X pisti Sigillum et Eperons d’OR (27)

Posted by on Jan 25, 2014 in Yves de Lessines | Comments Off on X pisti Sigillum et Eperons d’OR (27)

Centurie I

58.
Tranché le ventre naistra avec deux testes,
Et quatre bras : quelques ans entiers vivra
Jour qui Alquiloye celebrera ses festes,
Fossen, Turin, chef Fer rare suyvra.

FER RARE suivra = UN FAIT d’ARME RARE

VA SUIVRE en 1.59

Bon, on commence ici

59.
Les exiles deportés dans les isles,
Au changement d’un plus cruel monarque
Seront meurtris : & mis deux les scintiles,
Qui de parler ne seront estés parques.

59.
Les exiles deportés dans les isles,
Au changement d’un plus cruel monarque

J’ai commencé à trouver ici les éperons d’or alors que je voulais aller voir sur le « green », le groen, le vert, c-à-d à son opposé, tous les ROUGE, SANG, etc, …

Mais voilà que me saute aux yeux…

SERONT,

Et j’avais déjà pensé à ce ront,

En pensant à la BATAILLE des EPERONS D’OR…

SERONT MEURTRIS :

Égale :

LES E-perons seront meurtris…

« per ons » = par (en latin), door « ons »

« par nous » en flamîns…

Mais soit…

Les éperons « door » ons,

les éperons d’or par nous ont été meurtris…

 

hé oui !

 

Comment ?

Mis deux les scintil(l)es

J’ai mis deux comme il y a deux éperons par cavalier, et parfois (pour certains) deux cavaliers pour un cheval !!!

 

C’est vrai que les éperons d’or ça scintille ! surtout au soleil…

Mais le soleil n’est pas encore levé… Il sort à peine, les français vont attaquer…

D’ailleurs, le soleil se lève déjà… ils vont l’avoir dans les yeux…

Nous les voyont briller dans la pénombre…

Leurs beaux éperons d’OR comme le soleil…

J’ai doublé le point qui représente le soleil, car quand il sera levé de deux points (deux poings) ils attaqueront…

À (2 x 15°) = 30° de hauteur = 2 POINGS (truc encore utilisé en marine)(c’t’un pote qui me l’a dit…)

Et les deux points ils sont ici :::::::::::::…

Comme sur notre SIGILLUM des Templiers…

Voici le SIGILLUM qui sort de presse flambant neuf…

 

sigillum templi

 

Je remarque que : Le X de X PISTI est un peu décalé…

Et que le W arrondi, c’est le M de militum à l’envers, ce qui représente un w grec…

Où est l’ALPHA ???  a ???

Il est entre le X et le P,,, autrement dit :

Il est entre le X et le P,,, autrement dit :

Ce qui donne X :A 😛 = PAX CHRISTI…

Donc notre a  

XAPISTI : + SIGILLUM ???

Non !! SAPRISTI !

XAPISTI ( :+) SIGILLUM ???   non

XAPISTISIGILLUM  mouais

XA  PISTIS IGILLUM mouais  =

PISTIS SOPHIA   là oui !

« pistis sophia »

ou un écrit gnostique bien connu …

 

( :+) ??? Que signifie ???

Voici mes deux poings fermés : un point représente un poing fermé… soit à bras tendu +- 15° d’angle …

SOIT deux points… = 30°

Les Templiers, dans les pays solaires, savaient qu’il fallait attaquer avec le soleil dans le dos …

Ils se sont bien positionnés, nos flamîns…

 

Seront meurtris : & mis deux les scintiles, (3)

 

D’ailleurs, scintiles deux fois = dix tiles , (Disent-ils)

Et dix styles= aussi cinq styles, et quintiles,…

Et sextiles et ter-tiles…

D’ailleurs, ne dit-on pas : piquer des deux ??? EPERONS

Même pas d’or…

Deux cavaliers, quatre éperons templiers…

Le point sur le i en caballe (cheval) (cabaleros), cela veut dire : LA LUMIERE SPIRITUELLE… SOLAIRE

L’AURORA CONSURGENS…

L’heure de l’attaque…

3 x : = Trois fois deux points solaires = six = SCI points

= 6 poings = 90° degrés d’altitude…

7 poings, points, oints = 105°

 

Seront meurtris : & mis deux les scintiles,
Qui de parler ne seront estés parques.

 

Ne seront = ép erons ;

S

Qui = esqui

Qui est-ce qui seront meurtris ? Les chevaux ?

Qui de parler ne seront estés parques.

Bon

Renseignons nous sur les éperons …

 

 

De l’ancien français esperon, du francique *sporo.

SPORO D ORO

Ca commence pas mal…

 

 

Du francique *sporo.

Nom commun

esperon /espeˈru/ masculin

  1. Éperon.
    • fissèt son caval d’un cop d’esperon,       e trobèt un pagés abilhat de negre, que portava sos quatre pels abatuts,       e una crespa penjada sus lo darrièr decatalanat de son capèl.

il éperonna son cheval et trouva un manant habillé de noir : ses quatre cheveux étaient ras, un crêpe pendait derrière son chapeau dégrafé. — (Jean-Baptiste Fabre, Istòria de Joan-l’an-pres, adaptation à la graphie classique par Patric Sauzet, traduction française Patric Sauzet et Felip Gardy, 1988, CRDP Montpellier)

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éperon

éperons

/e.pə.ʁɔ̃/

Un éperon d’équitation médiéval. (1)

Éperons sur les fleurs de Linaria pelisseriana. (2)

Construction sur un éperon rocheux. (5)

éperon /e.pə.ʁɔ̃/ masculin

  1. (Équitation) Pièce de métal à deux branches,

La verge en main, mise

au milieu de branche,

Il moulle et le limbe et le pied

Comme un eperon, espérons, espoir ?

 

qui s’adapte au talon du cavalier et dont l’extrémité pointue ou portant une molette sert à piquer les flancs du cheval pour le stimuler.

    • En effet, […], le cheval releva la       tête et hennit comme pour annoncer son arrivée, et, cette fois, sans que       son maître eût besoin de l’exciter ni de la parole ni de l’éperon,       il redoubla d’ardeur, …. — (Alexandre Dumas, Othon l’archer, 1839)
    • Et, enfonçant les éperons       dans les flancs de sa monture qui hennit de douleur, il partit à fond de       train. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, 1858)
    • Toute proportion gardée, je pourrais       comparer ce mouvement à celui du cheval qui vient de prendre,       tout-à-coup, un violent coup d’éperon près de la sous-ventrière. — (Dieudonné Costes & Maurice Bellonte, Paris-New-York,       1930)
  1. (Botanique) Prolongement en forme de tube de la corolle ou du calice (ne concerne parfois qu’un pétale ou sépale particulier).
  2. Partie de la proue d’un bâtiment qui      se termine en pointe et qui a plus ou moins de saillie en avant.
    • L’éperon supportait la figure       qui donnait son nom au vaisseau.
    • L’éperon des galères antiques       était armé de fer.
  3. (Maçonnerie)
    • Sorte de fortification en angle       saillant, qu’on élève au milieu des courtines, ou devant des portes, pour       les défendre.
    • Ouvrage en pointe qui sert à rompre       le cours de l’eau, devant les piles des ponts, ou sur les bords des       rivières.
    • Tous piliers qu’on construit extérieurement d’un mur de terrasse de distance en distance, et qui se lient       avec le corps du mur pour tenir la poussée des terres (Contrefort, anciennement contre-fort).
  4. (Géographie) Partie d’un contrefort, d’une chaîne      de collines ou de montagnes qui se termine en pointe.

Dérivés

  • éperon      barré (éperon      rocheux fortifié)
  • éperonner
  • éperonneur
  • gagner ses éperons (faire ses premières armes avec distinction.      Cela se dit, au propre, des anciens chevaliers ; et on le dit au      figuré de quelqu’un qui a bien mérité, qui justifie d’une manière      brillante les avantages, les récompenses qu’il obtient)
  • n’avoir ni bouche ni éperon (au sens propre, se dit d’un cheval qui ne réagit ni à la bride ni aux      coups d’éperons et au sens figuré se dit d’une personne inerte qu’aucun      moyen ne saurait animer)

 

Éperons mérovingiens

 

59.
Les exiles deportés dans les isles,(1)
Au changement d’un plus cruel monarque (2)
Seront meurtris : & mis deux les scintiles, (3)
Qui de parler ne seront estés parques. (4)

Bon… Je dois faire bien mes devoirs ; mon âne me dit que je suis trop dispersé alors je ne m’occupe que de ce quatrain… je ne suis pas convaincu, m’enfin !!!

 

1.59.(1)

Les exiles deportés dans les isles,(1)

Donc des isles et des exi(s)les…

Seront meurtris : & mis deux les scintiles, (3)
et une troisième  scintille : scintiles

Ceci dit, je sors déjà brièvement du sujet, pour vous montrer que :

Seront meurtris : & mis deux les scintiles, (3)
= mis deux les scintiles = deux milles cinq tiles… =

Mis les deux seins titille…

Ces ronds de mes deux seins meurtris…

Ces deux aréoles de mes deux seins meurtris…

= martyre de sainte AGATHE  (voir AGATHOS DAÏMON)…

Sainte Agathe de Catane ou Agathe de Sicile est une sainte chrétienne, vierge et martyre, morte en 251 et fêtée le 5 février.

 

Me ferond médecine des seins et des auréoles des saints

DESSEINS, dessins,des saints et des seins…

AGATHE de Sicile…, de CATANE

Catane est située sur la côte orientale de la Sicile, sur la mer Ionienne, à mi-chemin entre les villes de Messine et Syracuse, au pied du volcan Etna. En bordure d’un rivage principalement lavique et anfractueux, la monotone magnificence de ses noires roches escarpées espace à l’improviste, outre les zones commerciales de son port, pour devenir avant tout un littoral de sable dorée (La plage de la Plaia) et en dernier l’embouchure marécageuse de l’Oasis du fleuve Symèthe où les fertiles limons accueillent un écosystème sicilien unique et protégé.

Le Golfe d’Ognina est la seule anse maritime digne de remarque. Il correspond au mythique Port d’Ulysse (le Portus Ulixis ou Portus Odysseus cité par Pline l’Ancien). C’est le présumé et légendaire débarcadère du héros homérique et de ses compagnons dans la Trinacrie Ionienne. Après cela ils rencontreront le gigantesque cyclope Polyphème et fuiront la colère du troglodyte aveuglé grâce à un fin stratagème du Roi d’Ithaque.

Les menus sables noirs de la Petite Rade de San Giovanni Li Cuti sont très connus et mouvementés en été comme rendez-vous balnéaire pour centaines d’estivants catanais qui lézardent ici dans une véritable fourmilière humaine de corps occupés à se bronzer en bavardant.

