ne suis pas un latiniste distingué…
De plus, fatigué de chercher des anagrammes et autres « sottises » dans les quatrains durant des heures, …, je me couche et commence à m’endormir…
Mais ce texte latin me tourne dans la tête…
Puis soudain, quelque chose m’amuse et me fait rire …
Une espèce de contrepèterie…
C
LEGIS CANTIO CONTRA INEPTOS CRITICOS (1)
QUOS LEGENT HOSCE VERSUS MATURè CENSUNTO, (2)
PROFANUM VULGUS ET INSCIUM NE ATTRECTATO : (3)
OMNESQ ; ASTROLOGI , BLENNIS , BARBARI PROCUL SUNTO. (4)
QUI ALITER FACIT , IS RITE SACER ESTO. (5)
LEGIS CANTIO CONTRA INEPTOS CRITICOS (1)
Ineptos criticos,
Inepticos,
ineptitos,
ineptitos cricos…
INEPTITOS !!!!
S’il n’est pt’it os !
Ben, s’il y a un os , et un petit os,
p’tit os, il y en a pour le moins un grand, forcément, …
Relativité oblige …
S’il n’est p’tit os,
Il n’est grand os…
Et
INEPTOS CRITICOS = INEPTICOS CRIPTICOS
Mais,
Cripticos,
C’est une « crypte aux os », …
Donc,
Dans la crypte aux os, il n’est pt’it os, il n’est grand os, …
CRITICOS
Quoi, criticos !
Qui critique os ???
Personne, (Perse sonne) assurément ne critique OS!
Cela donne :
Dans la crypte aux os, il n’est pt’it os, il n’est grand os qui n’critiquent autre os…
Car d’autres os, il y en a assurément !!!
Dans une cryptos…
Qui sont ces mots morts ????
CRYPTéS…
M. O. T.
M.OT d’ O.rdre T.emple
Le mot d’ordre du Temple c’est le mot lui-même mis en ordre ???
Et le mot d’ordre,
C’est
ORDRE
???
Il faut donc tout ordonner …
puisque tout est “transmué”
Et puis ,
que d’OS !
LEGIS CANTIO CONTRA INEPTOS CRITICOS (1)
QUOS LEGENT HOSCE VERSUS MATURè CENSUNTO, (2)
PROFANUM VULGUS ET INSCIUM NE ATTRECTATO : (3)
OMNESQ ; ASTROLOGI , BLENNIS , BARBARI PROCUL SUNTO. (4)
QUI ALITER FACIT , IS RITE SACER ESTO. (5)
IneptOS
CriticOS
QuOS
HOSce
Et ces quatre Os finaux en (2), (3), (4), (5)…
Encore quatre OS…
Enfin, je me revois dans la cours de récréation du Collège, avec des compagnons de classe, qui se plaisaient à apporter parfois des amusements du genre en latin…
Continuons pour voir …
Imaginons le texte cité avec l’emphase dramatique shakespearienne
des « doctes ennemys » :
“LEGIS CANTIO CONTRA INEPTOS CRITICOS”
Puis une petite voix de bénêt inculte (blennis inscium) qui n’y comprend rien …
« Dans la crypte aux os, il n’est pt’it os, il n’est grand os qui n’critiquent autre os… »
Calomnie et médisance … de vieux ossements…
Ah ! médisance !
Ah calomnie !
Que de dégâts faites vous, jumelles !
En effet, OS, oris en latin = la bouche, le visage.
Fait référence à la bouche, la parole, …
Dans la crypte aux bouches, il n’est petite bouche, il n’est grande bouche qui ne critique autre bouche…
Silence …
Sourires ?
Rires ?
On a aimé rire de tout temps…
N’est-ce pas Yvo ?
et puis,
LEGIS CANTIO = LEGIO CANTIS
LEGIS CANTIO = LECTIO GISAN
Legionis canticos
Cantiques de légion…
Lectio = lecture (lectio divina des moines)…
Legio christi…
Légion templière…
LECTIO GISAN, ben, c’est normal pour une crypte aux os…
Gisan sans t ;
Un gisant est sans santé, bien sûr !
Bref,
LEGIS Cantio
Legis de legere, lire en latin :
Le gis sans C de C-antio est sensé…
le gisant antic(os) « contra » comptera ses O, os,
« contra ineptos criticos »
le gisant comptera ses antiqu(es) OS
face aux ineptos criticos
???
