Portraits à la Tempera

Saint Maximilien Kolbe

Posted by on Feb 8, 2013 in Iconographie, Portraits à la Tempera | Comments Off on Saint Maximilien Kolbe

Le Père “Saint Maximilien Kolbe” a donné sa vie dans un camp de concentration en lieu et place d’un père de famille …

30 x 36 cm

Détail

Saint Benoît-Joseph Labre

Posted by on Dec 17, 2012 in Iconographie, Portraits à la Tempera | Comments Off on Saint Benoît-Joseph Labre

Tempera
20,5 x 28,5 cm
Collection privée

Benoît-Joseph Labre est né le 26 mars 1748 à Amettes dans l’extrême nord de la France. Il décède le 16 avril 1783 à Rome. Sa vocation le conduit de Trappe en Abbaye, d’Abbaye en Monastère sur les chemins d’Europe. Mais c’est ce « Chemin » lui-même qui deviendra le lieu proprement dit de son existence. A chaque fois refusé ou tombant malade s’il reste trop longtemps sur place, il choisit alors une vie de mendiant et de pèlerin, allant de sanctuaire en sanctuaire. Le produit de sa mendicité va le plus souvent à d’autres pauvres, ce qui lui vaut une réputation de sainteté.
On le surnomme « Le Vagabond de Dieu », il est canonisé en 1881.

Deux artistes l’ont représenté de son vivant, la mode étant de prendre un modèle parmi les mendiants : le sculpteur André Bley pour une tête du Christ, puis le peintre Cavalucci dont le tableau est conservé à Rome. Benoit-Joseph refusa d’être payé pour poser.

La nouvelle de son décès aurait été répandue dans Rome par les enfants aux cris de « Il est mort le saint!) ».
Son enterrement eut lieu à l’église « Santa Maria dei Monti ». Son corps repose dans le transept gauche de l’église. Les miracles se mutiplient alors sur son tombeau et dès le mois de mai suivant s’ouvre son procès en Canonisation.

Sa vie a donné naissance à une famille spirituelle. Il est le saint patron protecteur des modèles, des célibataires, des mendiants, des sans domicile fixe, des pèlerins, des itinérants et des personnes handicapées.

Il fait partie de la liste des Saint de l’Eglise catholique.
On lui doit la Prière des Trois Cœurs :

Mon Dieu,
accordez-moi, pour Vous aimer,
trois cœurs en un seul.

Le premier, pour Vous,
pur et ardent comme une flamme,
me tenant continuellement en Votre Présence
et me faisant désirer parler de Vous,
agir pour Vous,
et, surtout, accueillir avec patience
les épreuves qu’il me sera donné
de devoir surmonter au cours de ma vie.

Le second, tendre et fraternel envers le prochain,
me portant à étancher sa soif spirituelle
en lui confiant Votre Parole,
en étant Votre témoin
comme en priant pour lui.
Que ce cœur soit bon
pour ceux qui s’éloignent de Vous,
et plus particulièrement encore s’ils me rejettent ;
qu’il s’élève vers Vous,
Vous implorant de les éclairer
afin qu’ils parviennent à se libérer des filets du chasseur.
qu’il soit, enfin, plein de compassion
pour celles et ceux qui ont quitté ce monde
dans l’espérance de Vous voir face à face …

Le troisième, de bronze,
rigoureux pour moi-même,
me rendant vainqueur des pièges de la chair,
me gardera de tout amour-propre,
me délivrera de l’entêtement,
me poussera à l’abstinence
et m’incitera à me défier du péché.
Car je sais que
plus je maîtriserai les séductions de la nature,
plus grand sera le bonheur
dont Vous me comblerez dans l’éternité.

Traduite d’après les paroles même de
St Benoît-Joseph -1771

Bienheureux Jean-Paul II

Posted by on Nov 21, 2012 in Iconographie, Portraits à la Tempera | Comments Off on Bienheureux Jean-Paul II

Saint Jean-Paul II

Tempera

30 x 36 cm

Cette icône, je l’ai intitulée Saint Jean-Paul II. Cependant, après vérification, Jean-Paul II est actuellement considéré par l’Eglise comme « Bienheureux ».
En ce qui concerne sa vie et son œuvre, mieux vaut bien sûr consulter un site plus approprié…

Cette confusion m’a permis de chercher la différence entre ces deux termes : « Saint » ou « Bienheureux »…

« Bienheureux ou bienheureuse est le qualificatif donné à une personne qui a été béatifiée par l’Église catholique romaine. L’étape suivante est la canonisation : le bienheureux sera déclaré saint ou sainte. Le procès en canonisation commence par la déclaration reconnaissant « vénérable » la personne défunte. Celle-ci est reconnue digne de recevoir une vénération locale. Elle peut ensuite être béatifiée. Cette personne entre dans le groupe des « bienheureux » et peut faire l’objet d’un culte plus généralisé. Le « saint» faisant, lui, l’objet d’un culte universel. »
L’appellation de cette icône est donc un peu prématurée… bien qu’un Pape soit déjà appelé de son vivant « Sa Sainteté » et sa fonction l’a, de facto, rendu « universel », pour le moins à l’intérieur de l’Eglise catholique, alors ???

Padre Pio

Posted by on Oct 29, 2012 in Iconographie, Portraits à la Tempera | Comments Off on Padre Pio
Saint Padre PIO de Pietrelcina

Tempera
30 x 36 cm
Collection privée

Cette icône, est écrite à partir d’une photo de Padre Pio.

« Né en 1887 à Pietrelcina, non loin de Naples, il demande à 15 ans à entrer au couvent des capucins. Dès le noviciat, il eut d’extraordinaires expériences du démon qui le torturait physiquement et l’empêchait de dormir. Ce n’était qu’un début et toute sa vie, comme le curé d’Ars, il dut affronter le diable. En 1915, il reçoit les stigmates de la passion du Christ, ce qui lui vaut des douleurs impressionantes. De nombreux médecins, croyants ou non, ont examiné ce phénomène et n’y ont trouvé aucune explication ni analogie avec quelque autre fait médical.

Des foules viennent à son monastère de San Giovanni Rotondo pour se confesser et les pénitents constatent avec stupéfaction que le père lit dans leur coeur à livre ouvert…

Parmi les phénomènes les plus étranges cités à propos du père Pio, nous pouvons citer les cas de bilocation. Ainsi un général sur le point de se suicider vit apparaître un moine qu’il n’avait jamais vu et arrêta son geste. Plus tard, ayant appris l’existence du père Pio, il se rendit au monastère et reconnut ce moine qui l’avait sorti du désespoir : le père lui sourit et lui dit: “vous l’avez échappé belle”! etc. »  (Voir les sites plus appropriés.)

Padre PIO est décédé  le 23 septembre 1968 à San Giovanni Rotondo en Italie.

Le 16 juin 2002 il a été canonisé: c’est un “saint” reconnu officiellement par l’Eglise Catholique.