OCULUS et LOCUSTE (25)
Wodecq, 25-12-2013
Idées éparses …
Le labyrinthe…
Dans ces divers vers, moi Yvain, j’ai mis un labyrinthe de mots…
Il y a un fil d’Ariane, ou plusieurs… Il y a des fil longs (comme Philon le Juif), des fils coupés à renouer (le sophe sans philo qui devient « le philosophe » par effet de puzzle…
Et dans le labyrinthe, il y a le Minotaure… Et les OS de ses victimes…
Moi Yvain, j’ai mis des os aussi, Ô combien !
Tenez, par exemple : dans le môt Minôtaure ; il y a l’Ô du Min et il y a Tôre, le Taure, le Tau, symbole de la CROIX ;
Le Mine (en flamand : l’amour, la tendresse, je le connaissais, je la connaissais : petite rivière qui passait à Wodecq)
Dans Minotaure il y a, j’ai mis NOTORE ce qui ne veut rien dire … C’est notoire, de notoriété publique, même…
Mais j’y ai mis aussi l’eau du Minne, l’ »Ô » de l’Amôur, qui est aussi en Chine…
Et en chinant bien, j’y ai mis aussi le TORE au Minne…
(Si vous croyez qu’on ne connaissait pas la Chine, on connaissait quand même les Monts Gols, de Gengis Khan, non ?)
Et on aurait tore de croire que cela ne veut rien dire… (tiens l’ordi me signale une faute d’orthographe…) et (Tiens pour ORDI il ne m’en signale pas … Ordi pourtant ça ne veut rien dire… pour moi, Yvo, qui ne connait pas l’ordinateur…)
On aurait tort de croire que je suis décousu… Mon fil d’Ariane, conduit Thésée dans le Labyrinthe, jusqu’à l’endroit où se trouve le Minotaure…
J’ai mis les eaux du Minne « de l’amour » (MINO) associées aux TAURE, associées aux « grandes eaux de la liturgie de l’AVENT, car je suis moine AVANT tout… J’ai mis les eaux du Minne mélangées aux eaux du torrent, TAURE, du TORE, du teaure, du Taurus, … Aux eaux du Minne j’ai caché un Trésor, un THESAURUS, un THESEE, qui rencontre un monstre qui nous montre que l’UBRIS » grec l’hybridation est au centre du labyrinthe (et cela éreinte même à Corinthe…)
Un monstre à la tête de TAUREAU, de TRESOR, de THESAURUS, de SAURUS, de SAURIEN, … (vers darwinien)…
Et un CORPS d’homme, …
Mais faut-il tuer comme THESEE ce MONSTRE qui nous montre tant de choses ??? Après tout, THESEE n’est-ce pas « THE SEE » la MER, l’amer, la amère mer, la Mère, l’eau salée, …
Aux eaux du Minne// j’ai caché un Thrésor…
Pourquoi cela me fait-il penser à « Sur tes remparts, Jérusalem, j’ai placé des Veilleurs » ???
Parce que si je retire Jérusalem… « Jérusalem, combien de fois j’ai voulu te RASSEMBLER comme une poule RASSEMBLE ses poussins… »
Parce que si je retire Jérusalem, ça sonne (CA SONNE) mieux …
Sans ces CARCASSES du MINOTAURE… CARCASSONNE…
Je reprends …
« Aux eaux du Minne// j’ai caché un Thrésor »
« Sur tes remparts//j’ai placé des Veilleurs »
Ca sonne comme un sonnet, de décasyllabes…
Avec la césure en 4/6
Tiens, ça me revient…
Pour l’ORDI, ce n’est pas tout-à-fait vrai ; je connais l’ORDI et les NATIONS et l’ORDINATION…
Et dans la Liturgie et les textes : « LUMIERE pour éclairer les NATIONS »…
Mon Ordination me sert à rentrer dans les ORDRES…
Les ORDRES de QUI ? L’ORDRE de QUOI ?
Les ordres divins ; c’est vrai que mes ordres sont obéis à l’abbaye…
Obéis à l’Abbaye… Obayis à l’Abbéis.. Les ordres de l’Abbé, de l’AB, de l’ABCDaire…
Comme les ordres d’un BAILLY, un ABBAYE…
L’Ordre de CITEAU, la CIT-EAU, LA SI, LA SI DO, …
La cité des « Ô »…, L’eau blitère, oblitère, oublie terre…
Oublie Terre toi qui va sur les « Ô », les grandes « Ô »… de
L’ « AVENT » de l’ « AVENTURE »… Tel ULYSSE…
L’ « U » au LYS…, lu lisse…
Lu « Lulle » aussi lis, au silisse, au silice, ou « au sable mis »…
« au sable »
« Sable (héraldique)
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Pour les articles homonymes, voir Sable (homonymie).
Le sable est un émail héraldique de couleur noire. En représentation monochrome, il est symbolisé par un quadrillage de hachures horizontales et verticales. Le plus souvent, le sable est symboliquement associé à l’humilité, la prudence, la sagesse et la retenue, ou parfois à la tristesse, la lâcheté ou le désespoir.
Le terme sable viendrait du terme russe : соболь (sobol), désignant la zibeline, fourrure noire, ou de l’allemand Zobel, martre noire. Il désignait initialement sa fourrure noire et brillante. Fourrure est, par ailleurs, un terme d’héraldique.
Le terme continue à être employé couramment dans le nom anglais de plusieurs animaux, dont la zibeline ou l’hippotrague noir (sable antelope, dans le monde anglo-saxon). »
5:88
Sur le sablon par un hideux deluge,
Des autres mers trouvé monstre marin:
Proche du lieu sera faict un refuge,
Tenant Savone esCLAVE de Turin.
CLAVE = Clavis-clavis = CLEF
Pas de SABLE dans mes « CENTURIES »…
Sauf un quatrain avec « SABLON »…
Le « SABLON » c’est comme le FIL LONG, le sable long, (les sables d’Olonnes…) (Ô LÔNES)…
SABLON, SABLON, …
SABLON
Il y a un SABLON à METZ , METZ, METS, ça me donne des idées pour faire un quatrain…
Metz et Nancy par exemple…
10:7
Le grand conflit qu’on appreste a Nancy,
L’Aemathien dira tout je soubmetz,
L’isle Britanne par vin, sel, en solcy,
Hem. mi deux Phi. long temps ne tiendra Metz.
(Tiens PHILON, FIL LONG, …) …
Et SABLE LONG ? SABLE BLOND ?
Et au nord de cette sablière : l’Eglise St Pierre aux-nonnains …. Tiens, j’interromps , c’est NONE… CA SONNE … pour les « none »… la 9ème heure…
Et le Ban de St Martin … Et Montigny-les-Metz
Montignies l’aimé (lesmetz) : montignies-lez-Lens…
Les LENS, les lances, les piques, épique, …
SABLON, SABLON mais encore…
“Toponyme[modifier | modifier le code]
- Le Sablon
- Les Sablons, quartier du Mans ;
- La plaine des Sablons, une plaine sablonneuse située à cheval sur le 16e arrondissement de Paris et Neuilly-sur-Seine ;
- La rue des Sablons, une voie du 16e arrondissement de Paris ;
- La porte des Sablons, une porte de Paris ;
- Les Sablons, une station du métro de Paris située à Neuilly-sur-Seine.