QUI « ALLI » TER FACIT , IS RITE SACER ESTO.
Celui qui ici le fait trois fois, que ce rite soit sacré ????
« supposé rite templier »
question : Esto est-ce une forme subjonctive de être : esse en latin ?
BLENNUS, A, UM (adjectif)
2 siècle avant J.C.PLAUTUS (Plaute)
benêt adj. : niais, sot voir: benêt
niais, e adj. : (stupide, benêt), d’une naïveté extrême voir: niais, e
Qui aliter facit, is rite sacer esto (s)
Si j’ajoute S à la fin, et de la fin jusqu’au début :
Es c’t’os (pour) estos
Ca sert es’t os, (pour) sacer esto (s)
Si on retourne is TE RIT, is the rite
C’est l’HYSTERIE
Alors
Ca sert cet os !!
Cet os est sacré
Le sacrum est sacré
Ca sert de dos cet os
Sa sert d’os
Si ce sacerdoce sert d’os, etc, …
Censuré…
Quos legent hosce versus maturè censuntO,
Q uos legent hosce versus maturè censunt O,
Qui aliter facit, is rite sacer esto
Q ui aliter facit, is rite sacer est o
Deux phrases en « Ouroboros » le serpent qui se mange la queue…
Le début et la fin…
Alpha et Oméga…
Q en tête, c’est un O avec une queue, O à la fin, c’est la bouche du serpent…
La tête de la phrase et la queue de la phrase, la queue de la phrase est le début, le début de la phrase, contient la queue… Cela fait tourner la tête, non !
Comme un chaton qui cherche à attraper sa queue !!!
Une espèce de miroir qui regarde l’infini ! L’infini, miroir qui nous regarde … (voir Henri Corbin encore )… Le Mirouêr des âmes simples… encore…
Encore et forcément : c’est de la contemplation…
Et Yvo… était un contemplatif tout de même …
Et le baiser templier tant décrié sur le Sacer Os : Sacrum…
Omnesq ; Astrologi, Blennis, Barbari procul suntO,
O mnes Q encore O en tête et Q en queue, si j’ose dire…
Pour ne pas dire le contraire…
Et procul sunto : Pro cul, pour le Q sont les O(s) …
Ouroboros…
Ouro = Ouranos ???
Boros = Borée ???
LEGIS CANTIO CONTRA INEPTOS CRITICOS
Quos legent hosce versus maturè censuntO,
Profanum vulgus et inscium ne attrectatO :
Omnesq ; Astrologi, Blennis, Barbari procul suntO,
Qui aliter facit, is rite sacer estO.
Ces 4 O sont les points cardinaux ouverts, lorsque tout est OK. VERT.
La croix templière s’ouvre jusqu’au cœur.
La croix pattée.
pathétique
4 chemins, 4 bras de la croix templière s’ouvrent en leur milieu.
C
Ces bras forment alors quatre voiles dévoilées (léthéia et aléthéia)(ISIS) dans les quatre directions cardinales NSEO.
4 Voiles divisées en deux, formant huit demi voiles, formées sur deux côtés (intérieurs) d’une part, par un fléau d’arme, et d’autre part, sur les deux autres côtés (extérieur) par un sept, dans différentes positions spéculaires.
(je dois ajouter un schéma) …
D’où,
Huit formes de 7
Constituant les 8 clés 7 d’ouvertures de la CROIX (Ou) VERTE
Les 7 CLAVES (clavis-clavis = clé)
LES 7 clavicules de SALOMON
LES 7 CLES DU TEMPLE de SALOMON (salmon)
En écartelé …
les quatre Os finaux, sont les 4 os finos
le carré final d’os
la tour carrée aux quatre coins arrondis en tours rondes
Ce sont :
les quatre points cardinaux,
le labyrinthe d’OS
d’OSIRIS, ISIS, HORUS,
SETH, sept, 7
le DIEU CHACAL,
Allons voir un peu cette mythologie égyptienne.
Rappelons-nous que les Templiers ont largement été en contact avec les Mamelouks d’Egypte…
Cela pourra toujours servir par la suite…
Donc,
« Seth est une divinité guerrière de la mythologie égyptienne. Par Seth grondent les orages, il s’oppose toujours à l’harmonie des choses et des arrangements, il est la force brûlante, capable de détruire toute forme de vie. Il a été associé au Typhon grec, qui pouvait de ses mains étendues toucher l’Orient et l’Occident.