L’expression dialectale « Li Cuti » correspondant « aux Queux, aux Aiguisoirs », et ils peuvent simplement identifier « des Rochers » ou « des Affiloirs, des lieux appropriés au riblage et à l’érosion des écueils ».

Symboles de la ville

Les noms de la ville et leurs significations

  • Le village siculien : Katane Ce mot de la population autochtone      des Sikèles se traduit par « râpe,      racloir, couteau à écorcher, écorcherie ». En outre, in extenso,      « lieu âpre, territoire tranchant et raboteux, sol rêche »,      en relation avec les décors de lave du panorama et de sa millénaire      collocation géographique aux pentes du Montgibel. Le biographe grec Plutarque confirmera cette interprétation.
  • La colonie grecque : Katánē ( Κατάνη      ) C’est la version hellénique de l’homonyme village des Sicules. Pour      une brève période, sous le tyran syracusain Hiéron Ier, elle fut appelée Αἴτνη (Aítnē, Aetna ou Ætna).
  • La cité décumane romaine : Catĭna ou Catăna      Les formes latines du nom grec. La première a eu majeure fortune pour      l’assonance et féminisation du vocable catinus. En effet catinus      a un double sens. Il peut signifier soit « écuelle, bol »,      soit « baie marine ou golfe ». Les deux sens trouvent      leur justification évidente dans la position naturelle de la ville,      « enfoncée sur la lave comme une couronne » et « située à      proximité du Golfe de Catane ».Tetrapolis      (Les Quatre Villes) fut employé très rarement surtout pour      commémorer le premier arrangement urbaniste de la colonie chalcidienne et latine (constituée de quatre      agglomérations originairement distinctes) et leur inexorable fusion. Les      bourgs étaient : la Demetria ou Demeteria, la Luna,      l’Aetnapolis et la Civitas.
  • Les appellatifs arabes : Balad-al-Fil (Le      Village ou Le Territoire de l’Éléphant) Madinat-al-Fil      (La Cité de l’Éléphant) Wadi Musa (La Rivière de      Moïse, c’est-à-dire le nom arabe du Fleuve Symèthe) Qataniyah      (la famille des plantes des Légumineuses, produits typiques de la Plaine de Catane avant l’arrivée des Arabes, lesquels seront      par la suite les promoteurs et principaux diffuseurs des cultures      extensives d’agrumes en Sicile). Ce dernier toponyme fera naître le nom actuel.
  • Les dénominations moyenâgeuses furent : Cathania      et Catanea.
  • Les translittérations hébraïques : Kataniya, Ktaniya,      Kataniyah, Ktaniyah, Katania, Kataniah (La Petite, en      puisant de l’adjectif katan = petit + iya, utilisé avec      valeur de collectif)
  • La possible traduction hébraïque du      nom arabe : Kiryat      Ha-Pil ou Ir Ha-Pil (La Cité de l’Éléphant)
  • Histoire[modifier | modifier le code]
    • Antiquité[modifier | modifier le code]
      • Catane fut fondée au VIIIe siècle av. J.-C. par des colons grecs venus de Chalcis d’Eubée, (probablement vers -752). Elle connut plusieurs destructions par Syracuse – en 476 av. J.-C. et en 403 av. J.-C. – puis un éruption de l’Etna qui consuma la ville en 121. Les Grecs édifièrent un théâtre sur l’acropole au Ve siècle av. J.-C. ; il fut ensuite reconstruit par les Romains et pouvait accueillir 7000 personnes. C’est ici qu’Alcibiade, à la fin du Ve siècle av. J.-C. se serait adressé aux Catanais pour qu’ils soutiennent la cité d’Athènes dans le contexte de la guerre du Péloponnèse et de l’expédition de Sicile. Au IVe siècle av. J.-C., le philosophe péripatéticien Théophraste explique que le peuple catane est l’un des rares peuples connus dont les conventions lors d’un marché (contre oral) ne sont pas matière à procès, et il faut se contenter de son sort[2] ; Platon y fait référence dans ses Lois[3].
      • C’est au IIIe siècle que sainte Agathe est née à Catane. Refusant les avances de Quintien, proconsul de Sicile, celui-ci la fit torturer : on lui arracha les seins à l’aide de tenailles mais elle fut guérie de ses blessures par l’apôtre Pierre qui la visita en prison. Elle succomba à son martyr et sa mort fut accompagnée d’un tremblement de terre, le 5 février 251.
      • Un an après sa mort, l’Etna entra en éruption, déversant un flot de lave en direction de Catane. Les habitants s’emparèrent du voile qui recouvrait la sépulture d’Agathe et le placèrent devant le feu qui s’arrêta aussitôt, épargnant ainsi la ville.
  • Moyen Âge
    • Pendant la période byzantine, une chapelle fut construite dans l’ensemble Cappella Bonajuto (VIe siècle). Après l’occupation musulmane, elle fut occupée en 1071 par les Normands (famille des Hauteville, en italien, d’Altavilla). Ils firent construire le Duomo (cathédrale) aux XIe et XIIe siècle.
    • En 1081, une furieuse bataille s’engagea dans les environs où 160 chevaliers normands (aidés probablement par un contingent de fantassins calabrais) conduits par Jourdain de Hauteville, Robert de Sordavalle et Elia Cartomi, réussirent à vaincre plusieurs milliers de fantassins et cavaliers musulmans (chiffre peut-être exagéré).
    • Le 4 février 1169, un séisme provoqua la mort de milliers de personnes.
    • L’empereur Frédéric II fit construire le Castello Ursino (fort militaire) entre 1239 et 1250.
    • La ville subit des destructions lors de la guerre des Vêpres siciliennes en [1282]. À partir de 1282, sous l’influence aragonaise, Catane devint la capitale du royaume de Sicile.
    • En 1376, les reliques de sainte Agathe furent déposées dans la cathédrale de Catane. La première université sicilienne fut fondée à Catane en 1434 (cf. Université de Catane).
    • 1423 : épidémie de peste.
 martyre de sainte agathe

 

Minnuzze di sant’aita

479px-Minnuzze_di_sant'aita

Minne…

Des deux aréoles lui feront une auréole… ???

Donc, pour revenir aux trois îles : en voici une qui est la

SICILE, bien connue des quatrains…

Reste deux îles et des exilés…

 

1.59.
Les exiles deportés dans les isles,(1)
Au changement d’un plus cruel monarque (2)
Seront meurtris : & mis deux les scintiles, (3)
Qui de parler ne seront estés parques. (4)

 

Si c’est dans la région, il s’agirait de la CORSE et de la SARDAIGNE …

Mais…

 

Les exiles deportés dans les isles, (1)

Ne seraient-ce pas nos ARGONAUTES ???


Le Golfe d’Ognina est la seule anse maritime digne de remarque. Il correspond au mythique Port d’Ulysse

(le Portus Ulixis ou Portus Odysseus cité par Pline l’Ancien).

C’est le présumé et légendaire débarcadère du héros homérique et de ses compagnons dans la Trinacrie Ionienne. Après cela ils rencontreront le gigantesque cyclope Polyphème et fuiront la colère du troglodyte aveuglé grâce à un fin stratagème du Roi d’Ithaque.

Seront meurtris : & mis deux les scintiles, (3)
TRINACRIE = meurtris en TRIs…

Trinacrie crie : TROIE , TROIE !!! et TROIS crie DEUX.

Toponyme DEUX ACRIE = DEUX-ACREN

 

Le CYCLOPE, ça clope… SCI scint scintiles, alors six et cy clopent aussi pour SICILE … et CY-CLOPE…

Car comme le MINOS-TAURE, nous avons affaire à des MOTS-MONSTRUEUX…

Le CYCLOPE s’appelle d’ailleurs POLYPHEME…

Ce qui veut dire : « Polie, femme ! »

Heu ! non !

Qui veut dire : POLY = PLUSIEURS et PHèME, comme

Faire connaître sa pensée, déclarer

Dire

Généralement traduit par :

 

Dire, répondre, répliquer, prétendre

PHEME vient de PHEMI qui vient de PHOS ou de PHAINO…

Relation :  bruit, pensée verbalisée, lumière =

Extériorisation de la lumière = le VERBE quoi !!!

Ou un polisson, ce Polyphème…

Mais qui n’a qu’un œil-oculus…

Donc borgne… donc qui ne voit qu’un côté des choses…

Un œil dans le jour et un œil dans la nuit…

(ce qui est un avantage pythiatique…) C’est bien connu…

 

POUR INTERPRéTATION PSYCHOLOGIQUE :

Voir : « Mythologie grecque », Paul DIEL, petite bibliothèque Payot, Paris.

 

Sous jacent, se trouve ce polyphème qui donne une piste pour parler « le langage des oiseaux »…

 

Polyphème :

PHAINO…

  1. Apporter à la lumière, faire Briller, remplir de clarté
  2. Briller
    1. Briller, être brillant ou resplendissant
    2. Devenir évident, être amené à la lumière, porté à la vue, apparaître
  • De la végétation qui pousse, qui sort à la lumière
  • Apparaître, être vu
  • Exposé à la vue
  1. Rencontrer les yeux, frapper le regard, devenir clair ou manifeste
  2. Apparaître à l’esprit, sembler à son jugement ou à son opinion
  3. Phaino a été trouvé dans 31 verset(s) :
Référence | Verset
Matthieu 1 : 20 Comme il y pensait, voici, un ange du Seigneur lui apparut (phaino) en songe, et dit : Joseph, fils de   David, ne crains pas de prendre avec toi Marie, ta femme, car l’enfant   qu’elle a conçu vient du Saint-Esprit;
Matthieu 2 : 7 Alors Hérode fit appeler en secret les mages, et s’enquit   soigneusement auprès d’eux depuis combien de temps l’étoile brillait (phaino).
Matthieu 2 : 13 Lorsqu’ils furent partis, voici, un ange du Seigneur apparut (phaino) en songe à Joseph, et dit :   Lève-toi, prends le petit enfant et sa mère, fuis en Egypte, et restes-y   jusqu’à ce que je te parle; car Hérode cherchera le petit enfant pour le   faire périr.
Matthieu 2 : 19 Quand Hérode fut mort, voici, un ange du Seigneur apparut (phaino) en songe à Joseph, en Egypte,
Matthieu 6 : 5 Lorsque vous priez, ne soyez pas comme les hypocrites, qui aiment à   prier debout dans les synagogues et aux coins des rues, pour être vus (phaino) des hommes. Je vous le dis en   vérité, ils reçoivent leur récompense.
Matthieu 6 : 16 Lorsque vous jeûnez, ne prenez pas un air triste, comme les   hypocrites, qui se rendent le visage tout défait, pour montrer (phaino) aux hommes qu’ils jeûnent. Je vous   le dis en vérité, ils reçoivent leur récompense.
Matthieu 6 : 18 afin de ne pas montrer (phaino)   aux hommes que tu jeûnes, mais à ton Père qui est là dans le lieu secret; et   ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra.
Matthieu 9 : 33 Le démon ayant été chassé, le muet parla. Et la foule étonnée disait :   Jamais pareille chose ne s’est vue (phaino)   en Israël.
Matthieu 13 : 26 Lorsque l’herbe eut poussé et donné du fruit, l’ivraie parut (phaino) aussi.
Matthieu 23 : 27 Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous   ressemblez à des sépulcres blanchis, qui paraissent (phaino) beaux au dehors, et qui, au dedans, sont pleins   d’ossements de morts et de toute espèce d’impuretés.
Matthieu 23 : 28 Vous de même, au dehors, vous paraissez (phaino)   justes aux hommes, mais, au dedans, vous êtes pleins d’hypocrisie et   d’iniquité.
Matthieu 24 : 27 Car, comme l’éclair part de l’orient et se montre (phaino) jusqu’en occident, ainsi sera   l’avènement du Fils de l’homme.
Matthieu 24 : 30 Alors le signe du Fils de l’homme paraîtra (phaino) dans le ciel, toutes les tribus de la terre se   lamenteront, et elles verront le Fils de l’homme venant sur les nuées du ciel   avec puissance et une grande gloire.
Marc 14 : 64 Vous avez entendu le blasphème. Que vous en semble (phaino) ? Tous le condamnèrent comme   méritant la mort.
Marc 16 : 9 Jésus, étant ressuscité le matin du premier jour de la semaine,   apparut (phaino) d’abord à Marie de   Magdala, de laquelle il avait chassé sept démons.

