Le titre : “Les Centuries” … Tu ris ? (2)
Petite introduction
Tout a commencé par la lecture du livre de Rudy Cambier concernant “Les Centuries” attribuées à Nostradamus…
Voici comment j’ai démarré…
Par jeux de mots, bégaiements voulus, etc.
L’idée est que s’il s’agit bien d’un texte « crypté », il utilise des règles de cryptographie. J’utilise en bégayant (par exemple) une de ces règles (qui m’est accessible). Que se passe-t-il alors : le dédoublement augmente considérablement le « champ sémantique » de ce qui est cité. Exemple : cité bégayé donne : cicité, ou six cités, ou scie cité, ou siccité, ou cicitété,…
C’est comme cela que j’ai trouvé dans le quatrain « cité, deux fléaux »,
Que le T scié en deux verticalement donnait deux fléaux en miroir : un gauche et un droit, puis que ces fléaux étaient mentionnés sur une image de Wolfram von Eschenbach, …
Cité était « cité » en fin de vers, séparé des deux fléaux en début de vers suivant ; les deux réunis de la sorte donne sont vrai sens à ces trois mots qui se suivent en fait mais « géographiquement séparés par la versification…
Etc.
Ici, je joue avec le titre jusqu’à ce que l’esprit se fatigue, cela ouvre une brèche pour voir éventuellement un autre sens dans la cohésion « absurde » du quatrain…
Je suppose que c’est dû à la fatigue de l’hémisphère gauche du cerveau « analytique » qui demande l’aide de l’hémisphère droit « globaliste ».
Reprenant la relève, il ouvre un autre sens caché dans le quatrain.
Jeux de mot en guise d’exercice 1 à partir du titre pour la suite des évènements :
« Les centuries »
Anagramme :
Les ceintures
Les ceintures noires et blancs manteaux
Et croix pattées rouges.
Les Templiers…
Avec ou sans sang…
Qu’ y a-t-il dans ces « les centuries » ?
Ces lettres et presque que ces lettres ?
Et leurs sons…
(Exemple :
Leurs sons, c’est aussi du blé, dublé, c’est doublé, etc, …)
On peut en tirer ?
Cent-tirer-tures-
Ce n’est certes pas certin (centuries = certin), certain…
Les crétins (centuries = crétins) se rient des cerises (centuries = cerise), c’est sûr.
Cent sur (centuries), c’est censure,
Si tu tires les SS, c’est le centurie et c’est
Un sentier sûr, c’est sûr…
Si tu tries ces cent cerises et ces cent truies (centuries = truies), si tu ris c’est sensé, sensées, ces centuries ?
Cent trente (centuries), c’est sûr (si tu doubles le T)!
C’est cent trente cerises cent trente truies
et si tu te tais (T), tu tires truites (centuries = ruites)(si tu doubles le T), cent truites, truies et cerises, tu les serres, les sers en ren serrés tu les serrent … (si tu changes les sons C en sons S)
Et cent truies, c’est six cent seins, c’est sûr !
C’est six cent seins, six cent cerises centrées…
Tu centres ?
Rien.
Si ce titre te scie, cesse.
Triture ces tueries ces sans , ces cent sangs…
L’essence sent, et les écuries (centuries) restent curées et recurees par
Ercule
Hercule (accès d’un sens mythologique possible…)
Bégayons !
Les centuries
Les laids lais !
Sens ce sens, cent ce cent, sans ce sang…
Laissant sang et tueries… tu ris.
(On passe du « monde de la réalité meurtrissante » à un « monde de bonheur » où l’on rit, à la joie…
(Joie = don de l’Esprit Saint = contenu religieux = Abbaye)
Sens ce sang et tuant sans cesse ces cent tueries,
Tu tues les cent lais laids,
Les sang liers et les cent laies.
Sans ces centuries, tu ris sans cesse…
Et sans ces SSS
Ces seins, ces ceints, ces saints, et ces
Cisterciens
Sans ceinture
Ces ceints laissant ces saints sans ceintures
Ces series-ci c’est sérieux…
Suites sans suite…
Ensuite …
Les six cités citées si cité site si rite, si l scie t cent scie et cent six Ô !
Non, pas « Censéo »
Sens si c’est haut !