C’est l’un des dieux les plus complexes et ambigus ; les mythes relatifs à Seth le dépeignent comme un dieu ambitieux, comploteur, manipulateur, quand il ne se résume pas tout simplement à un assassin. Bien peu de vertus sont donc à l’actif de ce personnage que Rê, le Maître de Monde, défendit contre l’avis de toute sa famille, la protection de Rê venant du fait que Seth est le protecteur du Soleil.
De son père Geb, un des quatre éléments primordiaux, il a reçu la terre stérile, tandis que son frère Osiris bénéficiait des sols fertiles ; également par sa mère, Nouth, un autre élément originel, il se rattache à la Grande Ennéade héliopolitaine.
Sa figure animale n’a pas été formellement identifiée. Bien que l’on ait souvent considéré qu’il s’agissait d’un animal imaginaire, une hypothèse y verrait l’oryctérope du Cap, un animal nocturne d’Afrique subsaharienne1 ou le chacal.
On l’appelle aussi le « dieu rouge », le dieu « grand de force » (ˁȝ phty), maître du tonnerre, de la foudre et du désordre, dieu du désert et de l’aridité, des pays étrangers : les Égyptiens s’en méfiaient beaucoup, sauf sous les Ramessides où il était vénéré quasiment sur un pied d’égalité avec Horus : les Égyptiens le vénéraient tout en le redoutant.
Les personnes aux cheveux roux ou châtains étaient considérées de son obédience. D’autres Égyptiens lui vouaient des cultes secrets qui exigeaient des sacrifices humains ; ces sectes furent toujours maudites et poursuivies par les pharaons. Dans un certain sens, le christianisme a récupéré Seth sous le nom du « diable ».
Seth est associé à deux grands mythes :
- Le mythe héliopolitain qui le met en scène avec Rê, dont il est le petit-fils né de l’union de Geb et de Nout la déesse du ciel. Il est ainsi vu comme un dieu bénéfique représentant la force et l’énergie, défenseur de la barque solaire contre Apophis le serpent, le Mal incarné qui menace l’équilibre du monde.
- Le mythe osirien où il assassine son frère Osiris (Ausare), pour régner à sa place et s’oppose à Isis et au fils qu’elle a eu d’Osiris, Horus qui réclame le trône et l’héritage de son père. Les ruses dont il fait preuve, le procès auquel il se trouve confronté, tout dans sa vie fait de lui un dieu au profil très humain.
La principale source pour le mythe osirien est le long texte narratif du papyrus Chester Beatty I (XXe dynastie), publié en 1931, que les égyptologues connaissent sous le titre moderne des « Aventures d’Horus et Seth » (« Contendings of Horus and Seth »)2.
La prétention de Seth
Seth (à gauche) et Horus (à droite) adorant Ramsès II à Abou Simbel
Jaloux de son frère qui règne sur l’Égypte, Seth organise un complot et tend un piège à Osiris3. Il l’assassine en le noyant dans le Nil. Isis, l’épouse d’Osiris, retrouve le dieu noyé, l’embaume et lui donne une sépulture dans le delta du Nil. Seth retrouve la sépulture de son frère, et de rage, le dépèce et disperse les morceaux du corps dans toute l’Égypte. Isis, infatigable veuve, retrouve treize des quatorze parties de son bien-aimé (la partie manquante étant le sexe d’Osiris, dénommé à cette occasion son « talisman »). Puis Isis le reconstitue, lui insuffle le souffle de la vie éternelle, et par sa magie conçoit avec lui un fils, Horus (Hor).
Au-delà de l’assassinat d’Osiris par Seth, sans cesse poussé par son insatiable jalousie, Seth eut tôt fait de reporter sa haine sur Horus.
4 Seth et Horus ; une lutte sans fin
Horus, fils d’Osiris, en est aussi l’héritier : la couronne d’Égypte lui revient donc de droit. Mais Seth, jaloux et considérant la primauté de ses propres droits, s’en est emparé par la force et ne lui cède rien. Horus, appuyé de sa mère Isis, fait convoquer le tribunal des dieux à toute fin de régler ce contentieux. Rê préside, tandis que Thot tient le rôle du greffier.