Etc… (encore deux pages)…

Phaeno et PHAETON, et PISTIS SOPHIA

Nous voilà dans le thème de la lumière…

Qui scintille comme des étoiles… (d’EPERONS ???)

Ou de LUCIFER ? …

De « L’ARROGANT » qui fit un piège à « PISTIS SOPHIA », qui lui absorba sa lumière  ???

Mis deux les scintilles alors, divisé en deux , l’un n’est plus premier, chute et faille, faille et division, le chute dans les ténèbres commence …

 

Mais POLYPHEME qui est-ce exactement ?

La rencontre avec Ulysse[modifier | modifier le code]

Polyphème apparaît pour la première fois au chant IX de l’Odyssée[1]. Ulysse et ses compagnons mettent pied à terre au « pays des Cyclopes », une terre sans nom qu’Homère désigne seulement par le peuple qui l’habite. Confiants dans les dieux immortels, ces Cyclopes ne pratiquent pas l’agriculture, vivant de ce que la nature leur procure ; ce sont des pasteurs, mangeurs de fromages et grands consommateurs de viande. Ils n’ont aucune organisation politique, mais vivent en formations familiales :

« Chez eux, pas d’assemblée qui juge ou délibère ; mais au creux de sa caverne, chacun, sans s’occuper d’autrui, dicte sa loi à ses enfants et femmes. »
(Homère, L’Odyssée, chant IX, 112-115)

Ces êtres « sans foi ni lois » sont aussi d’horribles anthropophages[2].

Ulysse part avec un groupe de douze hommes et ils s’aventurent dans une large grotte. Y trouvant une abondance de nourriture, ils se servent et festoient. Ce qu’ils ne savent pas, c’est qu’ils sont dans l’antre de Polyphème qui les enferme dans la grotte, profitant de l’occasion pour en dévorer plusieurs. Mais Ulysse prépare un plan pour s’échapper.

Afin de rendre Polyphème moins alerte, Ulysse lui donne une barrique d’un vin très fort et non coupé, le vin offert par le prêtre des Cicones[3]. Quand Polyphème demande son nom à Ulysse, ce dernier lui répond s’appeler « Personne » [4]. Une fois le géant endormi, Ulysse et ses hommes utilisent un pieu durci au feu et crèvent l’œil du géant. Le lendemain matin, Ulysse accroche ses hommes ainsi que lui-même sous les moutons de Polyphème. Ainsi, lorsque, comme à son habitude, le Cyclope sort ses moutons pour les mener au pâturage, les hommes sont transportés hors de la caverne. Comme Polyphème est désormais aveugle, il ne peut les voir, bien que par précaution il touche le dos de ses moutons pour vérifier que les hommes ne s’évadent pas par ce moyen. Plus tard, lorsqu’on lui demande qui l’a rendu aveugle, il ne peut que répondre « Personne » ce qui autorise ses interlocuteurs à abandonner le géant à son triste sort. Mais dans une ultime raillerie, une fois à l’abri sur son vaisseau, Ulysse proclame sa véritable identité : il est « le fils de Laërte, l’homme d’Ithaque, Ulysse[5] ».

Cet épisode semble être l’une des raisons de l’acharnement de Poséidon contre Ulysse.

Polyphème et Galatée[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Galatée (Néréide).

 

 

Galatée et Polyphème, fresque romaine de la Maison de la Vieille Chasse à Pompéi, Musée archéologique national de Naples

On voit l’image du géant anthropophage qu’est Polyphème évoluer profondément dans la littérature des siècles ultérieurs : deux poètes nous ont livré un autre épisode retraçant les amours de Polyphème et de Galatée, une Néréide ; plus tardif et sans rapport avec celui d’Homère, il est rapporté d’abord dans l’Idylle XI intitulée « Le Cyclope » du poète grec Théocrite : originaire de Sicile, Théocrite évoque le rude Polyphème, qu’il appelle « le Cyclope de chez nous », assis sur le rivage, face à la mer, et se consumant d’amour pour « la blanche Galatée plus délicate que l’agneau ». Barbu et hirsute, le géant amoureux apparaît quelque peu ridicule mais encore touchant.

Dans les Métamorphoses[6], Ovide suit son modèle Théocrite, mais en développant longuement ce que le poète grec avait dit en une pièce brève, et en brodant autour de ce thème les amours de Galatée et du jeune Acis. Polyphème aspire à l’amour de Galatée, nymphe de la mer ; mais celle-ci lui préfère le berger sicilien Acis. Polyphème, les ayant surpris ensemble, tue son rival en l’écrasant sous un rocher. Galatée change alors le sang d’Acis en une rivière portant son nom en Sicile.

Localisations du pays des Cyclopes[modifier | modifier le code]

Dès l’Antiquité, les Grecs situaient le pays des Cyclopes en Sicile, au pied de l’Etna, comme le fait Thucydide : « Les plus anciens que la tradition connaisse comme ayant habité une partie de la Sicile sont les Cyclopes[7] ». Mais l’historien ne faisait ainsi que reprendre les connaissances transmises par les navigateurs grecs depuis les premières expéditions coloniales au VIIIe siècle av. J.C., connaissances qui reflètent leur représentation des mers et des terres occidentales[8] .

Face au « pays des Cyclopes » Ulysse et son escadre débarquent sur une île inhabitée et de surcroît riche en ressources : terres fertiles, prairies pour l’élevage, coteaux pour des vignobles, source d’eau limpide, et port naturel au mouillage aisé, sans amarre et sans manœuvres toujours longues et délicates[9]. Tout ce développement du poème semble conçu pour suggérer que cette île offre tous les avantages possibles pour des marchands en quête de comptoirs. Hellénistes et érudits ont donc cherché à localiser le pays des Cyclopes.
Les toponymes figurant sur toutes les cartes marines et les données des Instructions nautiques[10] situent le pays des Cyclopes sur les pentes de l’Etna, face aux quatre îlots des Faraglioni, « les Cyclopum Scopuli des Anciens ». Cette première hypothèse permet d’assimiler le Cyclope Polyphème à un volcan à l’œil rond, à l’Etna : comme le volcan, Polyphème tombe dans le sommeil après une éruption, et dans ses réveils terribles, éructe et projecte des blocs de roche au loin[11].

 

 

L’archipel des îles Égades.

Victor Bérard quant à lui, s’appuyant sur une brève indication de Thucydide[12], situe le pays des Cyclopes au nord de Naples, là où se trouvent l’île de Nisida et, dans les falaises du Pausilippe, de nombreuses grottes ayant servi d’habitations troglodytiques jusqu’au XXe siècle. L’une de ces cavernes, particulièrement vaste, appelée par erreur « Grotte de Séjan », pourrait être, selon l’helléniste, l’antre de Polyphème[13].
Enfin, Ernle Bradford[14] opte pour l’archipel des Égades, aujourd’hui Marettimo, Favignana et Levanzo. Sur cette dernière île se trouve la Grotta dei Genovesi, habitée au paléolithique et au néolithique. L’île montagneuse de Marettimo en particulier, creusée de cavernes, est très impressionnante. En face, les vestiges de l’ancienne cité d’Érix (Érice) attestent une présence grecque très ancienne.

Aucune de ces trois hypothèses n’est formellement établie. Il existe en revanche une certitude : des navigateurs grecs venus d’Eubée, de Chalkis et d’Aulis dès le VIIIe siècle av. J.C. lancent des expéditions coloniales vers les terres d’Occident, et enrichissent le mythe archaïque de leurs propres expériences maritimes ; par sa narration, l’auteur de l’Odyssée donne à cette matière épique ainsi enrichie sa forme achevée. Toute une représentation du monde méditerranéen et de ses confins, tel que les Grecs le connaissaient au VIIe et VIe siècles, se trouve donc enveloppée dans l’épisode d’Ulysse et de Polyphème[15].

Postérité du mythe[modifier | modifier le code]

Le compositeur français Jean Cras, sur un poème d’Albert Samain, écrira son ultime drame lyrique en quatre actes et cinq tableaux, sur ce sujet, œuvre qui obtient le prix du Concours musical de la ville de Paris en 1921, et qui est créée à l’Opéra Comique en 1922.

(voir quatrain borne) (borgne)

 

 

 

1.59.
Les exiles deportés dans les isles,(1)
Au changement d’un plus cruel monarque (2)
Seront meurtris : & mis deux les scintiles, (3)
Qui de parler ne seront estés parques. (4)

 

PANTA long mis fort arrière dira un autre quatrain…

Et ici, un CRUEL GRUEL et monarque en plus …

Qu’est-ce qui change en CRUEL, si ce n’est le C en G ???

Oiu, mais, c’est en 1532, !!! pas bon pour Yvo, apparemment !!!

 

Pantagruel est le premier livre de François Rabelais publié en 1532, et dont le titre complet est Les horribles et épouvantables faits et prouesses du très renommé Pantagruel Roi des Dipsodes, fils du Grand Géant Gargantua. Le personnage éponyme du livre, le géant Pantagruel, apparaît également dans Le Tiers Livre, Le Quart Livre et Le Cinquième Livre.