- Sablons, commune française de la Gironde ;
- Sablons, commune française de l’Isère ;
et aussi :
- Blanc-Sablon, municipalité du Québec ;
- Coulonges-les-Sablons, commune française de l’Orne ;
- Saint-Gervais-des-Sablons, commune française, de l’Orne ;
- Veneux-les-Sablons, commune française de Seine-et-Marne ;
- Villeneuve-les-Sablons,commune française de l’Oise.
Autres[modifier | modifier le code]
Sur les autres projets Wikimedia :
- sablon, sur le Wiktionnaire
- Église Notre-Dame du Sablon à Bruxelles.
- Église Notre-Dame-des-Sablons, à Aigues-Mortes (Gard).
- Marché du Sablon, marché d’antiquités à Bruxelles.
- Porte des Sablons, ancienne porte à l’intérieur de la ville de Paris.
- Les Sablons, station du métro de Paris à Neuilly-sur-Seine.” (wikipedia)
ITE ! Allez, allons à « None »…
Liturgie des heures : None : 25-12-2013
(Tiens, ça me donne une idée : faire un quatrain avec LITURGIE , car « LITUR GÎT » …
Bon , vite à NONE…
Antienne
Mes yeux ont vu le salut que tu préparais à la face des peuples.
Psaume 118-20
153Vois ma misère : délivre-moi ;
je n’oublie pas ta loi.
154Soutiens ma cause : défends-moi,
en ta promesse fais-moi vivre !
155Le salut s’éloigne des impies
qui ne cherchent pas tes commandements.
156Seigneur, ta tendresse est sans mesure :
selon ta décision fais-moi vivre !
157Ils sont nombreux mes persécuteurs, mes oppresseurs ;
je ne dévie pas de tes exigences.
158J’ai vu les renégats : ils me répugnent,
car ils ignorent ta promesse.
159Vois combien j’aime tes préceptes, Seigneur,
fais-moi vivre selon ton amour !
160Le fondement de ta parole est vérité ;
éternelles sont tes justes décisions.
Hymne : Berger puissant qui nous conduis
Berger puissant qui nous conduis,
Tu nous as faits pour ta lumière ;
Et par delà ce jour trop bref
Tu nous emmènes dans ta gloire.
À travers l’œuvre de tes mains,
Nos cœurs déjà te reconnaissent ;
Mais le désir de ton amour
Toujours plus loin poursuit sa quête.
Nous voulons voir à découvert
L’éclat radieux de ton visage.
Dans l’aujourd’hui de ton appel,
Prépare en nous le face-à-face.
Antienne
Mes yeux ont vu le salut que tu préparais à la face des peuples.
Psaume 118-20
153Vois ma misère : délivre-moi ;
je n’oublie pas ta loi.
154Soutiens ma cause : défends-moi,
en ta promesse fais-moi vivre !
155Le salut s’éloigne des impies
qui ne cherchent pas tes commandements.
156Seigneur, ta tendresse est sans mesure :
selon ta décision fais-moi vivre !
157Ils sont nombreux mes persécuteurs, mes oppresseurs ;
je ne dévie pas de tes exigences.
158J’ai vu les renégats : ils me répugnent,
car ils ignorent ta promesse.
159Vois combien j’aime tes préceptes, Seigneur,
fais-moi vivre selon ton amour !
160Le fondement de ta parole est vérité ;
éternelles sont tes justes décisions.
Antienne
Psaume 127
1Heureux qui craint le Seigneur
et marche selon ses voies !
2Tu te nourriras du travail de tes mains :
Heureux es-tu ! A toi, le bonheur !
3Ta femme sera dans ta maison
comme une vigne généreuse, *
et tes fils, autour de la table,
comme des plants d’olivier.
4Voilà comment sera béni
l’homme qui craint le Seigneur. *
5De Sion, que le Seigneur te bénisse !
Tu verras le bonheur de Jérusalem
tous les jours de ta vie, *
6et tu verras les fils de tes fils.
Paix sur Israël !
Psaume 128
1Que de mal ils m’ont fait dès ma jeunesse,
– à Israël de le dire – *
2que de mal ils m’ont fait dès ma jeunesse :
ils ne m’ont pas soumis !
3Sur mon dos, des laboureurs ont labouré
et creusé leurs sillons ; *
4mais le Seigneur, le juste,
a brisé l’attelage des impies.
5Qu’ils soient tous humiliés, rejetés,
les ennemis de Sion ! *
6Qu’ils deviennent comme l’herbe des toits,
aussitôt desséchée !
7Les moissonneurs n’en font pas une poignée,
ni les lieurs une gerbe, *
8et les passants ne peuvent leur dire :
« La bénédiction du Seigneur soit sur vous ! »
Au nom du Seigneur, nous vous bénissons.
Parole de Dieu : (Sg 3, 1-2a.3b)
La vie des justes est dans la main de Dieu, aucun tourment n’a de prise sur eux. Celui qui ne réfléchit pas s’est imaginé qu’ils étaient morts, alors qu’ils sont dans la paix.
V/ Il s’en vient, il s’en vient dans la joie,
il rapporte les gerbes.
Oraison
Apprends-nous, Seigneur, l’amour de nos ennemis, à l’exemple de saint Étienne, le premier de tes martyrs, lui qui sut implorer le pardon pour ses propres bourreaux. »
(c) AELF 2013
www.aelf.org, le site officiel de la traduction française de la liturgie catholique
Association Épiscopale Liturgique pour les pays Francophones – 2008
« Ben, me vl’à revenu de NONE… »
Cela me donne des idées tout cela…
Tiens, LITURGIE …
Et puis :
3Sur mon dos, des laboureurs ont labouré
et creusé leurs sillons ; *
Tiens un « versus nature » pour mes vers latins :
6:54
Au poinct du jour au second chant du coq,
Ceulx de Tunes, de Fez, et de Bugie,
Par les Arabes, captif le Roy Maroq,
L’an mil six cens et sept, de LITURGIE.
Un seul quatrain contient LITURGIE…
Donc, important…
6:54
Au poinct du jour au second chant du coq,
Ceulx de Tunes, de Fez, et de Bugie,
Par les Arabes, captif le Roy Maroq,
L’an mil six cens et sept, de Liturgie.
6.54.4 : « L’an mil six cens et sept, de liturgie… »
1607 ou 1307 (modifié par N-D de Salon)
1307 de LITURGIE ; C’est une année dont il faudrait connaître la Liturgie effectivement… Et peut-être même 13-10-1307 , non ???
Par quel beau temps de liturgie sont morts les premiers Templiers ??? (à chercher)…
Liturgie, liturge gît, …
Moi, liturge me fait penser à LITHARGE , allez savoir pourquoi !