Quatre-vingts ans s’écoulent pourtant sans que le débat ait progressé. Le tribunal est même partagé entre les tenants de la royauté légitime (revenant à Horus), et Rê qui voit en Seth son perpétuel défenseur contre Apophis. Les débats, qui tournent en rond, nécessitent un avis extérieur. C’est donc à Neith, déesse de Saïs, réputée pour son infinie sagesse, que Thot s’adresse. Sa réponse est sans ambigüité : la couronne revient à Horus. Cependant pour ne pas pénaliser Seth, Neith propose de lui offrir les déesses Anat et Astarté comme épouses.
Si le tribunal se réjouit de cette solution, Rê, lui, reste sceptique. Horus ne serait-il pas un peu jeune pour assumer la direction du royaume ? Isis, excédée par tant de tergiversations, propose de déplacer les débats à Héliopolis (Onou) devant Atoum et Khépri. Le ton monte ! Seth, furieux, s’y oppose et ordonne que les débats se fassent en l’absence d’Isis. Mais c’était compter sans la ténacité de la déesse.
Elle se réintroduit dans l’enceinte du tribunal sous les traits d’une belle jeune femme qui ne manque pas d’attirer rapidement l’attention de Seth. Tous deux finissent même par converser. Troublé par tant de beauté, Seth s’égare dans des propos compromettants, reconnaissant même sous la cape la légitimité filiale d’Horus. Isis se dévoile alors. Le coup de théâtre laisse Seth sans voix. Quant à Rê, il a pu juger de l’imprudence de Seth, qui se confia à une inconnue sans prendre garde. Aussi la couronne revient-elle à Horus des mains de Rê lui-même.
5 La revanche
Seth, éternel jaloux, ne semble pas décidé à en rester là. Il propose à Horus des jeux sportifs. Parmi eux, une épreuve aquatique où les deux dieux se transforment en hippopotames. À celui qui restera le plus longtemps sous l’eau de devenir roi. Mais Isis, qui suit de près les mésaventures de son fils, perturbe la partie et s’attire au final le mécontentement des deux protagonistes. Les trois dieux se déchirent en violentes disputes.
Rê, désespérant d’assister enfin à une réconciliation entre l’oncle et le neveu, les invite à faire la paix autour d’un banquet. Seth fait mine de se réconcilier avec Horus ; il l’attire chez lui pour y « passer un bon moment » ; la journée passe, les deux dieux se couchent et, durant la nuit, Seth pénètre Horus et jouit sur ses cuisses (ou entre les mains d’Horus) :
« Cependant, le soir tombé, on leur prépara le coucher ; ils s’allongèrent, les deux hommes, mais pendant la nuit, Seth durcit son membre et le glissa entre les cuisses d’Horus. Horus plaça ses mains entre ses cuisses et recueillit le sperme de Seth. »
L’attentat, destiné à féminiser Horus et à le rendre indigne du pouvoir, finit par se retourner contre Seth. Et la querelle reprend de plus belle.Osiris, resté silencieux, intervient alors et met directement en cause le tribunal qu’il juge trop laxiste. En tant que dieu de la végétation, il menace de couper les vivres à l’Égypte. Les dieux, bousculés par tant d’autorité, ne tardent pas à rendre un verdict favorable à Horus. Mais Seth n’est pas oublié. Placé aux côtés de Rê, il devient « celui qui hurle dans le ciel » pour que soit fait place devant le dieu créateur. Alors Rê-Horakhty dit : « Que Seth me soit donné, pour qu’il vive avec moi et soit mon fils. Il tonnera dans le ciel, et il sera redouté. »
Seth, défenseur de la barque solaire
Depuis le premier jour, Rê voyage dans le ciel à bord de sa barque qui l’emmène le jour d’est en ouest, puis la nuit d’ouest en est. Si le voyage diurne se fait sans ambages, la traversée nocturne du monde de dessous s’avère beaucoup plus périlleuse. Car, noyée dans l’obscurité qu’elle fend à vive allure, la barque est épiée depuis les profondeurs des ténèbres par Apophis, le serpent du chaos. Terrifiant, rapide, le monstre surgit et se dresse, gigantesque devant l’esquif solaire. Mais c’est compter sans Seth placé à la proue de la barque et qui, d’un coup de pique, envoie le serpent monstrueux s’en retourner aux confins du monde.
Hélas, la scène est sans cesse recommencée, au même titre que les nuits et les jours alternent indéfiniment. Cette lutte perpétuelle symbolise la victoire de l’ordre sur le chaos. On comprend dès lors que Rê ait pour Seth une certaine estime. Une estime telle qu’elle vaut à ce dernier d’être soutenu par le dieu des dieux, même lorsque son cas est indéfendable.