Devant le succès de Pantagruel, l’auteur signe en 1534 un deuxième roman, Gargantua. Il publie ces deux œuvres sous le pseudonyme d’Alcofribas Nasier (anagramme de François Rabelais)[1].

Rabelais a mis tout son talent au service du rire et de l’ouverture d’esprit. Pantagruel, le fils de Gargantua et Badebec (qui trépasse en mettant Pantagruel au monde), est le héros, géant, de cette farce éclairée qui oppose le Moyen Âge obscurantiste et l’extension des savoirs de la Renaissance.

1.59.
Les exiles deportés dans les isles,(1)
Au changement d’un plus cruel monarque (2)
Seront meurtris : & mis deux les scintiles, (3)
Qui de parler ne seront estés parques. (4)

 

Et nous sommes en 1.59 .. ; presque sixte, quint-neuf est déjà vieux, presque sixte …

Et nous avons gruel et cruel monarque et nous avons les sci, scint, les scintiles , deux deux , un un, un TRI pluriel, … mais pas de QUART LIVRE …

Perdu, caché, escondé(esconder), ?

Par qui ? par PARQUES ? les Parques, parqué ce quart livre ? ou quar-pés… Pé ! Il est quart… manque LIVRE …

Les dipsodes, les dispodes ??? les dix pieds ??? les décasyllabes ???

De d’Alcofribas Nasier (anagramme de François Rabelais)[1].

 

Qui de parler ne seront estés parques. (4)

POLYPHèME :

Mais il est surtout connu pour sa lutte contre Ulysse. Le héros aborda en effet sur ses terres avec quelques hommes et lui demanda l’hospitalité. Pour toute réponse, Polyphème saisit deux compagnons d’Ulysse, et, après les avoir tués, il les dévora en faisant craquer les os des malheureux entre ses formidables mâchoires ; ensuite, il enferma tous les autres marins dans un antre, et en bloqua l’entrée par une grosse pierre. – See more at: http://mythologica.fr/grec/polypheme.htm#sthash.aK7CN3ml.dpuf

 

Qui de parler ne seront estés parques. (4)

Polyphème , on dit qu’il parle beaucoup…

 

PARQUES , par quelles  coïncidences ???

Il parque les marins d’Ulysse dans un antre… avec ses brebis… Bref…

 

Les Parques (du latin Parcae, provenant des mots parco, parcere, « épargner ») sont, dans la religion romaine ou la mythologie romaine, les divinités maîtresses de la destinée humaine, de la naissance à la mort. Elles sont généralement représentées comme des fileuses mesurant la vie des hommes et tranchant le destin. Elles sont le symbole de l’évolution de l’univers, du changement nécessaire qui commande aux rythmes de la vie et qui impose l’existence et la fatalité de la mort.

 

Déjà rencontrées ailleurs ces parques…

Les anciens représentaient les Parques sous la forme de trois femmes aux visages sévères, accablées de vieillesse, avec des couronnes faites de gros flocons de laine entremêlée de narcisses. D’autres leur donnaient des couronnes d’or ; quelquefois une simple bandelette leur entoure la tête ; rarement elles paraissent voilées. Pausanias et d’autres auteurs anciens les couronnaient de branches de chêne vert[1], espèce végétale au feuillage sempervirent symbolisant très souvent la pérennité, l’immuabilité entre la vie et la mort.

Les Romains rendaient de grands honneurs aux Parques (et les Grecs aux Moires), et les invoquaient ordinairement après Apollon, parce que, comme ce dieu, elles pénétraient l’avenir. On leur immolait des brebis noires, comme aux Furies (Érinyes).

Ces divines et infatigables filandières n’avaient pas seulement pour fonction de dérouler et de trancher le fil des destins, elles présidaient aussi à la naissance des hommes. Elles étaient même chargées de conduire à la lumière et de faire sortir du Tartare les héros qui avaient osé y pénétrer. C’est ainsi qu’elles servirent de guides à Bacchus (Dionysos), Hercule (Héraclès), Thésée, Ulysse, Orphée, et d’autres. C’est à elles encore que Pluton (Hadès) confia son épouse, lorsque, suivant l’ordre de Jupiter (Zeus), elle retourna dans le ciel pour y passer six mois auprès de sa mère. Enfin, elles devaient faire « respecter » le destin. Par exemple, ce sont les Parques qui empêchaient une divinité de porter secours à un héros lorsque l’« heure » de celui-ci était arrivée[2]. Elles incarnent une loi que même les dieux ne peuvent transgresser sans mettre l’ordre du monde en péril.

 

 

Les Parques, par Alfred Agache

  • Nona – ou Clotho pour les Grecs -,      signifiant « filer » en grec, paraît être la moins      vieille des Parques. C’est elle qui fabrique et tient le fil des destinées      humaines. On la représente souvent vêtue d’une longue robe de diverses      couleurs, portant une couronne formée de sept étoiles, et tenant une quenouille qui descend du ciel en terre. La couleur qui      domine dans ses draperies est le bleu clair. Elle est nommée sous la forme      francisée Cloton à l’époque classique[3].
  • Decima – ou Lachésis pour les Grecs -, nom      qui en grec signifie « sort » ou « action de tirer      au sort », est la Parque qui déroule le fil et qui le met sur le      fuseau. Ses vêtements sont quelquefois parsemés d’étoiles, et on la      reconnaît au grand nombre de fuseaux épars autour d’elle. Ses draperies      sont de couleur rose.
  • Morta – ou Atropos pour les Grecs -,      c’est-à-dire « inévitable » en grec, coupe      impitoyablement le fil qui mesure la durée de la vie de chaque mortel.      Elle est représentée comme la plus âgée des trois sœurs, souvent avec un      vêtement noir et lugubre ; près d’elle, on voit plusieurs pelotons de      fil plus ou moins garnis, suivant la longueur ou la brièveté de la vie      mortelle qu’ils mesurent. L’image de la Parque coupant le fil de la vie      apparaît tardivement dans la poésie latine[4]. Elle est notamment absente chez Catulle[5], mais apparaît chez Martial et devient très populaire à la      Renaissance.

 

 

La tableau de Nicolas Poussin intitulé Les bergers d’Arcadie est à l’origine de toutes sortes de spéculations que l’on retrouve mêlées à l’affaire de l’abbé Saunière, curé de Rennes-le-Château, qui avait ramené de son voyage à Paris une reproduction de ce tableau. On prétend entre autres, qu’un monument qui se trouvait dans la région proche (Arques) serait le modèle du tombeau représenté par Poussin[3],[4]. Toutefois, ce « tombeau » a été construit en 1903 et ne peut avoir servi de modèle à un peintre du XVIIe siècle[5]. Pour d’autres, il faudrait déchiffrer l’anagramme constitué par l’inscription Et in Arcadia ego qui y est inscrit.

C’est clair come du CRISTAL D’Arques…

 

Mais les MOIRES, elles ont un problème d’yeux …

Comme polyphème …

Non, je ne trouve pas ces trois femmes avec un seul œil …

Je les confonds avec les moires…

 

L’Arcadie dans l’Antiquité[modifier | modifier le code]

Dans les “Métamorphoses” d’Ovide (vers 163-243), Jupiter transforme le roi d’Arcadie Lycaon en loup pour le punir d’avoir tenté de lui servir un dîner de viande humaine. Dans la poésie bucolique latine et hellénique, l’Arcadie était représentée comme le pays du bonheur, le pays idéal. La poésie antique, comme Virgile dans Les Bucoliques ou Ovide dans Les Fastes, décrivait l’Arcadie comme un lieu primitif et idyllique peuplé de bergers, vivant en harmonie avec la nature. Par la suite, l’Arcadie est restée ce symbole d’un âge d’or, un monde riant où les pastorales constituent le principal divertissement musical.

 

 

Tout cela est déjà rencontré dans d’autres quatrains analysés peu ou prou …

 

Ces ronds de ces deux points : émis deux (qui les font scintiller

=

deux fait scintiller les deux points mis : avec &

 

 

59.
Les exiles deportés dans les isles,
Au changement d’un plus cruel monarque
Seront meurtris : & mis deux les scintiles,
Qui de parler ne seront estés parques.

 

Revenons différemment au quatrain susconcerné…

De manière plus fragmentée …

Regardons une espèce d’acrostiche…

Les ex, au = Les Eaux

Ca nous change… Les ex aux îles déportés…

Dans les îsles , ??? Ben oui  on vient de le dire !!!

Les SEX(T) exilés… ces ILLE (majestatif !!! contraire ISTE ceux-là – péjoratif)… CES ILLUSTRES SEX(T)  (en verlan : exiles = selixe = SALIX, c’est l’X de X PISTIS SOPHIA) ces SEX déportés = portent dans les isles…

Nous verront plus loin de quelle île vont s’occuper ces exilés templiers …

Les eaux entourent les îles, cela on sait aussi…

AUse = EAUS mais avec une faute d’orthographe…

SE QUI = sequi = suivre en latin…

SE QUI SUIT PARLE , PARLE DE PALERNE ..

On a déjà des palerne(s) dans d’autres quatrains .. ;

PALERNE :

Guillaume de Palerne est un roman français du XIIIe siècle. Le texte fut écrit vers 1200, probablement à la demande de la comtesse Yolande (généralement identifiée comme Yolande, femme de Baudouin IV, comte de Flandre). Ce texte en vers a connu plusieurs éditions.

 

Là, ca nous rapproche de chez nous, non ?

59.
Les exiles deportés dans les isles,
Au changement d’un plus cruel monarque
Seront meurtris : & mis deux les scintiles,
Qui de parler ne seront estés parques.

 

Quid départ ? l’HERNE ?

 

Et bien, On parle de quelqu’un de bien caché dans le texte puisque il est bien parqué entre parler ne seront…

Et même « escondé » par le R de parler et divisé par parler ne…

Voilà sûrement de QUI de QUOI, on voulait parler sans qu’on le sache !!!

Palerne, oui, non, il n’y est pas !!!

Ce Palerne (on le trouve plus facilement dans d’autres quatrain … Pourquoi ici l’ « esconder » ???

L’histoire

Guillaume est un enfant trouvé, supposé de basse extraction. Il vit à la cour de l’empereur de Rome et aime sa fille Melior, destinée à un prince grec. Les amoureux s’enfuient dans les bois, cachés sous des peaux d’ours. Alfonso, prince espagnol et cousin de Guillaume, a été changé en loup par les enchantements de sa belle-mère. Il fournit la nourriture et la protection des fugitifs, jusqu’à ce que Guillaume triomphe de son père, et gagne la régence de son royaume. Le malheureux loup-garou retrouve sa forme humaine et épouse la sœur de Guillaume[1].