C’est scie t’Ô :
Les six cités scythes s’irritent si elles scient T sans scie et sans ciseaux
C’est C
Cîteaux !
Si tôt des six sterciens.
Des six cisterciens…
Ainsi YVO de Lessinis
Centuriae
Yvo voit une voie d’oies
En V
Dans le Siel
De Lessines
Yvo voit de la terre
Une voie d’air d’oiseaux d’eaux…
(voir quatrain adéquat… que je diffuserai plus tard)
Je vous le donne en cent et mille…
Emile
(C’est pour rire…)
Et le reste…
A chercher.. .
Si vous avez patienté jusqu’ici,
Yvo voit
C’est sûr.
Sans t.
Yvo voi.
Que voit Yvo dans le présent de son siècle passé ?
Des signes terrestres et célestes, se rapprochant, s’écartant, …
Mais où qu’il aille quel signe l’accompagne toujours ?
YVO
Et Yvo le voit, c’est sûr !!
Le signe partout présent avec lui, c’est lui-même…
Avec au-dedans, le « divin près » d’une autre « des prés »…
Donc c’est à lui-même qu’il revient sans cesse,
Tout au long de ces quatrains
Accompagné des autres signes de lui-même…
Yvo, ivo, ivon, ivain, ivin,
Et même en « mirouër »
N = U en minuscule : n = u
U = V ; u = v
Ainsi, dans voile, tu le vois ce voile, cette voile, ce viol, cette viole, …
Tu vois ivo
Yvo vivre…
Dans « Vivons » … IVo ,ivo , ino, trois fois caché reste … s
Yvo et ceux qui l’accompagne…
c-à-d
Yvo, ivo, ivon, ivain, ivin,
Et après, à peu près
« des prays », des prés, après,
de près et loing
« loin-près » divin,
divine pauvrette, porette, poor ette
(voir quatrain que je développerai par la suite)
Reste à retirer toutes ces possibilités de chaque quatrain, chaque vers, chaque verre
(de vin, devin, de vin divin) parfois vert jus, il est vrai…
(voir autre quatrain… idem)
Par exemple
« Le divin près s’assied »…
comme vous l’aviez déjà trouvé…
alors
par exemple :
le moyne = m oyn e
oyn : « mirouër » du N = Yuo = Yvo
oint, le moyne, donc
Centuries IX
XXVIII.
Voile Symacle port Massiliolique,
Dans Venise port marcher aux Pannons:
Partir du goufre & sinus Illirique,
Vast à Socile, Ligurs coups de canons.
« Voile Symacle port Massiliolique »
Ivo voit le Symacle …
Ivo voile Six macles.
Une macle est une association orientée de deux ou plusieurs cristaux identiques, dits individus,
Transposé, plusieurs sons, sens identiques orientés en associations différentes
Ecrit en « Scalde », en langage« maclé » en quelque sorte, …
(voir photo de la pyrite et de ses trois cristaux interpénétrés)
Du coup, sa signature est « pres » presque partout…
Essayons,
Même si c’est inutile,
Même si c’est fastidieux…
Dieu !
Dit Ivain
Divin !
Yvain Dit vin :
« au canon des bordeaux »…
« Prélat de Bourboing. »…
hé là !
hé là !
héla Ivo
Yvo “prélat” de l’Abbaye de Cambron.
Dans Prélat, « des prés » est là, même s’il est las, il est lat…
Latent, il attend, l’attendu,…
Prélat des vins de Bourgoinb, de Bourgogne, du Bourbon, …
Restons dans les vins…
Evinçons ce Bourbon que je ne scaurais voir,
Que je ne saurais boire…
Sauret voir sans bière
Bien belge… (cet Yvo)
« Sol au Lyon la fouldre tombera »…
Sol au l’ yon = l’ Yno, Yuo, Yvo,…
Je, ie suis Touiours là !!!!
Oui = iuo = ivo
Toujours
Touiours
T iuo iuo rs …
T ivo ivo rs …
YVO est bien témoing de son temps
Moigne,
M oi g n e,
MOI, moine, m OI g N e
OIN = oin = iou = iuo = ivo
Iournaliste
Ivo rnaliste
Et systématiquement dans la dixième centurie…
Et les autres…
Par exemple…
Mais pourquoi ce charabia grotesque ???
Comme je l’ai dit au début de ce fichier en introduction…
A suivre…
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