La bisexualité de Seth
Seth, dieu bisexuel4, est marié à la déesse Nephtys, et s’est aussi engagé dans des relations sexuelles avec Horus.
Cet épisode avec Horus dans les Aventures5 a longtemps passé pour un trait ribaud isolé qui témoignerait de la culture populaire, ipso factovulgaire, de l’Égypte tardive (la période des Ramsès étant l’apogée, et les derniers feux de la période pharaonique) ; ainsi l’éditeur princeps,Alan Gardiner, critiquait la valeur à la fois littéraire et morale de l’œuvre, qu’il imaginait récitée par un conteur, à la veillée, devant des auditoires de paysans6. De même, on a pu estimer que les Aventures, en raison de cet épisode de promiscuité et d’autres passages scandaleux comme la décollation d’Isis, appartiennent à une branche spéciale de la littérature égyptienne7. Mais deux autres passages homosexuels, l’un connu depuis plus d’un siècle, le papyrus de Lahun / Kahun (du Moyen Empire égyptien), où Seth interpelle Horus en vantant la belle croupe de ce dernier, à la suite de quoi Horus raconte à Isis que Seth veut le prendre sexuellement et celle-ci explique à son fils comment le duper durant le rapport ; l’autre annoncé seulement en 1977 et publié en 2001 (un des textes des pyramides inédit, datant de la Ve dynastie (trouvé dans l’antichambre de la pyramide de Pépi Ier), où Seth et Horus sont décrits en toutes lettres comme se sodomisant mutuellement, démentent cette conclusion et laissent à penser que l’homosexualité8 de Seth, tour à tour sexuellement agressif et passif (hmty), doit être un trait de sa personnalité divine comme figure de la confusion et du chaos9,10.
Dans les textes des pyramides, une scène raconte comment Seth eut une relation homosexuelle avec Horus, en tenant avec celui-ci le rôle actif11. Par ailleurs, une autre tradition mythologique attribue à Seth une relation homosexuelle, prolongée et consentie cette fois-ci, avec le dieu libyen Ach12.
Principaux lieux de culte du dieu Seth
En comparant Seth et Horus à deux tendances qu’il a isolées dans le moi, Roland Khater a vu en Seth la tendance égoïste du moi qui agresse la tendance à s’intégrer dans l’ordre général et à respecter autrui (Horus). Ce Seth complexe et ambigu fait le mal mais il est pourtant un dieu et non un démon. En fait, il correspond exactement à la tendance du moi que l’auteur a décrite comme étant nécessaire et raffermissante du moi. Petit à petit, cette tendance égoïste devra se réformer jusqu’à se concilier avec l’activité respectueuse du moi (Horus). Sa fonction est de consolider le moi dans ses acquisitions et sa progression alors que la fonction de la tendance à respecter autrui (Horus) est de permettre au moi de s’ouvrir au monde qui l’entoure. Si Seth est mauvais, il ne l’est pas pour toujours et sa destinée est de changer et de jeter ses armes destructrices. C’est ce que la religion osirienne traduit en disant qu’il est un dieu et non un démon et qu’il finira par être émasculé par Horus.
Dans la mythologie grecque, Deucalion (en grec ancien Δευκαλίων / Deukalíôn), fils du Titan Prométhée et de Pronoia (ou de Clymène selon les traditions), est l’époux dePyrrha, de qui il a Hellen, Amphictyon, Protogénie, Pandore et Thyia.
Il est, avec sa femme Pyrrha, un des seuls mortels qui survécut au Déluge (voir cet article pour plus d’informations). Réfugiés sur le mont Parnasse, ils reçoivent l’ordre de l’oracle de Thémis de jeter derrière eux
les os de leur grand-mère
afin de repeupler la terre. Comprenant qu’il s’agissait de Gaïa (la Terre),
dont les pierres sont les os,
ils ramassèrent des pierres et les jetèrent derrière eux : celles que jetait Deucalion se changèrent en hommes ; et celles que jetait Pyrrha, en femmes. Cette fable paraît fondée sur le double sens du mot grec laos, qui signifie à la fois pierre et peuple. (source Wikipédia).
vulgus /Prononciation ?/ neutre
- Foule, masse ou commun des hommes, public.
- vulgo narrare.
raconter à tout le monde.
- Populace, partie la moins noble de la population.