LITHARGE :
« lithargé , lithargyré
adj m falsifié avec de la litharge, notamment en parlant de vin » (source dictionnaire reverso.net)
Sacrilège pour moi le Divin Yvain, que ce vin hargé, chargé lithargé de lithos… de (lit aux os)…
Historiquement, le terme « litharge » a été utilisé pour former des mot-composés pour désigner des minéraux similaires. par exemple, le litharge d’or est un mélange de litharge et de minium, qui possède une couleur rouge; le litharge d’argent est un composé secondaire obtenu par la séparation de l’argent et du plomb; le litharge du bismuth est un produit similaire obtenu par l’oxydation du bismuth. Le terme a aussi été utilisé comme synonyme de céruse (blanc de plomb) ou de minium (rouge de plomb). Les vins ou cidres « lithargiés » désignaient des alcools de raisins ou de pomme traités avec du plomb pour l’adoucir et le sucrer. Ces alcools, parfois frelatés, ont été à l’origine de très nombreux cas de colique de plomb, dont la fameuse colique du Devon (crises très douloureuses et parfois mortelle). (source wiki)
Ha Ha ! La Colique de PLOMB…
La COLIQUE DE SATURNE, QUOI ! (plomb-Saturne)…
Car j’ai BU-COLIQUE, … C’est bucolique …
C’est colique-licot… ; La Veuve Cliquot –Quolic(t)…
J’ai la « boca » alcoolique, … ha, ha, ha, …
Oo –OO- ça me rappelle quelque chose… (voir plus loin)
Litharge nous donne en astrologie : séparation de la LUNE et de SATURNE, le minium égale le ROUGE , le SANG, la « GUEULE », le MINE, …
L’OR et le SOLEIL, forcément…
Le bismuth = le bis mute le vin en vin doux …
Le « besson » mute le vin…
La litharge en Liturgie, et en léthargie, ça endort, le vin et la liturgie…
Je me suis assoupi, après la soupe, … oups
Revenons zà :
LITURGIE
Revenones à LITURGIE (oui, l’ORDI, laisse-moi jouer avec les mots, les maux, l’emo Sion, … L’EMOTION quoi, l’ORDI !!!
Brigitte me demande à l’instant, je vous jure, à l’instant !, qui est Pasiphaé…
Moi, je savais que c’était une nymphe ou une déesse, alors, je fais « une bascule (Balance-Libra) sur écran» et j’obtiens :
« Dans la mythologie grecque, Pasiphaé (en grec ancien Πασιφάη / Pasipháê, « celle qui brille pour tous », une épithète classique de la déesse Lune), fille d’Hélios et de Persé , est l’épouse de Minos (roi de Crète). Elle est surtout connue pour être la mère du Minotaure. (source Wiki)
Mythe[modifier | modifier le code]
Elle est différemment présentée comme étant une immortelle (Antoninus Liberalis) ou une magicienne (chez Apollodore par exemple, ce qui la rattache à sa sœur Circé). De plus, un passage de Pausanias (III, 26, 1) montre qu’elle était associée à Séléné et vénérée dans le sanctuaire oraculaire de Thalamée en Lacédémone.
Elle conçoit plusieurs enfants de Minos, notamment Ariane, Deucalion, Glaucos, Androgée, Catrée, Acacallis, Xénodicé et Phèdre.
Jalouse des infidélités répétées de son mari, elle lui jette un sort, le condamnant à éjaculer des bêtes venimeuses s’il couche avec d’autres femmes, provoquant ainsi leur mort.
Ben dis donc ! La bonne idée ! Y en aurait des hécates tombes …
Dédale présentant la vache en bois à Pasiphaé, peinture murale de Pompéi (maison des Vettii), Ier siècle
Minos n’ayant pas tenu son engagement de sacrifier à Poséidon un magnifique TAUREAU BLANC qu’il lui avait envoyé en Crète, le dieu pour se venger rend Pasiphaé amoureuse de l’animal. Selon le pseudo-Apollodore (III, 1, 2) :
« Dédale construisit une vache de bois montée sur des roulettes ; l’intérieur était creux, et elle était recouverte d’une peau de bovidé ; il la mit dans le pré où le taureau avait l’habitude de paître, et Pasiphaé y entra. Quand le taureau s’en approcha, il la monta, comme s’il s’agissait d’une vraie vache. Ainsi la jeune femme mit au monde Astérion, dit le Minotaure : il avait la tête d’un taureau et le corps d’un homme[1]. »
D’après Hygin (XL), la divinité offensée aurait été Aphrodite. C’est suite à cet épisode que Minos fait construire le Labyrinthe (par le même Dédale), où il maintient enfermé le Minotaure (selon une tradition minoritaire rapportée par Diodore de sicile, Pasiphaé aide ensuite Dédale et son fils Icare à s’enfuir de l’île en bateau pour échapper à la vengeance de Minos).
Dans l’Énéide (VI, 447), Virgile la montre dans les « Champs des Pleurs » lors de la descente aux Enfers d’Énée.
Culte[modifier | modifier le code]
Dans la Grèce continentale, Pasiphaé était honorée comme une déesse de la divination à Thalames en Laconie (près de Sparte). Pausanias décrit le sanctuaire comme petit, situé près d’un ruisseau clair et flanqué de statues en bronze d’Hélios et de Pasiphaé. Son récit rapproche également Pasiphaé d’Ino et de la déesse lunaire Séléné.
Ca me travaille l’HypoTHALAMUS !!!
Belle bestialité caché et qui donne des MONSTRES…
Alors que je viens à l’instant de taper le Soleil et la LUNE de chez LITHARGE…
C’est donc, la maman à MINOTAURE , ça vous dit ?
Je vous jure que cela vient de se passer … « Sainte Chronicité » comme dirait Etienne Perrot dans son livre « CORAN TEINT » (traducteur de Jung…)
Et si je vous dit « Archétype » ?
Qui me répond « SYCHRONOCITE » ???
Donc si on sépare le PLOMB (SATURNE) de l’ARGENT (LUNE)
On sépare le PAPA (SATURNE-plomb) et la MAMAN (LUNE-argent) on obtient le LITHARGE d’argent…
le litharge d’argent est un composé secondaire obtenu par la séparation de l’argent et du plomb
Historiquement, le terme « litharge » a été utilisé pour former des mot-composés pour désigner des minéraux similaires. par exemple, le litharge d’or est un mélange de litharge et de minium, qui possède une couleur rouge
Moi, ça m’intéresse qu’avec la LITHARGE LITURGIQUE, on forme des MOTS COMPOSES, car ça me rappelle l’ « ubris » grec (l’hybride) et l’ « hybridité » des MOTS-COMPOSES…
Ne liquidons pas les bâtards…
CAR je vois une similitude évidente entre le MONSTRE HYBRIDE né des accouplements bizarres entre PASIPHAE et MINOS (La Crète- la crête à Wodecq)…
La Crète étant lasse on dira LASSE-CRETE, c-à-d LA CRéTE SECRèTE et Fatiguée : LA LASSE CRÊTE… lasse = lasso-lacet-tournant de montagne-chaussure-tresse-…)
Soit …
MINOS , MINOS, MINOS, …
J’ai MIS « MIN et OS » dans le même mot ; j’ai fait un « MONSTRE MOT », un « MOT-MINOTAURE »…
À partir du papa-mot MINOS – minne OS (os-oris) soit « BOUCHE D’AMOUR » et ses os…
Et j’ai mis PASIPHAE comme maman, même si elle ne voulait PAS, SIPHAE, …
« La Lune au plein de nuit » La lune pleine, PASIPHAE est pleine de Minotaure;
« Sur le haut Mont »… «(devenus-de VENUS)…
« MINOS, MON TRESOR » ne dit pas-SIPHAE, tu m’as fait un MINOSTAURE monstrueux…
Elle ne dit pas SI, PHAE, elle ne dit pas non non plus…
Dans SIPHAE il y a encore deux autres noms :
SI, si, ! SISYPHE et PHAETON…
3:65
Quand le sepulcre du grand Romain trouvé
Le jour apres sera esleu Pontife:
Du Senat gueres il ne sera prouvé
Empoisonné, son sang au sacré scyphe.