Un lycanthrope [li.kɑ̃.tʁɔp], plus connu en français sous le nom de loup-garou [lu.ɡa.ʁu], est, dans les mythologies, les légendes et les folklores principalement issus de la civilisation européenne, un humain qui a la capacité de se transformer, partiellement ou complètement, en loup, ou en créature anthropomorphe proche du loup.

Cette transformation peut être due à plusieurs causes, comme une malédiction ou un rituel volontaire, et plus récemment la morsure d’un loup ou d’un autre lycanthrope. Elle se déclenche généralement durant la nuit et à chaque pleine lune, condamnant le lycanthrope à errer sous forme de loup jusqu’au matin. Les histoires de lycanthropes sont mentionnées depuis la mythologie grecque, elles sont étendues à de nombreux pays européens, et plus récemment au monde entier. Les lycanthropes sont majoritairement décrits comme des êtres maléfiques possédant les capacités du loup et de l’homme à la fois, une force colossale, et d’une grande férocité puisqu’ils sont capables de tuer de nombreuses personnes en une nuit. Ils se rappellent rarement leurs méfaits nocturnes après avoir repris forme humaine.

Hormis par le recours à la chirurgie et l’utilisation de costumes, la transformation physique d’hommes en loups est considérée comme impossible. Cependant, bon nombre de personnes, y compris érudites, y ont cru pendant des siècles et cette croyance perdure parfois encore. La lycanthropie est aujourd’hui scientifiquement reconnue comme symptôme d’une maladie mentale dans laquelle la personne se croit changée en loup, on parle alors de lycanthropie clinique.

Le thème de la lycanthropie est devenu un sujet de fiction moderne fréquent, abondamment repris dans les arts, les littératures fantasy et fantastique ainsi que l’audiovisuel, il est au centre d’un très grand nombre de films d’horreur et de sagas, bien que ces lycanthropes modernes puissent avoir des caractéristiques différentes des anciens, notamment leur vulnérabilité aux balles en argent.

Un lycanthrope

1. Li roumans de Guilliaume de Palerne (version en vers)

Date: Li roumans de Guilliaume de Palerne (ms., expl.);   Guillaume de Palerne (éd. Michelant)
Date: Vers 1200
Dédicataire: Yolande,   comtesse de Saint-Pol
Forme: 9663 vers octosyllabiques à rimes plates
Langue: Français
Contenu:
Incipit: Nus ne se doit celer ne taire,
s’il set chose qui doie plaire,
k’il ne le desponde en apert;
car bien repont son sens et pert…
Explicit: … Proions Dieu por la boine dame
qu’en bon repos en mete l’ame,
et il nos doinst ce deservir
qu’a boine fin puissons venir.
Amen. Explicit li roumans de Guilliaume de Palerne.
  1. Manuscrit
    1. Paris, Bibliothèque nationale de France,       6565, f. 77

Éditions modernes

    • Guillaume       de Palerne publié d’après le manuscrit de la Bibliothèque de       l’Arsenal à Paris par H. Michelant, Paris, Firmin-Didot (Société des       anciens textes français), 1876, xxii + 280 p. [Gall]

Réimpr.: New York, Johnson, 1966..

CR: A. Mussafia, dans Zeitschrift für romanische Philologie, 3, 1879, p. 244-256. * [Gall] (CR du CR: Gaston Paris, dans Romania, 8, 1879, p. 627. * [Gall]).

    • Guillaume       de Palerne, roman du XIIIe siècle, édition avec       introduction, notes et glossaire par Alexandre Micha, Genève, Droz       (Textes littéraires français, 384), 1990, 347 p.
    • Guillaume       de Palerne. Édition de Christine Ferlampin-Acher, Paris, Classiques       Garnier (Moyen Âge en traduction), 2012, 289 p.

Traductions

    • en       anglais:
      • William of        Palerne (XIVe s.)
      • Stories        from Old French Romance, by E. M. Wilmot-Buxton, New York, Stokes,        s. d., [v] + 119 p. (p. 56-75) [IA]

Traduction partielle.

      • Guillaume        de Palerne: An English Translation of the 12th-Century French Verse        Romance Translated and Edited by Leslie A. Sconduto, Jefferson,        McFarland, 2004, ix + 366 p.

Études

    • Boehmer,       Eduard, « Abfassungszeit des Guillaume de Palerne », Romanische       Studien, 10, 1878, p. 131. [Gall]

CR: Gaston Paris, dans Romania, 7, 1878, p. 470. * [Gall].

    • Corbellari,       Alain, « Onirisme et bestialité: le roman de Guillaume de Palerne »,       Neophilologus, 86:3, 2002, p. 353-362. [PAO-Proq] [SL]
    • Delp,       W. E., Étude sur la langue de “Guillaume de Palerne” suivie       d’un glossaire, Paris, Protat, 1907, viii + 103 p.

CR: Antoine Thomas, dans Romania, 36, 1907, p. 448-450. * [Gall]

    • Dunn,       C. W., The Foundling and the Werewolf: A Literary-Historical Study of       “Guillaume de Palerne”, Toronto, University of Toronto       Press (Studies and Texts, 8), 1960, vi + 158 p.
    • Ferlampin-Acher,       Christine, « Guillaume de Palerne: une parodie? », Cahiers       de recherches médiévales, 15, 2008, p. 59-72. [Rev]
    • Fourrier,       Anthime, « La “contesse Yolent” de Guillaume de Palerne »,       Études de langue et de littérature du Moyen Âge offertes à Félix Lecoy       par ses collègues, ses élèves et ses amis, Paris, Champion, 1973, p.       115-123.

CR: A. Stramignoni, dans Studi francesi, 53, 1974, p. 321.

    • Garrus,       Annie-France, « Pierre Durand, lecteur de Guillaume de Palerne »,       Le goût du lecteur à la fin du Moyen Âge, éd. Danielle Bohler, Cahiers       du Léopard d’Or, 11, 2006, p. 307-312.
    • Kaluža,       Max, « Das mittelenglische Gedicht William of Palerme und seine       französische Quelle », Englische Studien, 4, 1881, p. 197-287.       [IA: ex. 1,       ex. 2]
    • Kaluža,       Max, Über das Verhältniß des mittelenglischen allitterirenden       Gedichtes “William of Palerme” zu seiner französische Vorlage.       I., Altenburg, Pierer’sche Hofbuchdruckerei, Stephan Geibel &       Co., [1881], 38 p. [IA]
    • Lampert-Weissig,       Lisa, Medieval Literature and Postcolonial Studies, Edinburgh,       Edinburgh University Press (Postcolonial Literary Studies), 2010, xli +       188 p. (p. 45-56)

CR: Meghan Glass, dans Hortulus, 6:1, 2010, s. p. [www] — Kathleen Davis, dans The Medieval Review, 11.09.12. [www]

    • Långfors,       Arthur, Les incipit des poèmes français antérieurs au XVIe       siècle. Répertoire bibliographique établi à l’aide de notes de M. Paul       Meyer, Paris, Champion, 1917, vii + 444 p. (p. 236) [IA]

Dict.: DEAF LångforsInc

Réimpr.: New York, Burt Franklin (Bibliography and Reference Series, 380; Essays in Literature and Criticism, 100), 1970.

CR: Henri Omont, dans Bibliothèque de l’École des chartes, 78, 1917, p. 372-373. [Gall] [Pers] — C. Brunel, dans Journal des savants, 1919, p. 47. [Gall] — George L. Hamilton, dans Modern Language Notes, 34:6, 1919, p. 357-361. [IA] — L. Herbert Alexander, dans The Romanic Review, 11, 1920, p. 92-93. [Gall] — L. Foulet, dans Romania, 46, 1920, p. 458-459. [Gall] [IA]

    • Lepage,       Yvan G., « Bestiaire des songes médiévaux », Le récit de       rêve. Fonctions, thèmes et symboles, éd. Christian Vandendorpe,       Québec, Nota Bene, 2005, p. 75-97.
    • Lot-Borodine,       Myrrha, Le roman idyllique au Moyen Âge, Paris, Picard, 1913, 273       p. (p. 233-265) [IA]

Réimpr.: Genève, Slatkine Reprints, 1972.

    • Noacco,       Cristina, « La dé-mesure du loup-garou: un instrument de       connaissance », Revue des langues romanes, 111:1, 2007, p.       31-50.
    • Paris,       Gaston, « La Sicile dans la littérature française du Moyen Âge », Romania,       5, p. 109.
    • Riedel,       F. Carl, Crime and Punishment in the Old French Romances, New       York, Columbia University Press, 1938, ix + 197 p.

Réimpr.: New York, AMS Press, 1966.

    • Van       den Abeele, Baudouin, La fauconnerie dans les lettres françaises du       XIIe au XIVe siècle, Leuven, Leuven University       Press (Medievalia Lovaniensia. Series I. Studia, 18), 1990, xxv + 348 p.       + [14] pl. [IA]

Dict.: DEAF AbeeleFauc

Zingarelli, Nicolas, « Il Guillaume de Palerne e i suoi dati di luogo e di tempo », Miscellanea di archeologia, storia e filologia dedicata al Prof. Antonino Salinas nel LX anniversario del suo insegnamento accademico, Palermo, Virzi, 1907, p. 256-272.

Palerne = palerme ???

Palerme (Palermu en sicilien, Palermo en italien) est une ville italienne, chef-lieu et plus grande ville de la région Sicile avec environ 650 000 habitants, et formant avec ses banlieues une unité urbaine d’environ 1 million d’habitants. Elle se situe dans une baie sur la côte nord de l’île.

 

Toujours en sicile …

 

59.
Les exiles deportés dans les isles,
Au changement d’un plus cruel monarque
Seront meurtris : & mis deux les scintiles,
Qui de parler ne seront estés parques.

La bataille de Courtrai, connue sous le nom de bataille des éperons d’or[Note 1], opposa l’armée du roi Philippe IV de France appuyée par les Brabançons de Godefroid de Brabant[Note 2] et les Hennuyers de Jean Sans-Merci[Note 3], aux milices communales flamandes appuyées par des milices venues de Zélande et, peut-être, de Namur[Note 4], le 11 juillet 1302 près de Courtrai[1],[2],[3],[4].

Les îles de Zélande ??? les trois iles ???