- vulgus insipientium, Cicéron. Tusc. 2, 26, 63
le vulgaire qui n’est pas sain d’esprit (en terme philosophique, qui n’est pas sage délire quelque peu).
- Troupe(foule des soldats), armée.
- Race(foule des animaux de même espèce).
- vulgus aequoreum, Senèque. Hippol. 957 : les monstres marins.
LEGIS CANTIO CONTRA INEPTOS CRITICOS
Quos legent hosce versus maturè censuntO,
Profanum vulgus et inscium ne attrectatO :
Omnesq ; Astrologi, Blennis, Barbari procul suntO,
Qui aliter facit, is rite sacer estO.
Omnesq ; AstRoloGi, BLennis, BArbari procul suntO,
ARGLA = Graal
OmnEsq ; Astrologi, BLEnnis, Barbari PRoCul sVntO,
EALEPRCV
Perceval
Le GRAAL
Perceval et le roi pêcheur (méhaigné)
1180
Chrétien de troyes,
Graal et Xvarnah,
Wolfram von Eschenbach 1170
PARZIFAL
Saumon de la sagesse
Le roy pêcheur du salmon de la sagesse
Sal mon saumon
Mon saumon salé
MON SAU,
mon chau
(prononciation en picard ?)
Chaudmont-gistoux
Grand MONTCHAUD ???
MONT Chaud ; (voir quatrain « éternel ce mont ») (devenu de Vénus ?)
Parzival possède le blason des deux fléaux du T déployé et le casque aussi ;
Manuscrit du début XII ème !!! (voir texte précédent…)
SALé
Le MONT LE
Le mont CasSEL
« Grand amas de monts »
(voir quatrain…)
SAL O MON
Et le Temple de Salomon,
Chevaliers du Temple…
Région des collines
Ces monts s’étendent du sud-ouest au nord-est dans la plaine de Flandre :
- Montagne de Watten (72 mètres)
- Mont du Tom[1]
- Mont Cassel (176 mètres)
- Mont des Récollets[2] (155 mètres)
- Mont des Cats (164 mètres)
- Mont de Boeschepe (129 mètres)
- Mont Kokereel (110 mètres)
- Mont Noir (152 mètres)
- Mont Vidaigne (136 mètres)
- Baneberg (140 mètres) dénommé parfois Mont du Moulin
- Mont Rouge (129 mètres) aux environs d’Ypres[1]
- Mont Aigu[1]
- Mont Kemmel (156 mètres)
- Mont Saint-Aubert[1] (149 mètres)
- Scherpenberg (125 mètres)
- Mont de l’Enclus (141 mètres)
Montagne de watten :
Watten (prononcé “Watte” en français, Waten en néerlandais, Wotten enflamand occidental, et signifiant
“passage à gué”
est une commune française, située dans le département du Nord (59) et la région Nord-Pas-de-Calais.
Scherpenberg (voir le quatrain avec escharpe… et la Scarpe)
procul /Prononciation ?/
- Loin, au loin, de loin, à distance, à une certaine distance, à peu de distance.
- procul este, profani! Virgile. En. 6, 258
loin d’ici, profanes !
- haud procul inde.
non loin de là.
Tourné, à propos ou mal à propos,hâtivement,
Os = bouche
Os qui legent, ho sce vers suce m’a tué rè cen su n tos
Versus = tourné
- mātūrē, à temps, à propos, tôt, tard
mātūrus /maːˈtuː.rus/
- Fait, mûr, à propos des fruits, des productions du sol.
- Mature, arrivé à maturité, arrivé à un développement complet.
- filia matura viro, Virg. En. 7.53
fille nubile.
- maturus venter, Ov. M. 11.311
grossesse arrivée à son terme.
- Qui est dans l’âge convenable, qui est en âge de.
- maturus militiae, Liv. 42, 52
en âge de servir.
le moment voulu de la mort.
- Qui est d’un âge avancé, vieux. Muri par l’expérience, sage, expérimenté, prudent.
- Prompt, prochain; hâtif, précoce.
- maturae hiemes.
hivers hâtifs.
- maturum est + infinitif
l’heure est venue de…
Procul = loin de
ODI PROFANUM VULGUS ET ARCEO
(Je haïs le vulgaire profane et je l’écarte.) –
Composé de pro (« devant ») et fanum (« enceinte sacrée »), littéralement « devant l’enceinte sacrée ».