Tiens ! le quatrain du monstrueux sepulchre c’est PULCHER en romain : LE BEL…
Comme c’est pas Charles le Chauve, je lui Metz des TIFS
J’obtiens un pont de TIFS qui empoisonne les CHEVAUX les CHEVEUX, etc, …
He ! revenons à nos phaétons…
Et
PHAE = PHAETON
81.
Par feu du ciel la cité presque aduste :
L’urne menasse encor Deucalion :
Vexée Sardaigne par la Punique fuste
Apres que Libra lairra son Phaëton.
Scyphe et l’urne (GRAAL)
Et ne serait-ce pas, s’pas?
PA-SCYPHE-PHAË (TON)
Si pas Scyphaëton alors peut-être PASIPH(PH)AE ???
PASIPHAE …
Donc, SURTOUT…
Comme m’a conseillé un ami amateur de « de SOUSTELLE »
IL NE FAUT PAS FAIRE COMME THESEE ET TUER LE MINOTAURE, MAIS LE DECORTIQUER COMME UNE CREVETTE !!!
Et comme disent les alchimistes : « Tu sépareras le subtil (corps d’homme ) de l’épais (tête de taureau) avec grande industrie… »
et
22.
Le camp Ascap d’Europe partira,
S’adjoignant proche de l’Isle submergée :
D’Arton classe phalange pliera,
Nombril du monde plus grand voix subrogée.
Tiens ! V’là Europe et PHA l’ANGE et PHA RAON et la phalange grecque
EUROPE c’est IO notre VACHE Une tradition répandue considère que le nom du continent est celui d’Europe fille d’Agénor (en grec ancien Εὐρώπη / Eurṓpē), personnage mineur de la mythologie grecque, fille d’Agénor, roi de Tyr, et de Téléphassa, et sœur de Cadmos, Phénix et Cilix.
Une autre tradition ferait d’Europe la sœur de Libye.
Selon un mythe d’origine crétoise, cette princesse phénicienne jouait sur le bord de la mer lorsque Zeus se métamorphosa en un taureau blanc pour la séduire et l’emporta sur l’île de Crète. Elle y aurait donné naissance à trois fils : Minos, Rhadamanthe et Sarpédon. Zeus maria ensuite Europe à Astérion, futur roi de Crète, qui éleva les fils de Zeus.
Hérodote mentionne existence d’une tradition qui voit en elle l’origine de la dénomination d’un continent que, pourtant, elle n’aborda pas. En effet, Europe passa d’Asie Mineure en Crète, et de Crète en Lycie. L’historien met vigoureusement en doute l’assignation au continent européen du nom d’une phénicienne[réf. nécessaire]. Il refuse le vieux mythe crétois et considère l’Europe, qu’il assimile de préférence à la Grèce, comme un prolongement continental en opposition avec la Libye, qui représente l’Afrique et l’Asie.
Le nom « Europe » fut analysé sous divers angles et l’origine ci-dessus controversée.
L’analyse la plus répandue considère ce mot comme une combinaison des mots grecs eurýs (εὐρύς, « large »), la racine Ok, « œil » ; ṓps, (ὤψ, « le regard », qui finit par se généraliser dans le sens d’« aspect ».[pas clair]
La première mention connue du mot provient néanmoins d’une stèle assyrienne qui distingue les rivages de la mer Égée par deux mots phéniciens : Ereb, le « couchant », et Assou, le « levant ». L’origine des noms grecs Eurôpê et Asia se trouve vraisemblablement dans ces deux termes sémitiques[1]. Les marins phéniciens désignaient ainsi les deux rives opposées de la Grèce actuelle et de l’Anatolie (Ἀνατολή signifiant pareillement, en grec, le levant). En grec, dans un hymne à Apollon datant d’environ 700 avant notre ère, Eurôpê représente encore, comme Ereb, le simple littoral occidental de l’Égée. La mythologie grecque perpétuerait l’origine sémitique du mot en en faisant le nom d’une princesse phénicienne.
Astérion (Crète)
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Pour les articles homonymes, voir Astérion et Astérios.
Dans la mythologie grecque, Astérion (en grec ancien Ἀστερίων / Asteríôn) ou Astérios (Ἀστέριος / Astérios) est un roi de Crète.
Une scholie l’atteste chez « Hésiode et Bacchylide[1] » : roi des Crétois, il épouse Europe après son union avec Zeus, avant que celle-ci n’accouche des trois enfants du dieu. Le pseudo-Apollodore reprend ces éléments mais lui prête aussi une fille, Crétée[2]. Diodore donne quelques détails sur ses origines : fils de Tectamos et d’une fille de Créthée, il succède à son père sur le trône de Crète, épouse Europe et, n’ayant pas de descendance, il adopte les enfants qu’elle avait eus avec Zeus[3].
Chez Lycophron, il habite un palais sur le Dicté et les Curètes enlèvent une jeune fille de Sarapta pour lui offrir comme épouse[4]. Le même attachement aux Curètes et au mont Dicté se retrouvent chez Nonnos, où Europe est cependant bien son épouse[5].
Notes[modifier | modifier le code]
- ↑ Scholie à l’Iliade (Σ D Il. XII, 397). Voir les éditions scientifiques des deux auteurs : Catalogue des femmes [détail des éditions], fr. 140 MW = Bacchylide, fr. 10 SM.
- ↑ Apollodore, Bibliothèque [détail des éditions] [lire en ligne [archive]], III, 1, 2.
- ↑ Diodore de Sicile, Bibliothèque historique [détail des éditions] [lire en ligne [archive]], IV, 60-2-3.
- ↑ Lycophron, Alexandra [détail des éditions] [lire en ligne [archive]], 1301.
- ↑ Nonnos de Panopolis, Dionysiaques [détail des éditions] [lire en ligne [archive]], II, 695.
Voilà notre NONNOS , un nonos pour nos OS du texte latin…
Nonnos ou Nonnus (en grec ancien Νόννος, dérivé de νέννος / nennos « l’oncle ») est un nom grec porté, entre autres, par :
- Nonnus († 172), avec Acontius, Herculan et Taurin, martyrs à Porto Romano près de Rome ; saints chrétiens fêtés le 5 septembre[1].
- Nonnos de Panopolis (Ve siècle), poète, auteur des Dionysiaques ;
- Nonnos d’Édesse (Ve siècle), évêque d’Édesse puis d’Héliopolis.
Notre « NONE » d’aujourd’hui…et TAURIN, martyrs à PORTO ROMANO
Saint Taurin désigne plusieurs saints des Églises chrétiennes :
- Taurin d’Évreux († vers 412), ou Taurinus, premier évêque et évangélisateur d’Évreux de 350 à 411, dans l’actuelle Normandie ; célébré le 11 août[1],[2].
- Taurin de Rome († 172), avec Acontius, Herculan et Nonnus, martyrs à Porto Romano près de Rome ; célébrés le 5 septembre[3].
Périphas
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Dans la mythologie grecque, Périphas (en grec ancien Περίφας / Períphas) est un roi légendaire de l’Attique, régnant avant Cécrops.