 

Troisième île …

 

ÎLE de COURTRAI où se trouvent l’armée flamandes et le cloître de la sœur de Yvo de lessinis…

 

De court trait, il faudra chercher « carreau d’arbalète » verre transparent très piquant…

PELICAN…

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Il s’agit en fait d’éperons dorés
  2. Fils du duc Henri III de Brabant, frère du duc Jean Ier de Brabant et de      Limbourg; et oncle du duc Jean II qui régnait sur les      duchés de Brabant et de Limbourg en ce 11 juillet      1302
  3. Fils du comte Jean Ier de Hainaut et beau-frère de Robert d’Artois
  4. Pas de doute concernant les Brabançons de Godefroid      de Brabant et les Hennuyers de Jean de Hainaut (côté français), ni      concernant les Zélandais de Jean de Renesse (côté flamand). Les faits et      gestes de ces trois groupes sont narrés dans tous les récits de la      bataille. Par contre, les cavaliers namurois envoyés ou emmenés par Jean      de Namur pour venir en aide à son frère Gui (côté flamand) n’apparaissent      pas dans les récits de la bataille proprement dite. Selon certains ils      seraient arrivés trop tard (anecdote à l’origine de la légendaire ‘lenteur      des Namurois’?): Verbruggen (voir ouvrage en références) écrit (p.162) que      l’armée de rébellion flamande fut levée en toute hâte et que même Jean      de Namur, instigateur de la rébellion, n’arriva pas à temps; et Moke      (voir ouvrage en références – p.13) : “Du dehors il ne venait      que des secours insignifiants: quelques seigneurs attachés à la famille ou      au parti du comte, une poignée d’Allemands à la suite du brave Guillaume      de Juliers, et 600 Namurois, qui ne devaient peut-être pas arriver à      temps”. (Plus loin, il ne mentionne ni les Namurois ni les      Allemands dans sa description de la bataille). D’autres auteurs (et/ou      passages) laissent entendre que les Namurois sont arrivés à temps mais      n’ont pas pris part à la bataille: Goethals-Vercruysse & Voisin (voir      ouvrage en références – p.341-342) écrivent : “la veille de      la bataille, un nouveau renfort de 600 Namurois bien montés arriva, envoyé      par le comte Jean Ier de Namur” ; mais ils ne      mentionnent plus ces Namurois dans le récit de la bataille proprement      dite. Peut-être Verbruggen fait-il allusion, entre autres, aux Namurois      quand il écrit (p.162) que, du côté flamand, les indifférents, de même      que ceux qui avaient choisi une approche ‘attendons-de-voir’ avaient la      possibilité de rester en retrait puisqu’il n’y avait pas encore      d’autorités complètement établie. Il y a cependant au moins un      combattant namurois –et non des moindres- dont la présence sur la plaine      de Groeninghe est attestée: Gui de Namur lui-même, l’un des deux      commandants en chef des troupes flamandes. Concernant les chevaliers      hennuyers (du côté français) qui avaient accompagné Jean sans-Merci du      Hainaut jusqu’à Courtrai: Ils auraient été (selon Goethals-Vercruysse      & Voisin p.346) incorporés dans l’escadron commandé par Godefroid de      Brabant (Jean de Hainaut apparaissant, dans les récits de la bataille, à      la tête des Artésiens pendant que Robert d’Artois, en léger retrait,      tenait son poste de commandement général avant de mener la dernière      charge). Mais tous les auteurs s’accordent sur le fait que les Hennuyers      ne chargèrent ni avec Godefroid de Brabant ni avec Jean de Hainaut. Ils      apparaissent en fin de bataille, au moment où l’arrière-garde française se      retire sans combattre: Moke écrit (p.61): les chevaliers du Hainaut,      conservèrent seuls (ndlr: contrairement à l’arrière-garde française) toute      leur fermeté. Ils se déployèrent à l’Est du ruisseau prêts à charger      (…) et ils firent retirer sans désordre les varlets et les voituriers      qui conduisaient leurs chevaux de main, leurs bagages et leurs tentes. Les      Flamands les voyant immobiles leur offrirent une sorte de trêve qui fut      acceptée et cette petite division put opérer sa retraite sans avoir      souffert. Selon Fegley (voir ouvrage en références –p138): les      hommes du Hainaut, dont les cœurs n’étaient pas vraiment du côté français,      firent face à l’ennemi sans bouger mais n’opposèrent aucune résistance.      Chez Verbruggen (p109), on voit une division d’hommes du Hainaut prête      à combattre bien que son équipement ait déjà été évacué, mais qui prit      la fuite lorsque les Flamands s’avancèrent ; et on semble leur      réserver un sort moins favorable dans cette fuite (que chez Moke) puisque      Verbruggen écrit (p. 192) que sur base de la liste de ceux qui sont tombés,      il apparaît que le Brabant et le Hainaut avaient envoyés un nombre      relativement élevé de chevaliers (qui compensa l’absence de contingent de      certaines régions de France). Luxembourgeois: Fegley mentionne (p.128) des      chevaliers venant du Luxembourg parmi les chevaliers étrangers aguerris du      côté français. Par contre Verbruggen (p16) écrit que Gui de Flandre essaya      d’en engager du côté flamand ; et Goethals-Vercruysse& Voisin      (p.344) cite le nom d’un seigneur luxembourgeois dans la liste de nobles      tombés pour la Flandre. Enfin, il est généralement fait mention (du côté      flamand) de “quelques cavaliers allemands” (Moke p.13),      ou d’une “poignée d’Allemands” (Fegley p.117) avec      lesquels serait arrivé Guillaume de Juliers dès le mois de mai. Verbruggen      (p.178) parle de “nobles allemands qui étaient présents dans son      entourage”. Mais on ne retrouve pas leur trace dans les récits de      la bataille proprement dite. On peut conclure que –pour les escadrons      étrangers (à la France et à la Flandre)- les historiens retiennent surtout      la participation active des Zélandais (côté flamand) et des Brabançons      (côté français).
  5. Référence à la fleur-de-lys
  6. Troupes de la commune par allusion aux griffes du      lion qui ornent la bannière de Gui de Dampierre
  7. parmi lesquels les archers lombards (mercenaires) se      seraient particulièrement distingués.
  8. parmi lesquels de nombreux Français, envoyés par les      villes, et des mercenaires engagés dans le sud -probablement par Jean de      Burlats-, originaires de Lombardie, de Navarre et d’Espagne, sous le      commandement Jean de Burlats (Languedoc).
  9. Composée de membres de la noblesse, la cavalerie est      la partie de l’armée dont les faits d’armes et la composition ont été      narrés de la manière la plus détaillée par les chroniqueurs de l’époque.
  10. Les chroniqueurs ont négligé de narrer avec précision      le sort de ce corps d’infanterie composé de simples soldats et soudoyés.      Ils auraient combattus, comme les archers, sous les ordres du Maître des arbalétriers Jean de Burlats. Quand les flèches vinrent à manquer, on en vint aux      dagues et aux épées. À ce moment, l’armée française avait un tel avantage      sur les troupes flamandes qu’un chevalier demanda à d’Artois ce que la      noblesse était venue faire là si on laissât l’honneur de la victoire à la      plèbe. La configuration exigüe des lieux ne permettant pas à la cavalerie      d’entrer en action tant que les fantassins occupaient le terrain, le Comte      d’Artois donna l’ordre à l’infanterie de se retirer pour laisser passer la      cavalerie. (voir par ex. Fegley, p.132 et Goethals-Vercruysse & Voisin      p.354, ouvrages en références)
  11. Le terrain est extrêmement difficile. Mais selon Moke      (voir Moke en références, p.51 et p.60), c’est plutôt la confusion      survenue lors de la seconde charge et surtout le sauve-qui-peut de la      retraite et de la débâcle finale (bien sûr combinées aux difficultés du      terrain et à l’ardeur des combattants flamands), qui sont à l’origine des      célèbres scènes de chevaux empêtrés dans les marais et chevaliers démontés      dans les fossés.
  12. La première charge aurait été menée, à droite et au      centre, par Raoul et Gui de Nesle à la tête des chevaliers picards; tandis que Jean de Burlats aurait      mené (après l’attaque d’infanterie) l’aile gauche de la cavalerie à la      tête de cavaliers mercenaires. À droite, Raoul de Nesle aurait été tué      face aux Gantois menés par Gui de Namur. Au centre, Gui de Nesle serait parvenu à mettre une partie des      troupes du Franc de Bruges en déroute mais les Yprois auraient barré la route aux fuyards et les      auraient forcés à retourner au combat. Jean de Renesse et ses Zélandais      seraient également venus prêter main forte à Guillaume de Juliers pour lui permettre de tenir      tête aux Picards. À gauche, Jean de Burlas serait tombé sous les coups des      redoutables Brugeois (voir p. ex. Moke p. 47, ouvrage en références)
  13. Bien que la retraite des fantassins gênât la 1re charge, le déploiement de      la cavalerie s’était jusque là effectué selon l’ordre prévu. Mais le      premier à s’élancer ensuite au centre au secours des Picards est Godefroid de Brabant, dont les troupes n’étaient pourtant censées intervenir qu’en dernier      lieu puisqu’il conduisait le 9e corps appartenant à la 3e ligne. Derrière lui, les comtes d’Eu et d’Aumale et toute la chevalerie normande fondirent sur la gauche de l’armée      flamande alors que leur corps était le 7e et appartenait également à      la troisième ligne. Par contre, à l’ouest, le 5e corps formés par les      chevaliers d’Artois emmenés par Jean-Sans Merci, fils du comte Jean Ier de Hainaut, avançait selon l’ordre prévu. La seconde charge se trouva donc      fournie par trois corps qui ne faisaient initialement pas partie de la      même ligne: à droite les Normands, au centre les Brabançons, et à gauche      les Artésiens. Au centre, Gui de Nesle combattait encore quand Godefroid      de Brabant arriva en renfort et chargea si violemment vers Guillaume de      Juliers que ce dernier tomba. Blessé, il fut transporté vers l’arrière      mais, pour éviter la panique dans les rangs flamands, l’un de ses      hobereaux enfila son armure et revint au galop en se faisant passer pour      lui. Les piquiers flamands reprirent le dessus. Périrent à ce moment: Godefroid de Brabant, Gui de Nesle et un grand nombre      de chevaliers picards et brabançons qui les accompagnaient. Jean de Renesse      et ses Zélandais s’étaient entre temps déplacés vers l’aile droite de la      cavalerie française pour aller prêter main forte à Gui de Namur et aux      Gantois. Face à eux tombèrent les comtes d’Eu et d’Aumale et leurs      chevaliers normands. À gauche enfin, il semble que la bannière d’Artois      flottait encore et que Jean de Hainaut luttait toujours contre les      Brugeois quand la troisième charge française s’élança. (voir p.ex. Moke      p.48-55 et Fegley p.137-138 en références).
  14. Comme la précédente, cette 3e charge se serait élancée      presque dans la foulée de celle qui l’a précédée. Malgré cela, Jean de      Hainaut et la bannière d’Artois seraient tombés avant que ce renfort      n’arrive à sa hauteur. Dans sa charge, d’Artois croise donc un torrent de      fuyards et apprend la nouvelle de la mort de Jean et de toute la noblesse      artésienne qui l’avait suivi. Le désespoir se serait emparé de nombreux      chevaliers qui suivaient Robert et peu d’entre eux l’auraient suivi à la      mort. Il serait néanmoins parvenu à pénétrer les lignes flamandes (et même      à s’emparer de l’étendard flamand?) Willem van Saeftinghe, un combattant flamand frère-lai de l’abbaye de Ter Doest, parvint à      faire tomber son cheval. D’Artois aurait alors été assailli de toute part      et couvert de blessures. Il aurait demandé qu’on épargne son cheval et,      selon certains, s’il y avait là un noble auquel il pu rendre son épée. On      lui aurait répondu qu’on n’entendait pas sa langue et que du reste on ne      faisait pas de prisonniers. Sur ces mots il aurait été achevé. (voir p.ex.      Moke p. 58-59 et Verbruggen & DeVries p. 239-241) Dans le récit de      Goethals-Vercruysse & Voisin (p.359), on ajoute que sa langue aurait      été coupée et offerte en trophée à un certain Jan van der Marct.
  15. Ceux des Brabançons qui survécurent à la deuxième      charge aux côtés de Godefroid de Brabant, et à la troisième charge aux      côtés d’Artois (vers lequel ils auraient ensuite convergé) virent leur      retraite coupée. Parlant bien la langue des Flamands (proche de la leur),      ils tentèrent de se faire passer pour tels en criant “Vlaenderen      den Leeuw!” (Flandre au lion – cri de ralliement des troupes      flamandes). Comprenant la manœuvre, Guy de Namur ordonna de tuer tous ceux      qui portaient un éperon (puisque les Flamands avaient combattu à pied).      Ils furent tous massacrés dans cette Bloedmeersh (prairie      sanglante) qui conserva ce nom. (voir p.ex. Moke p.62, Goethals-Vercruysse      & Voisin p.363, Verbruggen p.109 en références)
  16. D’après Fegley (voir ouvrage en références, p. 140),      entre 500 et 700 éperons ornèrent l’église Notre-Dame de Courtrai et      d’autres furent envoyés à Maastricht orner l’église de Guillaume de      Juliers.
  17. Tableau détruit lors du bombardement de Courtrai en      1944 (voir étude sur Catalogue de vente      de Drouot du mercredi 26 novembre 2006 [archive], pp. 54-56, ou une analyse dans le Compte-rendu du salon      d’exposition de Bruxelles, 1836 [archive] de Louis Alvin, pp. 16-30).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a, b, c et d Randall Fegley, The      Golden Spurs of Kortrijk : How the Knights of France Fell to the Foot      Soldiers of Flanders in 1302, McFarland,‎      2002, 242 p. (lire en ligne [archive]), p. 125; 128 ;      138; 140
  2. a et b J.F. Verbruggen et Kelly DeVries, The Battle of the Golden Spurs (Courtrai,      11 July 1302) : A Contribution to the History of Flanders’ War of      Liberation,, Boydell & Brewer,‎      2002, 267 p. (lire en ligne [archive]), p 178 ; 92; 109; 223-225
  3. a et b Henri Guillaume Philippe Moke, Mémoire sur la bataille de Courtrai :      dite aussi de Groeninghe et des éperons,      Académie Royale de Belgique,‎ 1845 (lire en ligne [archive]), p. 17; 18; 19
  4. a, b, c et d Jacques Joseph Ignace Goethals-Vercruysse et Auguste Voisin,      Bataille de Courtrai : ou Des Eperons      d’Or, Vanderheyden D. J.,‎ 1834 (lire en ligne [archive]), p. 345-346;363;      367-368
  5. a et b Jacques Le Goff, « La bataille de Courtrai », émission Les Lundis de l’Histoire sur France Culture, 7 mai 2012
  6. Franz Funck-Brentano, Les origines de la guerre de cent ans : Philippe le Bel      en Flandre, H. Champion,‎ 1896, 707 p.
  7. Henri Pirenne, La      version Flamande et la version Française de la bataille de Courtrai, Hayez,‎ 1890, 42 p.
  8. Raoul van Caenegem et Marc Boone [et al.], 1302, le désastre de Courtrai : mythe      et réalité de la bataille des Éperons d’or, Antwerpen : Fonds Mercator,‎ 2002
  9. Giovanni Villani, Cronica,TII, Livre      VIII, chap. LVI