ATTREctato
Notre château d’Attre près de l’abbaye de Cambron casteau…
De plus, conTRA = ATR
mATuRE = ATRE
ATTRE cTATo = ATTRE, ATT
AsTRologi = ATR
AliTER = ATRE
fAciT is RiTE = ATTRE
sAcRE esTo = ATRE
ATTRE = A TERRE, = A TERTRE
A TER , TER.
A deux terre
« Quos legent hosce versus maturè censuntO, »
hosce
OSQUE
La langue des osques volsques
Du latin OSCUS indo-européen du groupe Sabellique
(quatrain avec champ bellique – sabellique)
langue des Sammites, osco-ombrien , italique
anglais : OSCAN, espagnol, OSCO, portugais, OSCO
1ère invasion des Terramares, les Italiotes 2000 avant JC
2ème invasion des Villanoviennes 1000 avant JC
1ère traces écrites : IV ème avant JC
OSQUE, OSCUS, OSCO, OSCAN
Les osci, les opsci d’OPS (déesse)
LEGIS CANTIO CONTRA INEPTOS CRITICOS
QUOS LEGENT HOSCE VERSUS MATURE CENSUNTO,
PROFANUM VULGUS ET INSCIUM NE ATTRECTATO :
OMNESQ ;ASTROLOGI , BLENNIS , BARBARI PROCUL SUNTO.
QUI ALITER FACIT , IS RITE SACER ESTO.
1) QUOS LEGENT
Q UO S LE
L’ OSQUE
En doublant le U et l’un des deux changé en V : VOLSQUE
2) HOSCE (versus)
= OSCE = OSQUE
3) OMNESQ ;
OMNESQUE = OMNESQVE
= OSQUE MNE
3 osques possibles dans ces vers…
et secondairement
critiCOS = OS Cé ;
CEnSuntO = OSCE ;
SaCer EstO = OSCE
Avec OSCUS latin, oscan, osco
LEGIS CANTIO CONTRA INEPTOS CRITICOS
QUOS LEGENT HOSCE VERSUS MATURE CENSUNTO,
PROFANUM VULGUS ET INSCIUM NE ATTRECTATO :
OMNESQ ;ASTROLOGI , BLENNIS , BARBARI PROCUL SUNTO.
QUI ALITER FACIT , IS RITE SACER ESTO.
OSQUE = Loup = HIRPUS (les samnites)
Le pas de l’Osque dans l’arriège, à CORDOBA
HIRPUS = sillon, loup, charrue
HIRPEX = Herse
Village d’ ORLU en Ariège
Ferme DORLOU ??
« Où il y a un pic, il y a un loup… »
Arrachent la laine (lion, renard, loup, chacal), animaux razzieur.
WOLF VOLPI-ULPIUS LUPUS HIRPUS
(voir quatrain avec hulpian ; La Hulpe, La Louvière ??…
et lupus Trajan, …)
Les Osques : OSCI, OPSCI
Déesse de la Fertilité : OPS
C’est la MATER MATUTA
La mère du matin, de la Bonne Heure
Temple du Forum BOARIUM
C’est l’AURORE
“Matines” vient de MATER MATUTA
Les osques créent la cité de
LINTERNE !!!
Rue de Wodecq : Lanterne
ATELLA et CAPOUE
Les lettres A et E sont absentes
Remplacées par E et U
CIRCE vit sur l’île d’AEAEA
QUI ALITER FACIT , IS RITE SACER ESTO.
Transforme les marins d’Ulysse en porcs
D’où,
QUI ALITER FACIT , IS RITE SACER ESTO.
Ceux qui
En changeant ces vers avec des OS,
Deviennent des porcs…
QUI ALITER FACIT , IS RITE SACER ESTO.
En changeant les vers avec ces OS,
Les argonautes deviennent des porcs…
AEAEA (E)
l’île de Circé…
CIRCE, ULYSSE, ITAQUE
QUI ALITER FACIT , IS RITE SACER ESTO.
= ITAQUE
QUI ALITER FACIT , IS RITE SACER ESTO.
= ULISSE
QUI ALITER FACIT , IS RITE SACER ESTO.