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Mythe[modifier | modifier le code]
Autochtone, il règne avant la fondation d’Athènes sur les « hommes du commencement » (Antoninus Liberalis, IX). Riche et pieux, il offre un grand nombre de sacrifices à Apollon et rend la justice au plus grand contentement de tous. Son peuple l’admire tant qu’il décide de se détourner de Zeus pour le vénérer. Ils fondent des temples en son honneur et lui rendent un culte sous le nom de « Zeus sauveur épopsios meilichios ». L’épiclèse épopsios signifie « qui veille sur tous », et meilichios, « doux comme le miel », allusion à l’une des versions sur la naissance de Zeus.
Courroucé, Zeus veut d’abord foudroyer Périphas, coupable d’hybris (ὕϐρις / húbris), c’est-à-dire de démesure, dans sa bonté et sa justice mêmes. Apollon l’en retient, en évoquant les sacrifices qui lui ont été consacrés. Zeus choisit alors la clémence : il métamorphose Périphas en aigle et sa femme en orfraie. Il confère à l’aigle la royauté sur les oiseaux, en souvenir de la piété de Périphas, et en fait son symbole. Quant à l’orfraie, elle doit se manifester aux hommes comme un bon présage.
Cette légende a pu être interprétée comme une satire de l’apothéose des rois, établie en Grèce antique à partir d’Alexandre le Grand. Elle peut aussi illustrer les rapports établis par la mythologie grecque entre rois et dieux. Ainsi, selon Marc Richer (op. cit.) :
« La déification du roi ne peut évoquer, quant à elle, que l’abolition de la distance entre lui et le dieu, par excès de justice (δίκη / díkê), de richesse et de piété, c’est-à-dire par une hybris du « bon » règne. Ce qui fait voir, à l’inverse, que le roi n’est lui-même viable, ou légitime, que s’il tire sa légitimité des dieux, ou de Zeus, roi des dieux, à distance de sa personne. »
Sources[modifier | modifier le code]
- Antoninus Liberalis, Métamorphoses [détail des éditions] (IX).
- Ovide, Métamorphoses [détail des éditions] [lire en ligne] (VII, 400).
SAINT EMPIRE GERMANIQUE (par exemple)…
75.
La voix ouye de l’insolit oyseau,
Sur le canon du respiral estaige,
Si haut viendra du froment le boisseau,
Que l’homme d’homme sera Anthropophage.
Phalange, phatos, pharos, …
Cette voix étrange étrangère des sirènes, des SIX REINES, cette langue (jardin du monde – jardin de la bouche (mond) langue, dents et lèvres, …Rose, …
La voix ouye de l’insolit oyseau,
La VOYELLE « Ô » ouye à « none »
Comme me l’avait appris « nona » ma « nounou »
La voix de l’insolite oiseau, oie-« Ô », dit l’insolite Solitaire qui revient les pieds de mes vers sur terre, dit Yvo de Lessinis, … heu, je voulais dire : l’insolite solitaire qui revient sur terre après avoir rêvé un peu, …
Pharos = phare de l’os = la lumière de la bouche, (et le VERBE s’est fait chair, par l’OS, par la bouche)
Phatos = PHOSPHATE = LUMIERE D’ATH
Mon surnom c’est :YVO le PHOSPHATE
Ou alors ATHOS, … de PATHOS « le souffrir »…
Que l’homme d’homme sera Anthropophage.
Que l’eau, l’ »Ô » domme, verdomme, c’est DOM de DOMINUS DOM, le MINUS MINOS…
DOM YVAIN
Tiens, ça me fait penser que c’est bientôt l’heure de la Sainte Messe et de la Sainte Communion…
L’homme anthropophage de L’homme et de Dieu par la double nature de JC…
D’ailleurs, en vieil langage, homo contient deux O’s
Et l’HOMO de l’HOMO sera anthropophage dans
HOMOOUSIA = HOMO-MOOU-OUSIA ;
Homo/omoh et le double O : OO serait anthropophagique , ??? HOMO-OO-OUSIA…
HO, HO …
HOMOOUSIA
« La Trinité ou Sainte-Trinité, dans le christianisme, est le dogme du Dieu unique en trois personnes : le Père, le Fils et le Saint-Esprit, égaux, participant d’une même essence (consubstantialité ou HOMOOUSIA) et pourtant fondamentalement distincts.
L’énoncé du dogme de la Trinité se présente comme la conséquence de ce qui est dit du mystère de Dieu dans les Écritures : dans l’Ancien Testament, Dieu a révélé son existence et son unicité ainsi que la venue du Verbe incarné ; dans le Nouveau Testament ont été affirmés la divinité de Jésus-Christ et le caractère personnel de l’Esprit-Saint.
- Le Père. Il est « celui qui est éternel » (Eloah/Elohim) (אלהים) ou IHWH, ainsi que l’ont compris la Septante et la Bible de Jérusalem dans leurs traductions du passage du Livre de l’Exode où est révélé le Nom divin. Le Nouveau Testament souligne la paternité de Dieu, déjà reconnue dans l’Ancien Testament.
- Le Fils, le Verbe ou la Parole de Dieu (Jésus-Christ), identifié comme celui qui était avec Dieu (Jn 11). Il est celui par qui le Père a créé le ciel et la terre ainsi que toute chose (comparer (Col 115-16) et (Hé 110) [où l’on voit dans Hébreux 1:8 que c’est le Père qui parle à son Fils]), et s’est incarné en Jésus-Christ (Jn 114). En lui « habite corporellement toute la plénitude de la divinité » (Col 29). En outre il est aussi l’alpha et oméga (Ap 2213) qui signifie « le premier et le dernier » (expression que l’on trouve déjà dans Es 4812). Dans le livre de Jean selon la TOB, Jésus se déclare lui-même « Je Suis » (Jn 858s; 24; 28 et Ex 314 ce qu’il confirme en disant : « avant qu’Abraham fût, Je Suis » Jn 856s).
- Le Saint-Esprit, en grec Πνεῦμα / Pneuma, est aussi appelé Παράκλητος / Paraclet, d’un mot qui signifie « avocat, intercesseur » (Jn 1426), et se distingue du Père et du Fils (Jn 14 ; Jn 1526 ; Jn 165s). Dans la doctrine chrétienne, il est l’« Esprit de Dieu » ou le « Souffle de Dieu » de l’Ancien Testament, hébreu רוח אלהים, Rûah, celui qui a inspiré les prophètes, s’est manifesté à la Pentecôte, et continue d’assister l’Église chrétienne. Il est surtout représenté par des symboles : la colombe, la tempête, le feu. Le texte évangélique précise : « Tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes, mais le blasphème contre l’Esprit ne sera point pardonné. » (Mt 1231 ; voir aussi Mc 329). » (source wikipedia)
ALLONS !!!