Ressources bibliographiques[modifier | modifier le code]

  • M. Moke, Mémoire sur la bataille      de Courtrai, dite aussi de Groeninghe et des éperons, dans Mémoires      de l’Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de      Belgique, volume 26, Académie royale des sciences, des lettres et des      beaux-arts de Belgique, 1851
  • Raoul C. van Caenegem (sous la      direction), textes de Marc Boone [et al.], 1302, le désastre de      Courtrai : mythe et réalité de la bataille des Éperons d’or,      Antwerpen : Fonds Mercator, 2002
  • Xavier Hélary, Courtrai, 11      juillet 1302, Tallandier, 2012

Liens externes[modifier | modifier le code]

  1. (puisque les Flamands avaient combattu à pied). Ils furent tous      massacrés dans cette Bloedmeersh (prairie sanglante) qui conserva ce nom. (voir p.ex. Moke
  2. p.62, Goethals-Vercruysse & Voisin p.363, Verbruggen p.109 en      références)

Voilà pourquoi chercher le vert dans le rouge, pour retreover la prairie sous le BLOED …

http://www.liebaart.org/oxford_e.htm
«quatrain : « dans la malle … »

 

begijnhof-kortrijk-7

Béguinage de courtrai … XIème …

 

carte-bataille-courtrai

 

Plan de la bataille de courtrai.. ;

 

WOLFSGRUBEN ???

Et

Un lycanthrope

1. Li roumans de Guilliaume de Palerne (version en vers)

 

Voir plus haut ?

OK

Quand la lictière du tourbillon versée,
Et seront faces de leurs manteaux convers,tiran
La république par gens nouveaux vexée,
Lors blancs & rouges jugeront à l’envers.tiran,

1. je renverse …

tourbillon = on bill (tour=o) et je vais à lictière

j’ai onbillic, ombilic, omphalos…  tourbillon = le cordon ombilical ? versée sur la lictière

=accouchement , BILL = GUILLAUME = WILL ???

2. CONVERS tir : tire du sexe vers la lumière = naissance de

3. je vexe ???  nouveaux veaux  = nouveau-né, (donc accouchement) ; eau = feu nouveau né de l’eau vers l’air vient sur terre,

la république = la raie publique et par gensblique  Jamblique = la RES PUBLICA de PLATON …  ton plat, ton ventre redevient plat … le plat = le SAINT GRAAL, … re-publique = prostituée =Eglise (grande prostituée) et convexée = Marie… nouveaux nés des eaux = Moïse et Jesus,… qui sera jugé à l’envers = injustement …

l’Eglise convertit les tyrannies en “La cité de Dieu” de Saint Augustin …

seront tyrans renversés par la croix de la naissance de Jésus…

4. à l’envers . = vers l’en à ront er jug ges rou & blanc lors

que par = Parques = fil du destin = les parques seront renversées…

le nouveau né = eau de feu  = phoenix  = renaix = rené = deux fois né = resurrection…

Convers et vexé, je suis convertis, = convexe = MIROIR CONVEXE ?

les deux eaux du miroir convexe ???

groen, groen, groen

water water

quand la tourbe du marais aversée = mise sous eaux…

le X = la croisx de St andré des puits sous eaux…

faces = dos à l’eau

lors&rouge = œuvre au rouge, lors blanc = argent , l’ors vert= le LION VERT  et blanc = le lion NOIR sur fond Jaune…

l’œuvre au noir de lors blanc , nouveaux veaux  = nouveau-né, (donc accouchement)

bof !!!

 

ORDRE = OR RED

= OR RAID, OR AIDE, Orée de, …

 

 

 

 

59.
Les exiles deportés dans les isles,(1)
Au changement d’un plus cruel monarque (2)
Seront meurtris : & mis deux les scintiles, (3)
Qui de parler ne seront estés parques. (4)

 

L’ile , c’est l^’ile de courtrai …

Et les trois iles rappellent la LYS l’île de la LYS (lis : lis !)

Seront éperons meurtris et deux mis = démis…

À rebours…

Parques estes seront ne parler de qui…

En été = juillet  1302 = un, deux, tri et zéro = sans…

AUX MATINES c’est-à-dire au lever du soleil comme dit au début /

 

O

O

Deux points = 30° soleil levé…

Les ::: les deux fois trois points du SIGILLUM …

sigillum templi

LA BATAILLE DES YPERONS D’OR…

 

11 juillet 1302

La «bataille des éperons d’or»

 

Le 11 juillet 1302, l’armée féodale du roi Philippe le Bel rencontre les milices communales de Flandre aux abords de la forteresse de Courtrai. Cette bataille survient quelques semaines après les «Matines de Bruges», une journée qui vit le massacre de la garnison française de la ville.

Les milices humilient les chevaliers

Les milices flamandes, les «Klauwaerts» (du parti de la griffe), encadrées par quelques chevaliers, prennent position sur une hauteur, au bord de la Lys. Les chevaliers français, en bien plus grand nombre, s’établissent sur la colline du Pottelberg, au sud de la ville. Ils sont organisés en une dizaine de troupes, sous le commandement de grands seigneurs tels le comte d’Eu, le comte d’Aumale, le connétable Raoul de Nesle, le comte de Saint-Pol…

La bataille commence avec l’intervention des arbalétriers français. Ils repoussent leurs adversaires puis les «piétons» (nom donné au Moyen Âge aux soldats à pied ou fantassins) se mettent en marche pour achever d’écraser l’ennemi.

Le comte Robert II d’Artois, qui commande l’armée française, lance à son tour sa chevalerie à l’attaque. Mais dans leur impatience d’en découdre, les chevaliers bousculent les malheureux piétons, tout cela pour s’embourber et chuter dans les fossés derrière lesquels s’abritent les Flamands. La bataille s’achève pour les Français sur un désastre sans nom.

Robert d’Artois lui-même est tué, les assaillants dédaignant de le capturer pour en tirer rançon (sa fille Mahaut et son

59.
Les exiles deportés dans les isles,(1)
Au changement d’un plus cruel monarque (2)
Seront meurtris : & mis deux les scintiles, (3)
Qui de parler ne seront estés parques. (4)

59.