= CIRCE
manque un P pour Pénélope
QUI ALITER FACIT , IS RITE SACER ESTO
circle, cercle, ROTA, ROTOR
roue, tore
ROT et OR = Or et Rouge = jaune et rouge
R O T O R
O O T O O
T T T T T
O O T O O
R O T O R
( Du latin rotator, qui fait tourner ou mouvoir en rond, formé de rotare rouler, qui vient de rota roue.) — Voyez Rotifèrc. Rotatior , sf ( Ro-ta-cion ) Mouvement …
Rotator
Rota tore
mouvement rotifère de la PIERRE TOMBALE DU CHRIST
Pénélope signifie oie, canard sauvage
(Bernache) ???
si le rite est sacré, revenons au thème central :
celui du CHRIST
R O T O R
O O T O O
T T T T T
O O T O O
R O T O R
Et la croix templière ci dessus
LEGIS CANTIO CONTRA INEPTOS CRITICOS
QUOS LEGENT HOSCE VERSUS MATURE CENSUNTO,
PROFANUM VULGUS ET INSCIUM NE ATTRECTATO :
OMNESQ ;ASTROLOGI , BLENNIS , BARBARI PROCUL SUNTO.
QUI ALITER FACIT , IS RITE SACER ESTO.
Pas de « christ » possible à partir d’ une seule phrase …
croix, infelix arbor, Latin, Français,
crux, crucis
STAUROS
Les termes croix viennent du mot latin crux qui a le sens de « poteau », « gibet », voire « potence ». (voir crucifiement et la Crucifixion propre au Christ) Le terme grec pour désigner le même objet est stauros, dérivé lui de la lettre tau.
La croix est un symbole en forme d’intersection, formée de deux lignes ou plus. La « région » est une zone définie par l’intersection (il y a ainsi en général quatre régions).
Le Robert historique de la langue française donne comme définition :
« Du latin crux, crucis, désignant plusieurs sortes d’instruments de supplice : le pal, la potence, la croix. L’usage de cette dernière apparaît à l’époque des guerres puniques (264-141 av. J.-C.). Le supplice de la croix était réservé aux esclaves, puis à ceux, malfaiteurs et voleurs, qui n’avaient pas le titre de citoyens romains. Dès Plaute (254-184 av. J.-C.), crux est courant en latin et entre dans des locutions proverbiales ; il prend le sens de “torture morale” et, par métonymie, désigne le tourmenteur. »
LEGIS CANTIO CONTRA INEPTOS CRITICOS
QUOS LEGENT HOSCE VERSUS MATURE CENSUNTO,
PROFANUM VULGUS ET INSCIUM NE ATTRECTATO :
OMNESQ ;ASTROLOGI , BLENNIS , BARBARI PROCUL SUNTO.
QUI ALITER FACIT , IS RITE SACER ESTO.
QUOS LEGENT HOSCE VERSUS MATURE CENSUNTO,
STAUROS
QUOS LEGENT HOSCE VERSUS MATURE CENSUNTO,
THEOS STAUROS
“Lasso (hiéroglyphe égyptien)
Le lasso (wȝ), (prononciation W, WO ???)
est le hiéroglyphe bilitère classifié V4 dans la liste de Gardiner
= des cordages, corbeilles et sacs.
Associé au bilitère vasque à purification (ḥb) et au signe unilitère support de jarre (g), c’est le déterminatif spécifiant qu’il s’agit de la fête Ouag : |
|
dans cette autre écriture, utilisé phonétiquement, il désigne le chemin (wȝ.t « ouat »), où le déterminatif apparaît moins comme un signe sémantique ajouté à la graphie phonétique que comme un idéogramme précédé de sa lecture phonétique. |
(source wikipédia)
Des FUSTES,
Voir quatrain des « fustes barbares »…
CAD
Des noisetiers entrelacés,
Donnent l’image :
Des lacets
Des lacs et des entrelacs
(croix celtes)
Des saules osier,
Pour faire des paniers
Noisettes et noix
GAULSIER
Mont Gaulsier de Wodecq…
Et dans la région des saules osier
D’ AUDENAERDE
RUDY CAMBIER
Se réfère au
« vieil rentier d’audenaerde »
Hiéroglyphe :
Le lasso (wȝ), donc est un hiéroglyphe
Un glyphe Hiéro, Sacré, SACER, …
Le lasso c’est un nœud coulant
Coulant comme le fil de l’O
Et cet hiéroglyphe bilitère
Le lasso, c’est LASSUS, et LAPSUS,
Et
Le lasso (wȝ),
C’est
WO
WO
DECQ
D’ACC ?
Et hiéro, c’est sacré
voir quatrain hiéron, n’est-ce pas NICOLE !
SACER ESTOs
Non ?
(à suivre…)
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