La Summa Res[modifier | modifier le code]
Durant le XIIe siècle, la renaissance théologique, nourrie des nouvelles parties de Platon et d’Aristote traduites en arabe et ramenées en Occident [13], amenèrent à repenser des grandes parties du dogme chrétien. Dès le premier quart de ce siècle, avec Abélard, les débats trinitaires reprirent. L’articulation logique du trois et de l’Un en Dieu a mené à des querelles où ceux qui favorisaient l’Un divin simple (atomos : qu’on ne peut diviser) au détriment des trois Personnes étaient qualifiés de sabellianistes, tandis qu’à l’inverse ceux qui laissaient une place trop importante à la pluralité des Personnes étaient accusés de trithéisme[14]. Plusieurs de ces débats ont mené à des procès chargés de trancher dans des questions parfois si subtiles que les cardinaux ou juges n’y comprenaient pas grand-chose. La première partie du siècle est dominée par l’activité de Bernard de Clairvaux en ce domaine. C’est lui qui demanda et obtint la condamnation d’Abélard, à Soissons en 1131, accusé de penchant trithéiste, puis celle de Gilbert Porreta à Reims en 1154 dont la solution pour justifier l’unité des trois Personnes repose sur la distinction entre Dieu et la divinité [15]. En 1154, Pierre Lombard publie ses Sentences, où il propose de concevoir en Dieu une réalité supérieure ou suprême (Summa Res) distincte de la divinité et ne possédant aucune des qualités des Personnes et de laquelle provient l’unité des Personnes divines. Cette solution logique lui attire les foudres de l’abbé Joachim de Flore qui l’accuse de fonder une quaternité, 3 personnes plus une réalité suprême. Le débat sera tranché au IVe Concile du Latran, par le décret Firmiter [16]. Il fut demandé aux mille deux cents prélats siégeant au Concile de répondre “nous croyons” à la proclamation du canon proposant la solution de Pierre Lombard, et “nous les rejetons” au canon concernant “Les erreurs de l’abbé Joachim”[17]
Décret Firmiter[modifier | modifier le code]
Le décret Firmiter du quatrième concile du Latran marque l’apogée de la théologie trinitaire dogmatique latine. En 1274, le Concile de Lyon II apportera une précision sur la spiration de l’Esprit-Saint. Mais il demeure que seul ce Concile depuis la période patristique a proclamé une telle profession de foi. En donnant Pierre Lombard comme modèle, il a instauré le motif menant par la suite à commencer toute carrière théologique par une lecture commentée des Sentences de Pierre Lombard, faisant de sa solution le climax de la pensée trinitaire de la pensée occidentale. Thomas d’Aquin, Bonaventure : tous les théologiens scolastiques ont eu à commenter le bien-fondé de la solution du Lombard.
Ce texte est donc capital, malgré sa complexité et sa longueur. Il est l’exacte définition dogmatique encore reconnue comme telle dans l’Église Catholique Romaine. Tous les auteurs catholiques, tenus par le dogme à le professer ne firent que l’approfondir et le rendre plus compréhensible. Pour se référer à la Trinité, c’est à ce concile et à ce texte que se réfère encore de nos jours le Saint-Siège [18]. De plus, il résume tous les autres débats antérieurs. Il est donc impératif d’en citer la partie dogmatique, qui demeure le dogme trinitaire occidental (une partie des théologiens venus des Réformes protestantes refuse d’entrer en ces subtilités et préfère parler de mystère insondable, d’autres s’alignent plus ou moins sur lui, parfois sans le savoir en utilisant des sources référées à ce canon) :
« Nous condamnons donc et nous réprouvons l’opuscule ou traité que l’abbé Joachim a publié contre Maître Pierre Lombard au sujet de l’unité ou de l’essence de la Trinité, en le traitant d’hérétique et de fou parce qu’il a dit dans ses Sentences : “Il y a une réalité suprême qui est Père, Fils et Saint-Esprit et elle n’engendre pas, n’est pas engendrée et ne procède pas”. D’où il affirme que Pierre Lombard considère en Dieu une quaternité plutôt qu’une Trinité, c’est-à-dire trois Personnes et, en plus, cette essence commune, sorte de quatrième élément ; (…) (344) il [Joachim de Flore] professe pourtant qu’une telle unité n’est ni vraie ni propre, mais en quelque sorte collective et analogique, comme on dit que beaucoup d’hommes sont un peuple et beaucoup de fidèles une Église (…) Quant à nous, avec l’approbation du concile universel, nous croyons et affirmons, avec Pierre [Lombard] qu’il existe une seule réalité suprême, incompréhensible et ineffable, qui est véritablement Père, Fils et Saint-Esprit, les trois Personnes ensemble et chacune d’elles en particulier. En conséquence, il y a en Dieu une Trinité seulement, non une quaternité, chacune de ces trois Personnes quelle qu’elle soit étant cette réalité, c’est-à-dire la substance, l’essence et la nature divine. Elle seule est le principe de toutes choses ; en dehors d’elle, il n’y a rien d’autre. Cette réalité n’engendre pas, n’est pas engendrée, ne procède pas, mais c’est le Père qui engendre, le Fils qui est engendré et le Saint-Esprit qui procède. Ainsi, il y a distinction dans les personnes et unité dans la nature. Bien que le Père soit autre, autre le Fils, autre le Saint-Esprit, ils ne sont pas des réalités autres, mais ce qu’est le Père, le Fils l’est et le Saint-Esprit tout pareillement ; ainsi, selon la foi orthodoxe et catholique, nous croyons qu’ils sont consubstantiels. Car le Père, en engendrant éternellement le Fils, lui a donné sa substance, comme celui-ci en témoigne : “Ce que m’a donné le Père est plus grand que tout” [Jn 10, 29]. On ne peut dire qu’il lui a donné une partie de sa substance et qu’il en a retenu une partie pour lui-même, la substance 345 du Père étant indivisible, parce qu’absolument simple. Mais on ne peut pas dire que le Père ait transféré sa substance au Fils en l’engendrant, comme s’il l’avait donnée au Fils sans la retenir pour lui-même ; autrement, il aurait cessé d’être substance. Il est donc évident qu’en naissant, le Fils a reçu la substance du Père sans qu’elle ne fût aucunement diminuée, et qu’ainsi le Père et le Fils ont la même substance. Ainsi le Père et le Fils et le Saint-Esprit, qui procède de l’un et de l’autre, sont une même réalité. Lorsque la Vérité prie le Père pour ses fidèles en disant : “Je veux qu’ils soient un en nous comme nous sommes un” [Jn 17, 22], ce mot “un” signifie pour les fidèles l’union de la charité dans la grâce, pour les Personnes divines l’unité de l’identité dans la nature, comme la Vérité le dit dans un autre passage : “Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait” [Mt 5, 48], comme si elle disait plus explicitement : “soyez parfaits”, parfaits par la grâce, “comme votre Père céleste est parfait”, parfait par nature, chacun à sa manière. Car entre le Créateur et la créature, si grande que soit la ressemblance qu’on peut noter, la dissemblance entre eux est plus grande encore. Si donc quelqu’un défend ou approuve sur ce point l’opinion ou la doctrine de Joachim ci-dessus mentionné, que tous le réfutent comme hérétique. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Trinit%C3%A9_chr%C3%A9tienne
Quel rêveur cet Yvo…
N’empêche qu’il connaissait « Joachim de FLORE » dont il « butine » sans doute un peu les livres et aussi
Pierre LOMBARD, dont la proposition n’a jamais été déboutée… (les SENTENCES)…
Dans la RUCHE de l’Eglise…
Li ruch, li rouch, li roch, …
EN l’AN 1154…
PÎR LONG BAR, n’est pas un BARBAR…
Li RUCH – li « RÛAH », RUACH,…
- Le Saint-Esprit, en grec Πνεῦμα / Pneuma, est aussi appelé Παράκλητος / Paraclet, d’un mot qui signifie « avocat, intercesseur » (Jn 1426), et se distingue du Père et du Fils (Jn 14 ; Jn 1526 ; Jn 165s). Dans la doctrine chrétienne, il est l’« Esprit de Dieu » ou le « Souffle de Dieu » de l’Ancien Testament, hébreu רוח אלהים, Rûah, celui qui a inspiré les prophètes, s’est manifesté à la Pentecôte, et continue d’assister l’Église chrétienne. Il est surtout représenté par des symboles : la colombe, la tempête, le feu. Le texte évangélique précise : « Tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes, mais le blasphème contre l’Esprit ne sera point pardonné. » (Mt 1231 ; voir aussi Mc 329). » (source wikipedia)
Li RUCH – li « RÛAH », RUACH,… Le SOUFFLE
Le PNEUMA pneuma,
Aujourd’hui on s’occupe fort des pneumatiques, mais c’est plus la même affaire…
« Il est surtout représenté par des symboles : la colombe, la tempête, le feu. » (wiki)
La colombe = li oyseau,
75.