L        es exiles deportés dans les isles,(1)
A       u changement d’un plus cruel monarque (2)
S        eront meurtris : & mis deux les scintiles, (3) tiran

,Qui de parler ne seron            t estés parques. (4) tiran

 

(4) ils auront de qui parler, ces éperons d’or dormant cet été avec les parques…

 

60.
Un Empereur naistra pres d’Italie,
Qui à l’Empire sera vendu bien cher,
Diront avec quels gens il se ralie
Qu’on trouvera moins prince que boucher.

 

Dans ce rond trou vert de cette île de courtrai ,

GROENINGE

Périt l’armée frannçaise … etc

carte-bataille-courtrai

60.
Un   Empereur naistra pres d’Italie,
Q      ui à l’Empire sera vendu bien cher,
Di     ront avec quels gens il se ralie
Q      u’on trouvera moins prince que boucher.

 

Aque duct   boucher…

sera vendu bien cher  = sera vendu ben chier
61.
La re(p(ub)lique mi(sera)ble infelice
Sera vastée du nouveau magistrat,
Leur grand amus de l’exil malefice
Fera Sueve ravir leur grand contract.

 

La relique sera réplique ad mirable et fidèle !!!

Sorti de la république !

Sera sera mis dans miserable

Restera mi et ble, ou mise râble in fe lice =

In fait LYS = infélice Lys pour les éperons !!!

Éper vier = piège par quatre éperons de Sigillum Templi…

Deux cavaliers = « vier » éperons…

D’ailleurs, ravir(4) va à ravir = vier = quatre en « Flamîn » dans le quatrième vers…

Sera (dé)vastée de l’EX-île, leur grand amus-ement, mentira, deviendra maléfice, du grand MAGIS STRATUS  car Sueve = Eve nue, de la nuée, des grandes strates ds mots magiques…

L’inspiration « felice » de penser à la « LYS » pour dévaster les « FLEURS DE LYS … etc…

 

62.
L        grande perte, las que feront les lettres,  = tyran
A        vant le cicle de Latona parfaict,
Feu   grand deluge plus par ignares sceptres
Que    de long siecle ne se verra refaict.

 

Acrostiche = L, A, Feu, Q…

 

L’armée du BEL âtre comme dans l’âtre on y met le feu…

 

Dans feront manque E P d’ EPERON , F feront F-LAS QUE les lettres aux TYRANS, dans FER de tirant, feront contient OR.  ERON  et OR f eront « TYRANS D’OR »

Manque l’é P pour « tirer l’épée » et grande perte, grand fracas, … comme l’on dit …

Le P de perte est porte ouverte

pour comprendre que

« HEP ! Héron, Hiéron, … »

que ce P fera la Perte

par le FER de ces EPERONS,

d’OR bien funeste

 

enzovoord… en woord de chez World….

63.
Les fleurs passées diminue le monde,
Long temps la paix terres inhabitées
Seur marchera par ciel, serre, mer & onde,
Puis de nouveau les guerres suscitées.

64.
De                       nuict soleil penseront avoir veu = tyran
Q uand le pourceau demy-homme on verra, (iliade)
Bruict      chant, bataille au ciel battre apperceu,
Et bestes brutes                         a parler lon orra.

65.
Enfant sans mains jamais veu si grand foudre :
L’enfant Royal au feu d’œsteuf blessé.
Au puy brises : fulgures allant mouldre :
Trois souz les chaines par le milieu troussés.

66.
Celuy qui lors portera les nouvelles
Apres un peu il viendra respirer.
Viviers, Tournon, Montferrand & Pradelles,
Gresle & tempestes le fera soupirer.

67.
La grand famine que je sens approcher,
Souvent tourner, puis estre universelle,
Si grande & longue qu’un viendra arracher
Du bois racine, & l’enfant de mamelle.

68.
O quel horrible & malheureux tourment,
Trois innocens qu’on viendra à livrer
Poyson suspecte, mal garde tradiment.
Mis en horreur par bourreaux enyvrez.

69.
La grand montaigne ronde de sept stades,
Apres paix, guerre, faim, innondation,
Roulera loing, abismant grands contrades,
Mesmes antiques, et grand fondation.

70.
Pluye, faim, guerre en Perse non cessée,
La foy trop grande trahira le monarque :
Par la finie en Gaule commencée,
Secret augure pour à un estre parque.

71.
La tour marine troys foys prise & reprise,
Par Hespagnols, Barbares, Ligurins :
Marseille & Aix, Arles par ceux de Pise,
Vast, feu, fer pillé Avignon des Thurins.

72.
Du tout Marseille les habitans changée,
Course et poursuite au pres de Lyon,
Nalbon, Tholoze par Bourdeaux outragée,
Tuez captifs presque d’un million.

73.
France a cinq pars par neglect assaillie,
Tunys, Argiels esmeuz par Persiens :
Leon, Seville, Barcelonne faillie,
N’aura la classe par les Venetiens.
74.
Apres se jour        né vogueront En Epire-tiran
L    e grand secours viendra vers ANtioche,
e noir poil crespe tendra fort à l’Empire,
B               arbe d’ærain se roustira En broche.

 

T A l’   ENEE = énéide EN EPIRE et en BROCHE –ETTE

NAY NAY, est né    BROCHETTE DE PORC…

 

 
75.Le tyran Sienne occupera Savone,
Le fort gaigné tiendra classe marine,
Les deux armées par la marque d’Ancone,
Par effrayeur le chef s’en examine.

76.
D’un              nom farouche tel proferé sera,
Que       les trois seurs auront fato le nom,
Puis    grand peuple par langue et faict dira
Plus que nul autre      aura bruit & renom.

Sera    Sera

Nom   nom

 

Nom faro rouche = truite faro, saumonée, tel proferé = seront ferrés d’auront, d’or , ces fama-eux éperons, fama, renommée nommée de deux noms… c’est –à-dire : D’un que puis plus que nul autre la renommée auront de deux éperons et d’or la renommée faillie, défaillie…

Entourés des quatre OOOO

et des os de leurs compagnons, entourés d’eau sur l’île de l’yser,

77.
Entre deux mers dressera promontaire
Que puis mourra par le mords du cheval,
Le sien Neptune pliera voyle noire,
Par Calpre & classe aupres de Rocheval.

78.
D’un chef vieillard naistra sens hebeté,
Degenerant par savoir et par armes,
Le chef de France par sa sœur redouté,
Champs divisez, concedez aux gendarmes.

79.
Bazaz, Lestore, Condon, Ausch, Agine,
Esmeus par loix, querelle et monopole :
Car Bourd, Toulouze Bay mettra en ruine,
Renouveler voulant leur tauropole.

80.
De la sixieme claire splendeur celeste,
Viendra tonner si fort en la Bourgongne,
Puis naistra monstre de tres hideuse beste
Mars, Apuril, May, Juing, grand charpin et rongne.

81.
D’humain troupeau neuf seront mis à part,
De jugement et conseil separés :
Leur sort sera divisé en depart,
Kappa, Qhita, Lambda mors, bannis esgarés.

82.
Quand les colomnes de bois grande tremblée,
D’Auster conduicte, couverte de rubriche,
Tant vuidera dehors grande assemblée,
Trembler Vienne et le Pays d’Austriche.

83.
La gent estrange divisera butins,
Saturne en Mars son regard furieux :
Horrible estrange aux Tosquans & Latins,
Grecs, qui seront é frapper curieux.

84.
Lune obscurcie aux profondes tenebres,
Son frere passe de couleur ferrugine :
Le grand caché long temps soubs les latebres,
Tiedera fer dans la plaie sanguine.

85.
Par la response de dame Roy troublé,
Ambassadeurs mespriseront leur vie :
Le grand ses freres contrefera doublé,
Par deux mourront ire, haine, envie

86.
La grande Royne quand se verra vaincue,
Fera exces de masculin courage :
Sur cheval, fleuve passera toute nue,
Suite par fer, a foy fera outrage.

87.
Ennosigée feu du centre de terre,
Fera trembler autour de cité neusue :
Deux grands rochiers long temps feront la guerre,
Puis Arethusa rougira nouveau fleuve.

88.
Le divin mal surprendra le Grand Prince,
Un peu devant aura femme espousée,
Son appuy & credit à un coup viendra mince,
Conseil mourra pour la teste rasée.

 

Le divin MAL lu son conseil

89.
Tous    ceux de Ilerde ne seront dans la Moselle,-tyran
Metans           à mort tous ceux de Loire & Seine :
Le             cours marin viendra pres d’haulte velle,
Q                     uand Espagnols ouvrira toute veine.

 

Tous, mettant le cours d’eau au Q = derrière nous,

Ceux de l’île ne seront dans la moselle car ils seront dans la lys s’ils reculent… et

Mettant à mort tous ceux de Loire et Seine, …

90.
Bourdeaux, Poitiers au son de la campane,
A grande classe ira jusqu’à l’Angon,
Contre Gaulois sera leur tramontane,
Quand monstre hideux naistra pres de Orgon.

91.
Les Dieux feront aux humains apparence,
Ce qu’ils seront auteurs de grand conflict,
Avant ciel veu serein espée & lance,
Que vers main gauche sera plus grand afflit.

92.
Sous un la paix par tout sera clamée,
Mais non long temps pille, & rebellion,
Par refus ville, terre & mer entamée,
Mors et captifs le tiers d’un million.

93.
Terre Italique pres monts tremblera,
Lyon & coq non trop confederés,
En lieu de peur l’un l’autre s’aidera,
Seul Catulon & Celtes moderés.

94.
Au port Selin le tyran mis à mort,
La liberté non pourtant recouvrée :
sLe nouveau Marc par vindicte & remort,
Dame par force de frayeur honnorée.

95.
Devant moustier trouvé enfant besson.
D’heroic sang de moine & vestutisque,
Son bruit par secte langue & puissance son,
Qu’on dira fort eslevé le vopisque.

96.
Celuy qu’aura la charge de destruire
Templus, & sectes, changés par fantasie :
Plus au rochiers qu’aux vivans viendra nuire,
Par langue ornée d’oreilles ressaisie.

97.
Ce que fer, flamme n’a sceu parachever,
La douce langue au conseil viendra faire.
Par repos, songe, le Roy fera resver,
Plus l’ennemy en feu, sang militaire.

98.
Le chef qu’aura conduit peuple infiny
Loing de son ciel, de meurs & langue estrange,
Cinq mil en Crete, & Thessalie finy,
Le chef fuyant sauvé en marine grange.

99.
Le grand monarque que fera compagnie
Avec deux Roys unis par amitié :
O quel souspir fera la grand mesgnie
Enfans Narbon à l’entour quel pitié!

100.
Long temps au ciel sera veu gris oyseau,
Aupres de Dole & de Touscane terre,
Tenant au bec un verdoyant rameau,
Mourra tost grand & finira la guerre.