« La voix ouye de l’insolit oyseau, »
Le langage des oiseaux…
La tempête = «
1.50.
De l’aquatique triplicité naistra,
D’un qui fera le jeudy pour sa feste :
Son bruit, loz, regne, sa puissance croistra,
Par terre & mer aux Oriens tempeste.
Par la tempeste de l’Esprit Saint naistra l’ »Aquatique Triplicité »…
51.
Chef d’Aries, Jupiter & Saturne,
Dieu éternel quelles mutations !
Puis par long siecle son maling temps retourne
Gaule et Italie, quelles esmotions ?
Ben, oui, ch’est pas un ordi, ichi, !!!
ARIES
Aries est le nom latin pour le Bélier (constellation).
« Chef d’Aries » , Tête de bouc !!! Ardé !!!
Déconseillé par wikipedia de confondre ARIES et ARES !!!
« Arès (en grec ancien ὁ Ἄρης, τοῦ Ἄρεως (au génitif) / Árês, Áreôs) est le dieu de la Guerre et de la Destruction dans la mythologie grecque. Fils de Zeus et de Héra, il est assimilé à Mars chez les Romains. » (source wikipedia)
Arès est l’un des trois (ou quatre, suivant la version) enfants de Zeus et d’Héra ; il appartient au panthéon des douze grands dieux de l’Olympe. Cependant, sa place dans le mythe est relativement limitée. Il apparaît principalement dans des récits de guerre ou de combats, au premier chef de la guerre de Troie, où il se range aux côtés des Troyens, sans raison particulière — on le voit d’ailleurs assister également des Achéens[1]. Comme les autres dieux, il exhorte son camp sous diverses apparences, notamment celle d’Acamas[2], et accompagne les héros sur le champ de bataille[3]. Toutefois, il est le seul à prendre directement part au combat et on le voit par exemple ôter son armure au défunt Périphas[4]. (wiki)
Chef d’Aries, Jupiter & Saturne,
et si je confonds alors j’ai MARS, JUPITER et SATURNE en un même CHEF
ARèS : Il apparaît au premier chef de la guerre de TROIE… IL RETIRE son ARMURE au défunt PERIPHAS…
IL LE DECORTIQUE COMME UNE CREVETTE…
(Symboliquement , il retire son armure-ramure= sa Voye voix de chant d’oiseaux : la Ramure, son ramage dira le renard du bon corbeau de la Fontaine… Il retire ce qui cache la tendre-tendresse substance-chair de PERIPHAS : PERI = ce qui entoure, donc l’ARMURE-RAMURE-TESSITURE… et PHAS –PHOS ; = la lumière intérieure de la PERIPHRASE que représente alors le monstrueux thrésor MINOTAURIEN VERBAL que ce Périphas Arèstocrate puisque Arès l’aide) Ceci me dis-je en aparté)…
Ainsi le pauvre défunt Périphas périt d’un manque d’air d’R, étouffé par sa carapace de bronze qu’est son armure musicale… Il y a un chant caché, un sens caché…
PERIPHAS / PERIPHRASE s’il a de l’R…
Ramure de cerf… et croix = Saint HUBERT…
A moins que CHEF ne concerne l’Héraldique ???
CHEF ROUGE comme MARS( et non Bélier à lier et non allié), donc de GUEULE,
JUPITER = ETAIN, eteint l’étain…
SATURNE = PLOMB
Jupiter : nom composé = notre Minotaure
CIEL-Père
DEUS-PATER
DIES PITER
Étymologie[modifier | modifier le code]
Le nom « Jupiter » vient de l’évolution d’un nom composé d’origine indo-européenne « *Dyēus ph2ter » signifiant « Ciel père », que l’on retrouve dans le grec Ζεύς πατὴρ et le védique Dyauṣ Pitā. La première partie du composé appartient à la famille formée sur *dyew, racine indo-européenne désignant « la lumière diurne », et sur laquelle est également formé le mot latin dies, « le jour ». On trouve même Diespiter chez Plaute et Varron pour désigner Jupiter[1].
L’accusatif Jovem a donné les adjectifs « jovial », « jovien » et aussi le substantif « jeudi » signifiant « jour de Jupiter » (Jovis dies). Le mot francoprovençal « Joux » que l’on retrouve souvent en toponymie alpine pourrait en dériver. Molière n’hésitait pas à mettre « Per Jovem! » (« Par Jupiter ! ») dans la bouche d’un personnage de pédant[2].
Légendes et mythes[modifier | modifier le code]
La plupart des mythes usuellement associés à Jupiter sont en réalité des adaptations en termes latins des légendes du dieu grec Zeus. La théologie typiquement romaine est pauvre en mythes, tant elle a été associée à une conception historique des légendes fondatrices[3].
C’est donc dans une perspective historique et non mythologique que les Romains représentent les actions de Jupiter. Ainsi, à plusieurs reprises dans l’histoire romaine, les Romains voient le signe d’une intervention de leur dieu. Celui-ci est par exemple censé avoir influencé le roi Numa Pompilius quand ce dernier organisa les institutions romaines. Les écrivains romains précisent également que Jupiter aurait envoyé à Numa un bouclier de bronze dont il fit des copies, les anciles[4]. Jupiter est également censé avoir guidé Tarquin l’Ancien jusqu’à son statut de roi de Rome. On lui attribue de même l’apothéose de Romulus[5].
Culte[modifier | modifier le code]
Parmi les divinités, Jupiter tenait toujours le plus haut rang. L’aigle, qui plane en haut des cieux et fond comme la foudre sur sa proie, était son oiseau favori. Il était de fait, en tant que maître du ciel, associé aux pratiques divinatoires liées à l’interprétation des signes célestes, tels que le vol des oiseaux ou les éclairs, comme la pratiquait les prêtres et les haruspices. Le jeudi, jour de la semaine, lui était consacré (Jovis dies).
« Le JEUDI pour sa fête… »
Chef d’Aries, Jupiter & Saturne,
et si je confonds alors j’ai MARS, JUPITER et SATURNE en un même CHEF
En effet,
51.
Chef d’Aries, Jupiter & Saturne,
Dieu éternel quelles mutations !
Puis par long siecle son maling temps retourne
Gaule et Italie, quelles esmotions ?
MARS, JUPITER ET SATURNE sont en CHEF de quatrains
De FER, en ETAIN en PLOMB
Dieu eternel, quelles mutations bestiales…
Pour passer de l’HYBRIDE BESTIAL
À l’UBRIS positif
Conduisant à
… Le dogme de la Trinité…
Wodecq, 27-12-2013
Addendum pour « idées éparses »…
Ce matin, au saut du lit, il me reste en tête quelques « queues de comète »… quelques points semi-finaux …
L’œil c’est OCULUS-i
OCULUS : c’est : L’OCULUS, LU sans l’ « U » = oclus ;
OCULUS : c’est : L’OCULUS, LU sans l’ « U » = locus ;
Et LOCUS , comme LOCUS-TE, c’est le LIEU, L’endroit
LOCUSTA = Sauterelles, langouste…
LOCUSTE MARIN = Langouste ???
Voir quatrain :
5:85
Par les Sueves et lieux circonvoisins.
Seront en guerre pour cause des nuees.
Gamp marins locustes et cousins,
Du Leman fautes seront bien desnuees.
L’ »ŒIL » c’est le LIEU, c’est l’OK (indo-européen)
L’OK-ulus = Le LIEU, c’est WODECQ, (
WODECQ a le Q au Q…
En 5.85.1 :
Par les Sueves et lieux circonvoisins.
LIEUX CIRCONVOISINS =
LOCI CIRCUM VECINOS ou au singulier :
LOCUS CIRCUMVECINUS
LOCUS = Lieu, place, emplacement, endroit, position (troupes). – Localité, région, pays, contrée, logis. – Lieu opportunité, moment convenable, occasion, motif, moyen. – Etat, situation, condition, place, emploi, famille, tour, ordre, rang. – Temps, époque. – Endroit, passage, (d’un livre). –
Par les Sueves et lieux circonvoisins. (1)
Camp marins locustes et cousins, (3)
Il s’agit bien de LOCUS
L’ OC, le lieu d’OC-CU, OC-Q, WOCQ, WODECQ, …
(Woudèque)…
L’OCULUS donc
Et des ALENTOURS (comme MARTIN de TOURS)…
Puisqu’au vers suivant (3) Yvo répète LOCUS- T , Lieu des Templiers et Cousins, les Cisterciens …
Locus-Tes et Cousins…
Et cerise sur le gâteau…
LOCUSTE MARIN = LANGOUSTE
C’est la LANGUE d’OUSTE, ou d’OST
La LANGUE D’OST des TEMPLIERS et des CISTERCIENS…
Puisqu’au vers suivant (3) Yvo répète LOCUS- T , Lieu des Templiers et Cousins, les Cisterciens …
Locus-Tes et Cousins…
Mais répète ainsi dans le « vieil langage » les « loci Wodecqensis »
Heu ! Excusez ce néologisme affreux !!!
Notons que dans SUEVES, il y a EVE,
Et que en dessous, il y a FAUTE… qu’il y a aussi CAUSE…, deux fois nuées = NUE
EVE NUE, CAUSE de la FAUTE ORIGINELLE VUE par l’OCULUS –ŒIL, le regard de DIEU…
Les nuées étant à la fois le « champ des nuages » et les nuées du « Paradis terrestre »…
« Toponyme : « paradis » opposé à l’ « enfer »…
OCULUS : Œil, organe de la vision, vue, regard. – Œil, bourgeon. – Œil (de la queue de paon), tache en forme d’œil. – Objet de tendresse, mignon, chéri, sujet de gloire
ODIUM, ii = Haine, inimitié, aversion, …Répignance éloignement, ennui, dégoût
ODISSE infinitif de ODI ; odiosus haïssable…
ODYSSEA : L’Odyssée…, poème d’Homère…
EAU-Mère, HOmère, … HOMME-MèRE
Voir plus haut dans « idées éparses …
The TREE sort de TRESOR (chêne Guien)…
A préciser et inclure dans « idées éparses »…
– Pierre LOMBARD : Li Pîr Long Bar, Lombard et Lombardie (voir quatrains)
– (quatrain = quatiran = quat tyrans d’ath…)
– Opposition « La chaste Suzanne » et Pasiphaé…
– Thalame et Calame,
– Europe et eurys (large) OK = « ŒIL » , Ops (le regard)
– la racine des mots = quatrain :
1.67.
La grand famine que je sens approcher,
Souvent tourner, puis estre universelle,
Si grande & longue qu’un viendra arracher
Du bois racine, & l’enfant de mamelle. (4)
« Si grande & longue qu’un viendra arracher »
= RACINE des MOTS (du bois)
L’Enfans de Mamelle = l’enfant : minotaure (les mots monstrueux)
Mamelle, la mère : PASIPHAE.. . (le mot monstrueux décortiqué quand on remonte aux mots parents :
Donc, Yvo dit deux fois la même chose… dans ce vers (4)
Sauf qu’il ne connaissait pas Christian… Enfin oui et non …
– Anatolie = LEVANT…
– « Hiéron » de Xénophon (Sénèque conseille ce livre « Hiéron » pour dissuader Néron de la Tyrannie…)
– Parler en petit neigre : li pitit neigrepont, Etc, …
Autres idées…
Cherchez (impér.) ce que Hiéron dit… (Xénophon)
Invenite (impér.) quod dicit Hiéro –nis…
Dicere ou aussi Quod LOCUTUS EST… de LOQUI (or)…
LOCUS-loci = le lieu… (en grec, en latin, …)
LOCUSTE suggère :
LOCALISEZ ! et Parlez !
Finale en TE = impératif pluriel…
LOGOS et LOGUS-i
LUCUS = BOIS SACRé…
Les mots spirituels :
LULIUM, LOLIACEUS = IVRAIE
LONGINQUE = d’un lieu très éloigné (dans le temps ou dans l’espace)… (temps pascal et avent ???)
LONGITUDO-inis : longueur
Longus…
En fait, presque tous les mots de mon petit dictionnaire latin-francais contenu dans les pages allant de LOC à LUC (CUL = Q)…
Loquax, loquela, loquens, loquitor, parler comme une pie (quatrain avec « agassa »…) LOQUI = parler, etc,, Loreus = de cuir, lorico = cuirasser, cuirasse, lorum = lannière rênes guides, fouet de cuir,
Lubricum = rendre glissant, terrain glissant, …
Lubricus = idem et lisse poli, équivoque, difficile,…
Position délicate, qui fuit, inconstant, moqueur,
Lucellum = petit gin, petit profit, …
LUCERE,eo, es Luire, éclairer briller, étinceler, être apparent, être visible, être clair, être évident, …
LUCERNA = Lampe, Veillées, …
Lucescere, o, is commencer à luire ; le jour point…
Lucide = clairement, avec lucidité
Lucidus = lumineux, brillant, transparent, …
Lucifer = Lumineux, qui éclaire, Etoile du matin,..
LUCIFERA = DIANE
Lucifuga,
LUCINA = JUNON ou DIANE Déesse qui présidait à la NAISSANCE, ACCOUCHEMENT…
LUCUBRATIO = travail de nuit…
LUCUS = bois sacré… Forêt, …
LUDERE = jouer …
LUDUS
Quatrain avec « CHIO PANTA lon mis fort arrière » =
DQLOT = déculoté…
AVICENNE (ibn Sîna) : SINA = SINAÏ… = AVIS-N
Avis-is = OISEAU-N
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